Investing.com - Les options sur le brut étaient en meilleure forme ce lundi, le moral éyant été requinqué par l'approche des pourparlers d'urgence du groupe des 7 pays les plus industrialisés à propos de la crise de la zone euro.
Son rebond demeurait toutefoois limité par le peu d'envie de continuer à tirer les prix vers le haut sur fond de signes d'affaiblissement des perspectives de croissance.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 84.33 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.4%.
Ils avaient auparavant culminé à 84.92 USD, leur cours le plus élevé des deux derniers jours, avec une poussée de 0.85%, après avoir touché hier le fond à 81.21 USD, leur valeur la plus faible depuis le 6 octobre 2011.
Le moral a bénéficié d'un coup de fouet grâce à l'espoir que les décideurs vont intensifier leurs efforts de soutien à l'économie planétaire.
La Réserve Bancaire d'Australie avait auparavant rabaissé son taux d'intérêt de 0.25 points, l'amenant à 3.5% afin de tenter de renforcer la croissance nationale face aux turbulences mondiales.
Il s'agissait de sa seconde manoeuvre de ce type d'affilée, ayant en effet fait subir en mai à son taux appliqué aux liquidités un recul dépassant nettement les attentes avec 0.5 points.
Les ministres des finances du groupe des 7 pays les plus développés devraient pour leur part tenir aujourd'hui une téléconférence urgente afin de discuter de la crise de la dette de la zone euro, qui en est désormais à sa troisième année.
Celle-ci servira de prélude à la réunion du groupe des 20 pays les plus avancés économiquement à Los Cabos, au Mexique, les 18 et 19 juin.
L'attention des opérateurs était également attirée par plusieurs réunions d'orientation politique prévues dans la semaine, notamment celle de la Banque Centrale Européenne de mercredi, et de la Banque d'Angleterre de jeudi, dans l'attente de leurs solutions de lutte contre l'affaiblissement de la croissance internationale.
Certains font courir des bruits selon lesquels la première pourrait annoncer des injections de capitaux dans le système financier en difficulté de la région, d'autres estimant qu'elle devrait réactiver son programme d'achats de bons du trésor, actuellement en pause.
Il ne faudra pas non plus négliger le rapport sur l'état de l'économie américaine rendu jeudi par Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis.
Les acteurs du marché pétrolier attendaient aussi l'inventaire hebdomadaire des réserves américaines de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Celui de l'institut du pétrole des Etats-Unis est attendu aujourd'hui, tandis que celui des autorités pourrait montrer demain leur première diminution en dix semaines.
Celle-ci devrait en effet représenter 900 000 barils, en raison de la diminution des importations.
Les Etats-Unis demeurent le premier consommateur au monde avec près des 22% des besoins planétaires.
Les cours ont subi depuis début mai une plongée rapide, l'aggravation de la crise de la dette de la zone euro et l'angoisse d'un ralentissement plus important que redouté de l'activité économique chinoise ayant tiré les prix vers le bas.
Ceux sur le NYMEX ont fondu de plus de 22% au cours des cinq semaines passées, constituant le recul le plus important sur une période semblable depuis celle achevée le 18 janvier 2009, dévalant près de 26% depuis leur sommet journalier du premier mars à 110.53 USD.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juillet demeuraient stable à 98.86 USD du baril dans le même temps, soit 14.53 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur valeur s'était auparavant effondrée hier jusqu'à 95.65 USD, son niveau le plus bas depuis le 26 janvier 2011.
Leur cours, établis à Londres, ont dévalé de près de 25% depuis leur sommet à 128.38 USD établi le premier mars.
L'éventualité d'une absence des fournitures iraniennes avait contribué la tirer les prix vers le haut en fin d'année dernière et sur le premier trimestre 2012.
Mais le renouveau des négociations entre l'Occident et la nation perse concernant le programe atomique de cette dernière, l'augmentation des débits saoudien et libyen, ainsi que les signes de ralentissement de la croissance et des embauches des Etats-Unis ont contribué à les faire retomber de leurs sommets des trois premiers mois de l'année.
Son rebond demeurait toutefoois limité par le peu d'envie de continuer à tirer les prix vers le haut sur fond de signes d'affaiblissement des perspectives de croissance.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 84.33 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.4%.
Ils avaient auparavant culminé à 84.92 USD, leur cours le plus élevé des deux derniers jours, avec une poussée de 0.85%, après avoir touché hier le fond à 81.21 USD, leur valeur la plus faible depuis le 6 octobre 2011.
Le moral a bénéficié d'un coup de fouet grâce à l'espoir que les décideurs vont intensifier leurs efforts de soutien à l'économie planétaire.
La Réserve Bancaire d'Australie avait auparavant rabaissé son taux d'intérêt de 0.25 points, l'amenant à 3.5% afin de tenter de renforcer la croissance nationale face aux turbulences mondiales.
Il s'agissait de sa seconde manoeuvre de ce type d'affilée, ayant en effet fait subir en mai à son taux appliqué aux liquidités un recul dépassant nettement les attentes avec 0.5 points.
Les ministres des finances du groupe des 7 pays les plus développés devraient pour leur part tenir aujourd'hui une téléconférence urgente afin de discuter de la crise de la dette de la zone euro, qui en est désormais à sa troisième année.
Celle-ci servira de prélude à la réunion du groupe des 20 pays les plus avancés économiquement à Los Cabos, au Mexique, les 18 et 19 juin.
L'attention des opérateurs était également attirée par plusieurs réunions d'orientation politique prévues dans la semaine, notamment celle de la Banque Centrale Européenne de mercredi, et de la Banque d'Angleterre de jeudi, dans l'attente de leurs solutions de lutte contre l'affaiblissement de la croissance internationale.
Certains font courir des bruits selon lesquels la première pourrait annoncer des injections de capitaux dans le système financier en difficulté de la région, d'autres estimant qu'elle devrait réactiver son programme d'achats de bons du trésor, actuellement en pause.
Il ne faudra pas non plus négliger le rapport sur l'état de l'économie américaine rendu jeudi par Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis.
Les acteurs du marché pétrolier attendaient aussi l'inventaire hebdomadaire des réserves américaines de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Celui de l'institut du pétrole des Etats-Unis est attendu aujourd'hui, tandis que celui des autorités pourrait montrer demain leur première diminution en dix semaines.
Celle-ci devrait en effet représenter 900 000 barils, en raison de la diminution des importations.
Les Etats-Unis demeurent le premier consommateur au monde avec près des 22% des besoins planétaires.
Les cours ont subi depuis début mai une plongée rapide, l'aggravation de la crise de la dette de la zone euro et l'angoisse d'un ralentissement plus important que redouté de l'activité économique chinoise ayant tiré les prix vers le bas.
Ceux sur le NYMEX ont fondu de plus de 22% au cours des cinq semaines passées, constituant le recul le plus important sur une période semblable depuis celle achevée le 18 janvier 2009, dévalant près de 26% depuis leur sommet journalier du premier mars à 110.53 USD.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juillet demeuraient stable à 98.86 USD du baril dans le même temps, soit 14.53 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur valeur s'était auparavant effondrée hier jusqu'à 95.65 USD, son niveau le plus bas depuis le 26 janvier 2011.
Leur cours, établis à Londres, ont dévalé de près de 25% depuis leur sommet à 128.38 USD établi le premier mars.
L'éventualité d'une absence des fournitures iraniennes avait contribué la tirer les prix vers le haut en fin d'année dernière et sur le premier trimestre 2012.
Mais le renouveau des négociations entre l'Occident et la nation perse concernant le programe atomique de cette dernière, l'augmentation des débits saoudien et libyen, ainsi que les signes de ralentissement de la croissance et des embauches des Etats-Unis ont contribué à les faire retomber de leurs sommets des trois premiers mois de l'année.