Investing.com - Les options sur le brut étaient en difficulté ce jeudi, abandonnant une partie de leurs gains importants de la veille après qu'il ait été signalé que l'inflation de la Chine avait été supérieure aux prévisions le mois passé.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 96,25 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,4%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96,17 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0,5% de fléchissement.
Une étude officielle a en effet révélé que les prix à la consommation de la Chine avaient grimpé en avril de 2,4% d'une année sur l'autre, dépassant du coup les 2,3% anticipés et les 2,1% précédents.
Cette accélération inattendue a du coup jugulé les espérances de nouvelles mesures d'assouplissement de la part des décideurs de Pékin, qui auraient été destinées à donner un coup de fouet à la seconde économie mondiale.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
La journée d'hier avait été le théâtre d'un bond de plus de 1%, pour aboutir aux abords d'un pic de quatre semaines après qu'un rapport des autorités américaines ait souligné que les réserves nationales avaient moins augmenté au cours de la semaines dernière qu'envisagé.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis a déclaré hier qu'elles avaient accumulé 200.000 barils la semaine passée, au lieu des 1,8 millions attendus.
Leur volume total a ainsi culminé à 395,5 millions de barils, leur niveau le plus élevé depuis 1982.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont chuté de 0,6% pour sombrer à 103,77 USD du baril dans le même temps, soit 7,52 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus faible depuis janvier 2011.
Celui-ci a fondu ces dernières semaines, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.
Ce dernier a écoulé 652.000 barils, pour en totaliser à 49,1 millions la semaine passée, d'après les informations émanant de l'agence d'état chargée de ces questions.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 96,25 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,4%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96,17 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0,5% de fléchissement.
Une étude officielle a en effet révélé que les prix à la consommation de la Chine avaient grimpé en avril de 2,4% d'une année sur l'autre, dépassant du coup les 2,3% anticipés et les 2,1% précédents.
Cette accélération inattendue a du coup jugulé les espérances de nouvelles mesures d'assouplissement de la part des décideurs de Pékin, qui auraient été destinées à donner un coup de fouet à la seconde économie mondiale.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
La journée d'hier avait été le théâtre d'un bond de plus de 1%, pour aboutir aux abords d'un pic de quatre semaines après qu'un rapport des autorités américaines ait souligné que les réserves nationales avaient moins augmenté au cours de la semaines dernière qu'envisagé.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis a déclaré hier qu'elles avaient accumulé 200.000 barils la semaine passée, au lieu des 1,8 millions attendus.
Leur volume total a ainsi culminé à 395,5 millions de barils, leur niveau le plus élevé depuis 1982.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont chuté de 0,6% pour sombrer à 103,77 USD du baril dans le même temps, soit 7,52 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus faible depuis janvier 2011.
Celui-ci a fondu ces dernières semaines, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.
Ce dernier a écoulé 652.000 barils, pour en totaliser à 49,1 millions la semaine passée, d'après les informations émanant de l'agence d'état chargée de ces questions.