Investing.com - Les options sur l'or se sont retrouvées sur la sellette ce lundi matin, l'euphorie consécutive au sommet des chefs d'état européens de vendredi ayant laissé la place à l'inquiétude à propos de l'efficacité des mesures proposées pour lutter conttre le problème du surendettement régional.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 593.15 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.7%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 589.75 USD, leur pire cours du jour, avec un recul de 0.9%, après avoir culminé vendredi à 1 607.45 USD, leur valeur la plus forte depuis le 21 juin.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 548.45 USD, leur plancher du 28 juin, et rencontrer de la résistance à 1 622.95, leur plafond du 20.
La dernière session de la semaine avait vu le métal jaune engranger 3% et son homologue gris 5%, alors que le goût pour le risque se trouvait encouragé par la décision des chefs des états membres de l'Union Européenne d'allouer les capitaux de secours pour la zone euro au renflouement direct des banques à la dérive, évitant ainsi d'alourdir encore le fardeau des dettes gouvernementales, mais aussi de mettre en place une autorité financière conjointe pour la région.
Les fonds de secours européenns serviront non seulement à renflouer directement les banques espagnoles, mais aussi à acquérir des dette nationales, afin de maintenir des coûts d'emprunt raisonnables.
Les chefs d'état ont aussi décidé de consacrer 120 milliards d'euros à l'encouragement de la croissance et aux créations d'emplois.
Mais cet enthousiasme s'est retrouvé douché aujourd'hui, les détails de la mise en place des mesures adoptées demeurant flous.
Les analystes ont tout de même averti qu'au-delà de l'optimisme du lendemain, l'efficacité des manoeuvres proposée restait à prouver, rappelant qu'elles auraient peu d'effets sur les causes premières du surendettement régional.
Les opérateurs guetteront de près les précisions qu'apporteront les ministres des finances des pays concernés au cours des deux prochaines semaines.
Ils scruteront également la réunion d'orientation de la Banque Centrale Européenne de jeudi, dans l'attente grandissante d'une diminution de ses taux d'intérêt, ainsi que les chiffres de l'emploi non-agricole américain du lendemain.
Les spécialistes du marché aurifère surveilleront aussi de près les résultats américains du second trimestre, en quête d'indices sur les probabilités de nouvelles injections de liquidités, qui pourraient mettre à mal l'étalon américain et redonner un coup de fouet au métal précieux.
Les volumes des transactions hebdomadaires américaines devraient pour leur part être diminués, en raison de la fête de l'indépendance de mercredi.
Les cours ont gagné environ 2.8% en juin, mais perdu 4% sur le trimestre, les opérateurs gardant à l'esprit l'évolution de la crise de la dette de la zone euro et les rumeurs déçues d'apports de capitaux supplémentaires de la part de la Réserve Fédérale.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs plongé de 1.2% pour sombrer à 27.29 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 1% pour se retrouver à 3.462 USD la livre dans le même temps.
Le mois et le trimestre auront vu les premières céder respectivement 0.6 et 15%.
Le métal rouge aura quand à lui arraché 3.8% mensuels, tout en subissant toutefois une hémorrhagie de 8.7% de mars à juin, subissant son plus mauvais trimestre depuis le dernier de l'année 2011.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 593.15 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.7%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 589.75 USD, leur pire cours du jour, avec un recul de 0.9%, après avoir culminé vendredi à 1 607.45 USD, leur valeur la plus forte depuis le 21 juin.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 548.45 USD, leur plancher du 28 juin, et rencontrer de la résistance à 1 622.95, leur plafond du 20.
La dernière session de la semaine avait vu le métal jaune engranger 3% et son homologue gris 5%, alors que le goût pour le risque se trouvait encouragé par la décision des chefs des états membres de l'Union Européenne d'allouer les capitaux de secours pour la zone euro au renflouement direct des banques à la dérive, évitant ainsi d'alourdir encore le fardeau des dettes gouvernementales, mais aussi de mettre en place une autorité financière conjointe pour la région.
Les fonds de secours européenns serviront non seulement à renflouer directement les banques espagnoles, mais aussi à acquérir des dette nationales, afin de maintenir des coûts d'emprunt raisonnables.
Les chefs d'état ont aussi décidé de consacrer 120 milliards d'euros à l'encouragement de la croissance et aux créations d'emplois.
Mais cet enthousiasme s'est retrouvé douché aujourd'hui, les détails de la mise en place des mesures adoptées demeurant flous.
Les analystes ont tout de même averti qu'au-delà de l'optimisme du lendemain, l'efficacité des manoeuvres proposée restait à prouver, rappelant qu'elles auraient peu d'effets sur les causes premières du surendettement régional.
Les opérateurs guetteront de près les précisions qu'apporteront les ministres des finances des pays concernés au cours des deux prochaines semaines.
Ils scruteront également la réunion d'orientation de la Banque Centrale Européenne de jeudi, dans l'attente grandissante d'une diminution de ses taux d'intérêt, ainsi que les chiffres de l'emploi non-agricole américain du lendemain.
Les spécialistes du marché aurifère surveilleront aussi de près les résultats américains du second trimestre, en quête d'indices sur les probabilités de nouvelles injections de liquidités, qui pourraient mettre à mal l'étalon américain et redonner un coup de fouet au métal précieux.
Les volumes des transactions hebdomadaires américaines devraient pour leur part être diminués, en raison de la fête de l'indépendance de mercredi.
Les cours ont gagné environ 2.8% en juin, mais perdu 4% sur le trimestre, les opérateurs gardant à l'esprit l'évolution de la crise de la dette de la zone euro et les rumeurs déçues d'apports de capitaux supplémentaires de la part de la Réserve Fédérale.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs plongé de 1.2% pour sombrer à 27.29 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 1% pour se retrouver à 3.462 USD la livre dans le même temps.
Le mois et le trimestre auront vu les premières céder respectivement 0.6 et 15%.
Le métal rouge aura quand à lui arraché 3.8% mensuels, tout en subissant toutefois une hémorrhagie de 8.7% de mars à juin, subissant son plus mauvais trimestre depuis le dernier de l'année 2011.