Investing.com - Les options sur le brut sont retombées ce mercredi de leur pic de quatre mois établi hier, les yeux étant braqués sur le vote de fin de journée au sujet du relèvement du plafond d'endettement américain.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 96.53 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.15%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96.47 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.25% de fléchissement, après avoir culminé mardi à 96.89 USD, leur niveau le plus élevé en quatre mois.
La situation américaine restait sur le devant de la scène, la nervosité étant de mise à l'approche des tractations politiques américaines visant à relever les 16.4 billions d'USD du plafond d'endettement du pays, qui sera atteint le mois prochain.
Les élus républicains ont laissé entendre qu'ils accepteraient cette semaine le vote d'une extension de près de quatre mois, afin de permettre au gouvernement de remplir ses obligations pendant ce temps.
En cas d'échec, le premier défaut de paiement national de l'histoire du pays pourrait avoir lieu, et ainsi ébranler les marchés financiers.
Les opérateurs du marché pétrolier surveillaient aussi l'arrivée des inventaires hebdomadaires du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui, alors que son équivalent élaboré par les autorités nationales pourrait montrer demain qu'elles auraient accumulé 2.8 millions de barils la semaine dernière.
Leur publication avait deux jours de retard en raison du jour férié consacré à Martin Luther King Jr.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont reculé de 0.15% pour descendre à 112.24 USD du baril dans le même temps, soit 15.71 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 96.53 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.15%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96.47 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.25% de fléchissement, après avoir culminé mardi à 96.89 USD, leur niveau le plus élevé en quatre mois.
La situation américaine restait sur le devant de la scène, la nervosité étant de mise à l'approche des tractations politiques américaines visant à relever les 16.4 billions d'USD du plafond d'endettement du pays, qui sera atteint le mois prochain.
Les élus républicains ont laissé entendre qu'ils accepteraient cette semaine le vote d'une extension de près de quatre mois, afin de permettre au gouvernement de remplir ses obligations pendant ce temps.
En cas d'échec, le premier défaut de paiement national de l'histoire du pays pourrait avoir lieu, et ainsi ébranler les marchés financiers.
Les opérateurs du marché pétrolier surveillaient aussi l'arrivée des inventaires hebdomadaires du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui, alors que son équivalent élaboré par les autorités nationales pourrait montrer demain qu'elles auraient accumulé 2.8 millions de barils la semaine dernière.
Leur publication avait deux jours de retard en raison du jour férié consacré à Martin Luther King Jr.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont reculé de 0.15% pour descendre à 112.24 USD du baril dans le même temps, soit 15.71 USD de mieux que leurs homologues américaines.