Investing.com - Les options sur l'or étaient en forme ce mardi, se remettant de leur déconvenue de la veille alor que les opérateurs prenaient position dessus à l'approche de chiffres cruciaux de la part de la zone euro et des Etats-Unis.
La persistance de l'espoir que les principaux décideurs de la planète vont annoncer des mesutres stimulatrices destinées à donner un coup de fouet à la croissance mondiale continuait en effet à les tirer vers le haut.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 615.75 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.3%.
Ils avaient auparavant oscillé dans une fourchette étroite, entre 1 615.55 USD, leur plus haut valeur du jour, et 1 610.85 USD, leur plus basse.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 603.95 USD, leur plancher du 8 août, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 626.05 USD, leur plafond d'hier.
Les cours se sont plutôt bien portés ces derniers jours, en raison de l'attente de l'annonce par les banques centrales américaine, européenne, chinoise et japonaise de nouveaux coups de pouce à leurs économies respectives.
Les observateurs guettaient avidement pour la mi-journée la révélation du produit intérieur brut du bloc euro, après qu'il ait été signalé que l'Allemagne avait connu au second trimestre une croissance dépassant les espérances.
Elle a en effet connu 0.3% d'expansion d'avril à juin, au lieu des 0.2% espérés, après les 0.5% du trimestre précédent.
Il était d'autre part à noter que la France avait de son côté stagné sur la même période, alors qu'une contraction de 0.1% était crainte.
Le volume des ventes et l'inflation au détail des Etats-Unis seront également très surveillés en fin de journée, dans l'espoir de juger de la vigueur de la reprise du pays et de son besoin d'encouragements supplémentaires.
Les évolutions du métal jaune constatées cette année ont largement suivi les espérances variables d'utilisation éventuelle de la planche à billets par les Etats-Unis pour remplumer leur système financier.
La conférence annuelle des économiste et banquiers centraux, prévue fin août à Jackson Hole, dans le Wyoming, était du coup déjà sur toutes les lèvres, ainsi que la prochaine réunion du comité fédéral des marchés ouverts, devant quand à elle avoir lieu les 12 et 13 septembre, en quête de tout signe d'achats de bons du trésor supplémentaires de sa part, pudiquement dénommés "assouplissements quantitatifs".
L'envolée de ses cours a ainsi atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD après que la Fed ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait renouveler ses apports de capitaux.
Ils sont toutefois retombés de près de 11% depuis la fin février, sur fond de manque d'initiatives de sa part, et le spectre d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour leur contrepartie qu'est l'étalon américain.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs progressé de 0.55% pour grimper à 27.92 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 0.65% pour se retrouver à 3.375 USD la livre dans le même temps.
La persistance de l'espoir que les principaux décideurs de la planète vont annoncer des mesutres stimulatrices destinées à donner un coup de fouet à la croissance mondiale continuait en effet à les tirer vers le haut.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 615.75 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.3%.
Ils avaient auparavant oscillé dans une fourchette étroite, entre 1 615.55 USD, leur plus haut valeur du jour, et 1 610.85 USD, leur plus basse.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 603.95 USD, leur plancher du 8 août, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 626.05 USD, leur plafond d'hier.
Les cours se sont plutôt bien portés ces derniers jours, en raison de l'attente de l'annonce par les banques centrales américaine, européenne, chinoise et japonaise de nouveaux coups de pouce à leurs économies respectives.
Les observateurs guettaient avidement pour la mi-journée la révélation du produit intérieur brut du bloc euro, après qu'il ait été signalé que l'Allemagne avait connu au second trimestre une croissance dépassant les espérances.
Elle a en effet connu 0.3% d'expansion d'avril à juin, au lieu des 0.2% espérés, après les 0.5% du trimestre précédent.
Il était d'autre part à noter que la France avait de son côté stagné sur la même période, alors qu'une contraction de 0.1% était crainte.
Le volume des ventes et l'inflation au détail des Etats-Unis seront également très surveillés en fin de journée, dans l'espoir de juger de la vigueur de la reprise du pays et de son besoin d'encouragements supplémentaires.
Les évolutions du métal jaune constatées cette année ont largement suivi les espérances variables d'utilisation éventuelle de la planche à billets par les Etats-Unis pour remplumer leur système financier.
La conférence annuelle des économiste et banquiers centraux, prévue fin août à Jackson Hole, dans le Wyoming, était du coup déjà sur toutes les lèvres, ainsi que la prochaine réunion du comité fédéral des marchés ouverts, devant quand à elle avoir lieu les 12 et 13 septembre, en quête de tout signe d'achats de bons du trésor supplémentaires de sa part, pudiquement dénommés "assouplissements quantitatifs".
L'envolée de ses cours a ainsi atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD après que la Fed ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait renouveler ses apports de capitaux.
Ils sont toutefois retombés de près de 11% depuis la fin février, sur fond de manque d'initiatives de sa part, et le spectre d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour leur contrepartie qu'est l'étalon américain.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs progressé de 0.55% pour grimper à 27.92 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 0.65% pour se retrouver à 3.375 USD la livre dans le même temps.