Investing.com - Les options sur le brut ont campé sur leurs positions ce jeudi, les opérateurs préférant demeurer sur la touche à l'approche de la prise de cap de la Réserve Fédérale de la fin de journée.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 97.03 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.02%.
Ils avaient précédement oscillé dans une bande limitée située entre 96.76 USD, leur pire cours du jour, et 97.14, leur meilleur, après avoir culminé hier à 98.05 USD, leur plus haut sommet en trois semaines.
Les conclusions cet après-midi des deux jours de réunion de la Fed faisaient aussi des gorges chaudes, sur fond d'hypothèse d'un nouveau coup de pouce dénommé "assouplissements quantitatifs" pour la plus grosse économie mondiale.
L'espoir d'une telle opération a en effet enflé suite aux performances decevantes de l'emploi américain dévoilées vendredi et au discours tenu la le mois passé à Jackson Hole par Ben Bernanke, président de la Fed.
Les apports de capitaux ont généralement été nuisibles pour le billet vert, les matières premières libellées avec lui, parmi lesquelles l'or noir, ayant du coup tendance à monter quand ce dernier descend.
Le bénéfice du coup de mou du billet vert n'était pas non plus à négliger pour lui, l'euro continuant à caracoler à son plus haut niveau en quatre mois, bénéficiant de l'approbation mercredi par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au Mécanisme Européen de Stabilité, le nouveau fonds de secours permanent à la région.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions du traité qui l'instaure, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
Il a en effet été précisé par l'institution que l'engagement national ne devait pas dépasser 190 milliards d'euros sans l'aval des députés, et que le parlement devait être tenu au courant des décisions à ce sujet.
Mais cette avancée demeurait limité par une augmentation surprenante des réserves pétrolières américaines, l'inventaire hebdomadaire établi par le département d'état à l'énergie américain ayant mis hier en évidence une augmentation de 2 millions de barils la semaine dernière, au lieu de la baisse de 2.6 millions prévue.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont laissé échapper 0.05% pour glisser à 115.27 USD du baril dans le même temps, soit 18.24 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Ils avaient établi hier un pic à 115.99 USD, tirés vers le haut pas la nouvelle selon laquelle des islamistes avaient assassiné l'embassadeur américain en Libye, ainsi que trois autre membres du personnel diplomatique au cours d'une attaque à la roquette, laissant crainte un nouvel embrasement géopolitique d'un membre de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 97.03 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.02%.
Ils avaient précédement oscillé dans une bande limitée située entre 96.76 USD, leur pire cours du jour, et 97.14, leur meilleur, après avoir culminé hier à 98.05 USD, leur plus haut sommet en trois semaines.
Les conclusions cet après-midi des deux jours de réunion de la Fed faisaient aussi des gorges chaudes, sur fond d'hypothèse d'un nouveau coup de pouce dénommé "assouplissements quantitatifs" pour la plus grosse économie mondiale.
L'espoir d'une telle opération a en effet enflé suite aux performances decevantes de l'emploi américain dévoilées vendredi et au discours tenu la le mois passé à Jackson Hole par Ben Bernanke, président de la Fed.
Les apports de capitaux ont généralement été nuisibles pour le billet vert, les matières premières libellées avec lui, parmi lesquelles l'or noir, ayant du coup tendance à monter quand ce dernier descend.
Le bénéfice du coup de mou du billet vert n'était pas non plus à négliger pour lui, l'euro continuant à caracoler à son plus haut niveau en quatre mois, bénéficiant de l'approbation mercredi par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au Mécanisme Européen de Stabilité, le nouveau fonds de secours permanent à la région.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions du traité qui l'instaure, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
Il a en effet été précisé par l'institution que l'engagement national ne devait pas dépasser 190 milliards d'euros sans l'aval des députés, et que le parlement devait être tenu au courant des décisions à ce sujet.
Mais cette avancée demeurait limité par une augmentation surprenante des réserves pétrolières américaines, l'inventaire hebdomadaire établi par le département d'état à l'énergie américain ayant mis hier en évidence une augmentation de 2 millions de barils la semaine dernière, au lieu de la baisse de 2.6 millions prévue.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont laissé échapper 0.05% pour glisser à 115.27 USD du baril dans le même temps, soit 18.24 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Ils avaient établi hier un pic à 115.99 USD, tirés vers le haut pas la nouvelle selon laquelle des islamistes avaient assassiné l'embassadeur américain en Libye, ainsi que trois autre membres du personnel diplomatique au cours d'une attaque à la roquette, laissant crainte un nouvel embrasement géopolitique d'un membre de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole.