Investing.com - Les options sur le brut étaient en berne ce mercredi, dans l'expectative des décisions de la Réserve Fédérale de la fin de journée, tandis que la zone euro continuait à faire des gorges chaudes.
Les acteurs du marché pétrolier guettaient également le rapport sur le volume des réserves américaines afin d'évaluer l'importance de l'appétit du premier demandeur mondial.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 83.59 USD le baril en première partie de séance européenne, cédant 0.45%.
Ils avaient auparavant culminé à USD, leur cours le plus élevé depuis , avec % de fléchissement.
Leur expiration est prévue à la fin des transactions d'aujourd'hui, ce qui entraîne généralement des sessions chaotiques, leurs détenteurs cherchant à liquider leurs positions ou à replacer leurs portefeuilles.
Leurs équivalents pour août ont connu davantage d'activité, laissant échapper 0.5% pour se situer à 83.94 USD, ayant auparavant touché le fond à 83.86 USD, leur cours le plus bas du jour, avec une plongée de 0.6%.
Les deux jours de réunion de la banque centrale américaine doivent en effet prendre fin dans la journée, sur fond d'espoir grandissant que ses décideurs annonceront des mesures destinées à stimuler la plus grosse économie mondiale.
De plus en plus d'analystes s'attendent en effet à une prolongation de son Opération Twist, consistant à vendre des dettes à court terme pour en racheter à long terme, s'élevant à 400 milliards d'USD et devant prendre fin avec le mois.
Le comité fédéral des marchés ouverts diffusera ensuite son communiqué sur le cap qu'il aura défini, puis Ben Bernanke, son président, tiendra une conférence de presse à ce sujet.
Les experts surveillaient l'arrivée dans la journée de l'inventaire crucial des réserves de brut et de produits raffinés établi par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis.
Celui-ci pourrait montrer qu'elles ont fondu la semaine dernière de 1.4 millions barils.
Les spécialistes de l'institut du pétrole américain ont dévoilé le leur après la clôture des échanges d'hier, signalant une diminution de 550 000 barils pour la période considérée, prenant à revers les experts evisageant 1 million de réduction.
Les Etats-Unis gardent leur première part dans la consommation de la planète, avec près de 22%.
La Grèce continuait pour sa part à être au centre des débats, alors que ses dirigeants politiques essayaient de former un gouvernement de coalition solide.
L'aggravation de l'état des caisses de l'Espagne n'était pas non plus à négliger, le taux des obligations décennales du pays étant retombé juste au-dessous du seuil critique des 7%, après avoir battu en début de semaine ses valeurs les plus élevées depuis l'introduction de la monnaie unique, sur fond de crainte que Madrid ne doive recourir à un plan de sauvetage complet.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont plongé de 0.8% pour sombrer à 95.02 USD du baril dans le même temps, soit 11.08 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La session de mardi avait été le théâtre de leur dégringolade à 94.5 USD, leur niveau le plus bas depuis le 10 janvier 2011.
Leur cours, établis à Londres, ont dévalé de près de 25% depuis leur sommet à 128.38 USD du premier mars.
Les acteurs du marché pétrolier guettaient également le rapport sur le volume des réserves américaines afin d'évaluer l'importance de l'appétit du premier demandeur mondial.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 83.59 USD le baril en première partie de séance européenne, cédant 0.45%.
Ils avaient auparavant culminé à USD, leur cours le plus élevé depuis , avec % de fléchissement.
Leur expiration est prévue à la fin des transactions d'aujourd'hui, ce qui entraîne généralement des sessions chaotiques, leurs détenteurs cherchant à liquider leurs positions ou à replacer leurs portefeuilles.
Leurs équivalents pour août ont connu davantage d'activité, laissant échapper 0.5% pour se situer à 83.94 USD, ayant auparavant touché le fond à 83.86 USD, leur cours le plus bas du jour, avec une plongée de 0.6%.
Les deux jours de réunion de la banque centrale américaine doivent en effet prendre fin dans la journée, sur fond d'espoir grandissant que ses décideurs annonceront des mesures destinées à stimuler la plus grosse économie mondiale.
De plus en plus d'analystes s'attendent en effet à une prolongation de son Opération Twist, consistant à vendre des dettes à court terme pour en racheter à long terme, s'élevant à 400 milliards d'USD et devant prendre fin avec le mois.
Le comité fédéral des marchés ouverts diffusera ensuite son communiqué sur le cap qu'il aura défini, puis Ben Bernanke, son président, tiendra une conférence de presse à ce sujet.
Les experts surveillaient l'arrivée dans la journée de l'inventaire crucial des réserves de brut et de produits raffinés établi par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis.
Celui-ci pourrait montrer qu'elles ont fondu la semaine dernière de 1.4 millions barils.
Les spécialistes de l'institut du pétrole américain ont dévoilé le leur après la clôture des échanges d'hier, signalant une diminution de 550 000 barils pour la période considérée, prenant à revers les experts evisageant 1 million de réduction.
Les Etats-Unis gardent leur première part dans la consommation de la planète, avec près de 22%.
La Grèce continuait pour sa part à être au centre des débats, alors que ses dirigeants politiques essayaient de former un gouvernement de coalition solide.
L'aggravation de l'état des caisses de l'Espagne n'était pas non plus à négliger, le taux des obligations décennales du pays étant retombé juste au-dessous du seuil critique des 7%, après avoir battu en début de semaine ses valeurs les plus élevées depuis l'introduction de la monnaie unique, sur fond de crainte que Madrid ne doive recourir à un plan de sauvetage complet.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont plongé de 0.8% pour sombrer à 95.02 USD du baril dans le même temps, soit 11.08 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La session de mardi avait été le théâtre de leur dégringolade à 94.5 USD, leur niveau le plus bas depuis le 10 janvier 2011.
Leur cours, établis à Londres, ont dévalé de près de 25% depuis leur sommet à 128.38 USD du premier mars.