Investing.com - Les options sur le brut étaient en repli ce mardi, les opérateurs préfèrant rester sur la touche en attendant la décision de la plus haute juridiction de l'Allemagne concernant la conformité ou non du fonds de secours permantnt de l'Europe avec la législation nationale.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 96.38 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.15%.
Ils avaient précédement oscillé entre 96.08 USD, leur pire cours du jour, et 96.55, leur meilleur
Les opérateurs attendaient l'arrêt de la cour constitutionnelle allemande à propos de la conformité ou non du Mécanisme Européen de Stabilité avec la loi fondamentale germanique.
Son feu vert sera indispensable à l'application du programme d'achats de bons du trésor par le Banque Centrale Européenne annoncé la semaine passée et dénommés Transactions Monétaires Directes.
Les yeux restaient aussi tournés pour jeudi vers les résultats de la réunion de la Réserve Fédérale, sur fond de résurgence des rumeurs selon lesquelles elle pourrait donner cette semaine le coup d'envoi à une troisième série d'injections de liquidités afin de donner un coup de fouet à l'expansion économique.
Celles-ci ont en effet enflé suite aux performances decevantes de l'emploi américain dévoilées vendredi.
Ce type de manoeuvre affaiblit généralement le billet vert, augmentant du même coup les prix des matières premières libellées avec, notamment l'or noir.
Les opérateurs du marché pétrolier gardaient d'autre part à l'esprit l'arrivée demain de l'inventaire hebdomadaire du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés élaboré par les autorités nationales, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui-ci pourrait montrer qu'elles ont fondu la semaine dernière de 2.1 millions de barils barils, alors que son équivalent émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont glissé de 0.1% pour dsecendre à 114.17 USD du baril dans le même temps, soit 17.79 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 96.38 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.15%.
Ils avaient précédement oscillé entre 96.08 USD, leur pire cours du jour, et 96.55, leur meilleur
Les opérateurs attendaient l'arrêt de la cour constitutionnelle allemande à propos de la conformité ou non du Mécanisme Européen de Stabilité avec la loi fondamentale germanique.
Son feu vert sera indispensable à l'application du programme d'achats de bons du trésor par le Banque Centrale Européenne annoncé la semaine passée et dénommés Transactions Monétaires Directes.
Les yeux restaient aussi tournés pour jeudi vers les résultats de la réunion de la Réserve Fédérale, sur fond de résurgence des rumeurs selon lesquelles elle pourrait donner cette semaine le coup d'envoi à une troisième série d'injections de liquidités afin de donner un coup de fouet à l'expansion économique.
Celles-ci ont en effet enflé suite aux performances decevantes de l'emploi américain dévoilées vendredi.
Ce type de manoeuvre affaiblit généralement le billet vert, augmentant du même coup les prix des matières premières libellées avec, notamment l'or noir.
Les opérateurs du marché pétrolier gardaient d'autre part à l'esprit l'arrivée demain de l'inventaire hebdomadaire du volume des réserves américaines de brut et de ses dérivés élaboré par les autorités nationales, afin d'évaluer l'appétit du plus gros consommateur mondial.
Celui-ci pourrait montrer qu'elles ont fondu la semaine dernière de 2.1 millions de barils barils, alors que son équivalent émanant des spécialistes regroupés par l'institut du pétrole américain sera dévoilé après la clôture des échanges d'aujourd'hui.
Le pays garde sa première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont glissé de 0.1% pour dsecendre à 114.17 USD du baril dans le même temps, soit 17.79 USD de mieux que leurs homologues américaines.