Investing.com - Les options sur le brut étaient à la hausse ce mardi, rattrapant une partie des pertes d'hier, la crainte d'un ralentissement de la demande de la part des Etats-Unis et de la Chine se trouvait apaisée, tout en bénéficiant de l'affaiblissement général du dollar.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 97.07 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.77%.
Ils avaient auparavant culminé à 97.24 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.93% de progression.
Les investisseurs les avaient évités hier ainsi que les autres investissements les plus risqués, les faisant plonger de près de 1.4% en raison des difficultés à relever le plafond de la dette américaine et de l'angoisse persistante de la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Une étude de la commission chinoise de réforme et de développement national avait auparavant montré que la consommation chinoise de carburant avait augmenté de 7.2% au cours des six ayant précédé juin.
Les observateurs restaient par ailleurs dans l'attente de nouvelles informations concernant les réserves d'or noir et de produits distillés des Etats-Unis.
L'institut pétrolier américain devrait en effet dévoiler en cours de journée son inventaire très attendu des réserves de brut du pays, qui pourrait montrer une diminution de 1.5 millions de barils, tandis que les stocks d'essence en auraient perdu 100 000.
Ils ont décliné tout au long des six dernières semaines, fondant de près de 5% depuis la fin mai, alors que commençait la saison de demande maximale en raison des départs en vacances et celle des ouragans dans l'Atlantique.
Les Etats-Unis et la Chine restent les deux premiers consommateurs mondiaux.
Le recul de la devise des premiers a aussi renforcé le pétrole, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.31% de son côté pour se situer à 75.44, son pire niveau en trois jours.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont gagné 0.45% pour grimper à 116.81 USD du baril dans le même temps, soit 19.74 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 97.07 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.77%.
Ils avaient auparavant culminé à 97.24 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.93% de progression.
Les investisseurs les avaient évités hier ainsi que les autres investissements les plus risqués, les faisant plonger de près de 1.4% en raison des difficultés à relever le plafond de la dette américaine et de l'angoisse persistante de la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Une étude de la commission chinoise de réforme et de développement national avait auparavant montré que la consommation chinoise de carburant avait augmenté de 7.2% au cours des six ayant précédé juin.
Les observateurs restaient par ailleurs dans l'attente de nouvelles informations concernant les réserves d'or noir et de produits distillés des Etats-Unis.
L'institut pétrolier américain devrait en effet dévoiler en cours de journée son inventaire très attendu des réserves de brut du pays, qui pourrait montrer une diminution de 1.5 millions de barils, tandis que les stocks d'essence en auraient perdu 100 000.
Ils ont décliné tout au long des six dernières semaines, fondant de près de 5% depuis la fin mai, alors que commençait la saison de demande maximale en raison des départs en vacances et celle des ouragans dans l'Atlantique.
Les Etats-Unis et la Chine restent les deux premiers consommateurs mondiaux.
Le recul de la devise des premiers a aussi renforcé le pétrole, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.31% de son côté pour se situer à 75.44, son pire niveau en trois jours.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont gagné 0.45% pour grimper à 116.81 USD du baril dans le même temps, soit 19.74 USD de mieux que leurs homologues américaines.