Investing.com - Les options sur l'or étaient en léger progès dans une fourchette limitée ce mardi, les observateurs guettant le témoignage semestriel de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, débutant cet après-midi devant le congrès.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 593.85 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0.15%.
Ils avaient précédement oscillé dans une bande étroite entre 1 595.95 USD, leur meilleur cours du jour, et 1 590.15 USD, leur pire.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 567.15, leur plancher du 13 juillet, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 601.25 USD, leur plafond du 10.
Les bruits selon lesquels la banque centrale américaine pourrait procéder à de nouveaux apports de capitaux allaient bon train après que des informations officielles aient montré hier que les ventes au détail des Etats-Unis avaient dérapé de 0.5% après ajustement saisonnier en juin, après avoir déjà fondu de 0.2% en avril et mai.
Il s'agissait de la première fois qu'elles subissaient trois mois de recul d'affilée depuis la fin 2008.
L'audience de M. Bernanke était ainsi au centre des débats, en raison des rumeurs selon lesquelles la banque centrale américaine pourrait mettra davantage de mesures d'encouragement en place.
Il comparaîtra mardi devant le comité bancaire sénatorial, et mercredi devant le conseil parlementaire des services financiers.
Le compte-rendu du dernier conseil directeur de la banque centrale américaine publié la semaine passée avait révélé que peu de ses membres estimaient davantage d'acquisitions d'actifs nécessaires.
Plusieurs autres estimaient pour leur part que des apports de capitaux supplémentaires pourraient être justifiés en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou de chute "durable" de l'inflation au-dessous de la valeur visée.
Ils n'ont été que quatre à mentionner davantage d'assouplissements quantitatifs dans leurs prévisions personnelles, dont deux clairement en leur faveur, et deux déclarant les envisager.
Les évolutions de l'or constatées cette année ont largement suivi les attentes d'utilisation ou non de la planche à billets par les Etats-Unis pour remplumer leur système financier.
L'envolée des cours du métal précieux a atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD aprrès que la banque centrale des Etats-Unis ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait renouveler ses apports de capiptaux.
Ils sont toutefois retombés de près de 12% depuis la fin février, sur fond de manque d'initiatives de sa part, et d'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour leur contrepartie qu'est l'étalon américain.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs rebondi de 0.2% pour grimper à 27.37 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.3% pour se retrouver à 3.496 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 593.85 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0.15%.
Ils avaient précédement oscillé dans une bande étroite entre 1 595.95 USD, leur meilleur cours du jour, et 1 590.15 USD, leur pire.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 567.15, leur plancher du 13 juillet, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 601.25 USD, leur plafond du 10.
Les bruits selon lesquels la banque centrale américaine pourrait procéder à de nouveaux apports de capitaux allaient bon train après que des informations officielles aient montré hier que les ventes au détail des Etats-Unis avaient dérapé de 0.5% après ajustement saisonnier en juin, après avoir déjà fondu de 0.2% en avril et mai.
Il s'agissait de la première fois qu'elles subissaient trois mois de recul d'affilée depuis la fin 2008.
L'audience de M. Bernanke était ainsi au centre des débats, en raison des rumeurs selon lesquelles la banque centrale américaine pourrait mettra davantage de mesures d'encouragement en place.
Il comparaîtra mardi devant le comité bancaire sénatorial, et mercredi devant le conseil parlementaire des services financiers.
Le compte-rendu du dernier conseil directeur de la banque centrale américaine publié la semaine passée avait révélé que peu de ses membres estimaient davantage d'acquisitions d'actifs nécessaires.
Plusieurs autres estimaient pour leur part que des apports de capitaux supplémentaires pourraient être justifiés en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou de chute "durable" de l'inflation au-dessous de la valeur visée.
Ils n'ont été que quatre à mentionner davantage d'assouplissements quantitatifs dans leurs prévisions personnelles, dont deux clairement en leur faveur, et deux déclarant les envisager.
Les évolutions de l'or constatées cette année ont largement suivi les attentes d'utilisation ou non de la planche à billets par les Etats-Unis pour remplumer leur système financier.
L'envolée des cours du métal précieux a atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD aprrès que la banque centrale des Etats-Unis ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait renouveler ses apports de capiptaux.
Ils sont toutefois retombés de près de 12% depuis la fin février, sur fond de manque d'initiatives de sa part, et d'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour leur contrepartie qu'est l'étalon américain.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs rebondi de 0.2% pour grimper à 27.37 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.3% pour se retrouver à 3.496 USD la livre dans le même temps.