Investing.com - Les options sur le brut étaient en forme ce lundi, la confiance étant revenue après que les élections grecques de la fin de semaine aient vu la mince victoire du parti de la Nouvelle Démocratie, favorable au plan de sauvetage, apaisant l'angoisse d'un départ de la zone euro.
Mais elles sont toutefoois retombées de leur pic du début de matinée en raison de la persistance des incertitudes concernant le futur de la Grèce et de l'augmentation des coûts des emprunts espagnools et italiens.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 84.41 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.4%.
Leur expiration est prévue à la fin des transactions de mercredi, ce qui entraîne généralement des sessions chaotiques, leurs détenteurs cherchant à liquider leurs positions ou à replacer leurs portefeuilles.
Leurs équivalents pour juillet ont connu davantage d'activité, s'élevant de 0.5% pour se situer à 84.74 USD, ayant auparavant culminé à 85.82 USD, leur cours le plus élevé depuis le 11 juin, avec une poussée de 1.5%.
Antonis Samaras, chef du parti conservateur de la Nouvelle Démocratie, commencera à former dans la journée un gouvernement coalisé, après que les estimations de résultats aient désigné sa formation comme première dans les urnes des élections législatives de ce dimanche, prenant légèrement l'avantage sur le parti Syriza, opposé à la politique d'austérité.
Les premières informations émanant du ministère de l'intérieur lui ont donc attribué 29.7% des suffrages exprimés, le parti de gauche se plaçant second à une longueur avec 27%.
Il a désormais trois jours pour forger une alliance gouvernementale, après avoir conquis d'après les évaluations préliminaires 129 sièges sur les 151 nécessaires pour acquérir la majorité absolue sur les 300 du parlement.
Le moral avait été mis à mal ces dernières semaines, en raison de l'angoisse grandissante d'une sortie imminente de la nation hellène hors du bloc ayant adopté la monnaie unique.
La circonspection demeurait cependant le maître-mot en raison des incertitudes entourant son futur, cette semaine devant être la seconde en deux mois au cours de laquelle les formations politiques nationales tâcheront d'unir leurs forces, le scrutin n'éyant pas réussi à dégager une nouvelle administration suite au verdict des urnes du 6 mai.
Les observateurs sont par ailleurs de plus en plus inquiets face à l'augmentation des frais des emprunts de l'Espagne et de l'Italie, laissant redouter leur recours à des bouées de sauvetages internationales supplémentaires.
Les coûts des obligations décennales espagnoles avaient bondi la semaine passée vers leur plus haut niveau depuis l'introduction de la devise européenne, malgré les efforts visant à isoler Madrid des effets de la crise de la dette souveraine en lui fournissant 100 milliards d'euros d'aides au renflouement des banques nationales.
L'Espagne est donc devenue en fin de semaine le quatrième pays d'Europe à appeler à l'aide, certains craignant même que l'Italie suive tôt ou tard le même chemin.
Un nouveau sommet du groupe des 20 pays les plus développés devait pour sa part débuter aujourd'hui à Mexico, dans l'expectative de nouvelles mesures destinées à lutter contre le problème du surendettement régional.
Les pourparlers de l'Iran avec les grandes puissances à propos de son programme nucléaire devant se dérouler en cours de journée à Moscou étaient également au centre des attentions.
Les deux parties sont restées dans l'impasse à ce sujet ces derniers mois, les Etats-Unis et leurs alliés s'inquiètant que celui-ci vise à développer l'arme nucléaire, alors que l'accusé assure n'avoir que des fins civiles, et ayant renforcé leurs sanctions envers Téhéran ces derniers mois, avec notamment un embargo européen sur le pétrole iranien devant prendre effet le premier juillet.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont gagné 0.75% pour grimper à 98.33 USD du baril dans le même temps, soit 13.59 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Mais elles sont toutefoois retombées de leur pic du début de matinée en raison de la persistance des incertitudes concernant le futur de la Grèce et de l'augmentation des coûts des emprunts espagnools et italiens.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 84.41 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.4%.
Leur expiration est prévue à la fin des transactions de mercredi, ce qui entraîne généralement des sessions chaotiques, leurs détenteurs cherchant à liquider leurs positions ou à replacer leurs portefeuilles.
Leurs équivalents pour juillet ont connu davantage d'activité, s'élevant de 0.5% pour se situer à 84.74 USD, ayant auparavant culminé à 85.82 USD, leur cours le plus élevé depuis le 11 juin, avec une poussée de 1.5%.
Antonis Samaras, chef du parti conservateur de la Nouvelle Démocratie, commencera à former dans la journée un gouvernement coalisé, après que les estimations de résultats aient désigné sa formation comme première dans les urnes des élections législatives de ce dimanche, prenant légèrement l'avantage sur le parti Syriza, opposé à la politique d'austérité.
Les premières informations émanant du ministère de l'intérieur lui ont donc attribué 29.7% des suffrages exprimés, le parti de gauche se plaçant second à une longueur avec 27%.
Il a désormais trois jours pour forger une alliance gouvernementale, après avoir conquis d'après les évaluations préliminaires 129 sièges sur les 151 nécessaires pour acquérir la majorité absolue sur les 300 du parlement.
Le moral avait été mis à mal ces dernières semaines, en raison de l'angoisse grandissante d'une sortie imminente de la nation hellène hors du bloc ayant adopté la monnaie unique.
La circonspection demeurait cependant le maître-mot en raison des incertitudes entourant son futur, cette semaine devant être la seconde en deux mois au cours de laquelle les formations politiques nationales tâcheront d'unir leurs forces, le scrutin n'éyant pas réussi à dégager une nouvelle administration suite au verdict des urnes du 6 mai.
Les observateurs sont par ailleurs de plus en plus inquiets face à l'augmentation des frais des emprunts de l'Espagne et de l'Italie, laissant redouter leur recours à des bouées de sauvetages internationales supplémentaires.
Les coûts des obligations décennales espagnoles avaient bondi la semaine passée vers leur plus haut niveau depuis l'introduction de la devise européenne, malgré les efforts visant à isoler Madrid des effets de la crise de la dette souveraine en lui fournissant 100 milliards d'euros d'aides au renflouement des banques nationales.
L'Espagne est donc devenue en fin de semaine le quatrième pays d'Europe à appeler à l'aide, certains craignant même que l'Italie suive tôt ou tard le même chemin.
Un nouveau sommet du groupe des 20 pays les plus développés devait pour sa part débuter aujourd'hui à Mexico, dans l'expectative de nouvelles mesures destinées à lutter contre le problème du surendettement régional.
Les pourparlers de l'Iran avec les grandes puissances à propos de son programme nucléaire devant se dérouler en cours de journée à Moscou étaient également au centre des attentions.
Les deux parties sont restées dans l'impasse à ce sujet ces derniers mois, les Etats-Unis et leurs alliés s'inquiètant que celui-ci vise à développer l'arme nucléaire, alors que l'accusé assure n'avoir que des fins civiles, et ayant renforcé leurs sanctions envers Téhéran ces derniers mois, avec notamment un embargo européen sur le pétrole iranien devant prendre effet le premier juillet.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont gagné 0.75% pour grimper à 98.33 USD du baril dans le même temps, soit 13.59 USD de mieux que leurs homologues américaines.