Investing.com - Les options sur le brut étaient en net recul ce lundi, chutant aux alentours d'un creux de presque deux semaines, les craintes grandissantes concernant les problèmes de dette souveraine de la zone euro mais aussi des Etats-Unis poussant les investisseurs à bouder les valeurs les plus risquées.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 95.72 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 1.96%.
Cette glissade est survenue alors que la hausse des coûts des emprunts de nombre des pays de la zone euro attisait la peur d'une extension de la crise de la dette souveraine à ses principaux membres.
Une étude officielle avait auparavant montré que les exportations japonaises avaient plongé en octobre pour le première fois en trois mois, la flambée persistante du yen ayant mis la demande à mal, la consommation pétrolière nippone étant la troisième au monde.
L'atmosphère a encore été assombrie par les bruits selon lesquels le "super-comité" parlementaire américain chargé de réduire les déficits devrait annoncer l'échec probable de ses trois mois de tentatives de mise au point d'un plan réduisant le déficit budgétaire d'au moins 1.2 billions d'USD.
Les cours avaient bondi vers un sommet des six derniers mois la semaine dernière, l'annonce de l'inversion du flux d'un oléoduc américain majeur apportant l'espoir d'un désengorgement des approvisionnements nationaux.
Enbridge, premier transporteur de pétrole brut des Etats-Unis, a en effet déclaré que le pipe-line Seaway, transportant le brut depuis le Golfe du Mexique vers Cushing en Oklahoma, où se situe le bouchon, ferait désormais le trajet dans l'autre sens.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont plongé de 0.97% pour sombrer à 106.53 USD du baril dans le même temps.
Le recul des prix Brent est survenu alors que l'angoisse du problème du surendettement européen éclipsait la possibilité de perturbations des fournitures provenant du Moyen-Orient dûes à l'instabilité politique en Syrie et en Egypte, mais aussi aux tensions concernant le programme nucléaire iranien.
Le ministre du pétrole de l'Iran, qui préside l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole, a d'ailleurs déclaré dimanche à la télévision Al Jazeera que son pays pourrait utiliser le pétrole comme un instruent diplomatique en cas de conflit futur concernant les installations atomiques nationales.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 95.72 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 1.96%.
Cette glissade est survenue alors que la hausse des coûts des emprunts de nombre des pays de la zone euro attisait la peur d'une extension de la crise de la dette souveraine à ses principaux membres.
Une étude officielle avait auparavant montré que les exportations japonaises avaient plongé en octobre pour le première fois en trois mois, la flambée persistante du yen ayant mis la demande à mal, la consommation pétrolière nippone étant la troisième au monde.
L'atmosphère a encore été assombrie par les bruits selon lesquels le "super-comité" parlementaire américain chargé de réduire les déficits devrait annoncer l'échec probable de ses trois mois de tentatives de mise au point d'un plan réduisant le déficit budgétaire d'au moins 1.2 billions d'USD.
Les cours avaient bondi vers un sommet des six derniers mois la semaine dernière, l'annonce de l'inversion du flux d'un oléoduc américain majeur apportant l'espoir d'un désengorgement des approvisionnements nationaux.
Enbridge, premier transporteur de pétrole brut des Etats-Unis, a en effet déclaré que le pipe-line Seaway, transportant le brut depuis le Golfe du Mexique vers Cushing en Oklahoma, où se situe le bouchon, ferait désormais le trajet dans l'autre sens.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont plongé de 0.97% pour sombrer à 106.53 USD du baril dans le même temps.
Le recul des prix Brent est survenu alors que l'angoisse du problème du surendettement européen éclipsait la possibilité de perturbations des fournitures provenant du Moyen-Orient dûes à l'instabilité politique en Syrie et en Egypte, mais aussi aux tensions concernant le programme nucléaire iranien.
Le ministre du pétrole de l'Iran, qui préside l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole, a d'ailleurs déclaré dimanche à la télévision Al Jazeera que son pays pourrait utiliser le pétrole comme un instruent diplomatique en cas de conflit futur concernant les installations atomiques nationales.