Investing.com - Les options sur le brut étaient sur la sellette pour la cinquième séance d'affilée ce mardi, les opérateurs continuant à limiter leur vulnérabilité aux valeurs dépendant de la croissance, sur fond de craintes concernant l'impact des élections grecques de fin de semaine sur la crise de la dette de la zone euro.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 97.02 USD le baril en première partie de séance européenne, reculant de 0.95%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96.81 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 1.15% de fléchissement, après avoir atteint hier les 95.36 USD, leur valeur la plus faible depuis le 20 septembre 2011.
La nervosité restait de mise après que les résultats des élections grecques et françaises aient semé le doute quand à la capcité de l'Europe à mettre en place les mesures de rigueur annoncées comme indispensables dans la lutte contre la crise de la dette régionale.
Les premières tentatives pour rassembler un gouvernement en Grèce ont échoué hier, laissant à craindre que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales.
Il est en effet redouté que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général, qui pourrait entraîner un fléchissement des besoins en or noir.
Le bloc ayant adopté la monnaie unique était responsable, d'après British Petroleum, de près de 12% de la consommation mondiale en 2010.
Les prix ont vu augmenter la pression baissière pesant sur eux après qu'Ali al-Naimi, ministre du pétrole saoudien, ait déclaré que son pays possédait des réserves pouvant atteindre 80 millions de barils pouvant servir à renforcer l'offre, pour contrecarrer à leur niveau, qu'il a affirmé être "encore un peu trop élevvé".
Il a ajouté que le royaume en extrayait environ 10 millions quotidiens, méritant ainsi sa place de premier producteur et exportateur au monde.
Les acteurs du marché péétrolier attendaient quand à eux des nouvelles hebdomadaires fraîches concernant les réserves américaines de brut et dérivés, afin d'évaluer les besoins du plus gros demandeur de la planète.
L'institut du pétrole américain rendra son inventaire dans la journée, tandis que celui des autorités, attendu pour demain, pourrait indiquer que les stocks d'or noir auraient augmenté de 2 millinos de barils la semaine passée, pour les amener à leu niveau le plus élevé depuis septembre 1990, attisant l'angoisse d'une diminution des besoins nationaux.
Les Etats-Unis gardent leur première part dans la consommation du monde, avec près de 22%.
Les prix sur le Nymex ont fondu de près de 9% depuis leur sommet journalier du 2 mai, en raison des craintes concernant la santé de l'économie mondiale et de l'apaisement des tensions entre l'Occident et l'Iran concernant le programme nucléaire de celui-ci.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont laissé échapper 0.45% pour glisser à 112.66 USD du baril dans le même temps, soit 15.64 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur cours, servant de point de repère européen, ont dévalé plus de 12% de pente depuis son sommet à 128.38 USD du premier mars.
L'éventualité d'une absence des fournitures de Téhéran avait contribué la tirer les prix vers le haut en fin d'année dernière et sur le premier trimestre 2012.
Mais le renouveau des négociations entre les grandes puissances mondiales et la nation perse concernant les ambitions nucléaires de cette dernière, l'augmentation des débits saoudien et libyen, ainsi que les signes de ralentissement de la croissance et des embauches des Etats-Unis ont contribué à les faire retomber de leurs sommets des trois premiers mois de l'année.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 97.02 USD le baril en première partie de séance européenne, reculant de 0.95%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96.81 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 1.15% de fléchissement, après avoir atteint hier les 95.36 USD, leur valeur la plus faible depuis le 20 septembre 2011.
La nervosité restait de mise après que les résultats des élections grecques et françaises aient semé le doute quand à la capcité de l'Europe à mettre en place les mesures de rigueur annoncées comme indispensables dans la lutte contre la crise de la dette régionale.
Les premières tentatives pour rassembler un gouvernement en Grèce ont échoué hier, laissant à craindre que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales.
Il est en effet redouté que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général, qui pourrait entraîner un fléchissement des besoins en or noir.
Le bloc ayant adopté la monnaie unique était responsable, d'après British Petroleum, de près de 12% de la consommation mondiale en 2010.
Les prix ont vu augmenter la pression baissière pesant sur eux après qu'Ali al-Naimi, ministre du pétrole saoudien, ait déclaré que son pays possédait des réserves pouvant atteindre 80 millions de barils pouvant servir à renforcer l'offre, pour contrecarrer à leur niveau, qu'il a affirmé être "encore un peu trop élevvé".
Il a ajouté que le royaume en extrayait environ 10 millions quotidiens, méritant ainsi sa place de premier producteur et exportateur au monde.
Les acteurs du marché péétrolier attendaient quand à eux des nouvelles hebdomadaires fraîches concernant les réserves américaines de brut et dérivés, afin d'évaluer les besoins du plus gros demandeur de la planète.
L'institut du pétrole américain rendra son inventaire dans la journée, tandis que celui des autorités, attendu pour demain, pourrait indiquer que les stocks d'or noir auraient augmenté de 2 millinos de barils la semaine passée, pour les amener à leu niveau le plus élevé depuis septembre 1990, attisant l'angoisse d'une diminution des besoins nationaux.
Les Etats-Unis gardent leur première part dans la consommation du monde, avec près de 22%.
Les prix sur le Nymex ont fondu de près de 9% depuis leur sommet journalier du 2 mai, en raison des craintes concernant la santé de l'économie mondiale et de l'apaisement des tensions entre l'Occident et l'Iran concernant le programme nucléaire de celui-ci.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont laissé échapper 0.45% pour glisser à 112.66 USD du baril dans le même temps, soit 15.64 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur cours, servant de point de repère européen, ont dévalé plus de 12% de pente depuis son sommet à 128.38 USD du premier mars.
L'éventualité d'une absence des fournitures de Téhéran avait contribué la tirer les prix vers le haut en fin d'année dernière et sur le premier trimestre 2012.
Mais le renouveau des négociations entre les grandes puissances mondiales et la nation perse concernant les ambitions nucléaires de cette dernière, l'augmentation des débits saoudien et libyen, ainsi que les signes de ralentissement de la croissance et des embauches des Etats-Unis ont contribué à les faire retomber de leurs sommets des trois premiers mois de l'année.