Investing.com - Les options sur l'or étaient en forme ce mardi, se maintenant juste au-dessous de leur pic d'une semaine, la détérioration des finances espagnoles faisant l'actualité.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 579.85 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0.55%.
Ils avaient précédement culminé à 1 580.85 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.65% d'augmentation, ayant établi hier un sommet à 1 585.65 USD, leur sommet le plus élevé depuis le 22 mai.
Leurs chances étaient grandes de trouver du soutien à 1 533.25 USD, leur plancher du 23 mai, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 594.35, leur plafond déjà évoqué.
Le coût des obligations décennales espagnoles s'est en effet hissé lundi à 6.47%, son niveau le plus élevé de cette année, après que Madrid ait annoncé son intention de renflouer Bankia, un des plus gros établissements financiers du pays.
Cette nouvelle a ravivé la crainte que la hausse du coût des sauvetages bancaires ne pousse le pays à recourir à un plan de secours international.
Mariano Rajoy, son premier ministre, a alors avoué lors d'un discours que "le financement posait de grandes difficultés" tout en excluant la possibilité d'un recours à une bouée de sauvetage.
La Grèce demeurait sur toutes les lèvres, bien que des sondages de fin de semaine indiquant que le parti de la Nouvelle Démocratie, favorable au programe d'aide internationale, pourrait être en mesure de former un nouveau gouvernement après le scrutin du 17 juin.
Les probabilités d'un départ de la Grèce hors de la zone euro ont augmenté depuis le début du mois, lorsque les formations opposées aux politiques d'austérité découlant du programme de sauvetage ont privé les autres de la majorité absolue lors du scrutin.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.2% de son côté pour se situer à 82.18, après avoir atteint vendredi sa valeur la plus élevée depuis septembre 2010.
Les opérateurs techniques estimaient que les prix demeuraient susceptibles de retomber dans un futur proche si ils devaient échouer à franchir le seuil de résistance crucial situé à 1 585 USD.
Les analystes de la banque française Société Générale ont pour leur part déclaré ce matin dans un rapport que le métal jaune demeurait dans l'immédiat sensible au moral macroéconomique, signalant toutefois que son statut de valeur refuge pourrait renaître de ses cendres en cas d'évènements entraînant une frilosité majeure.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur refuge, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'influence positive sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de la monnaie des Etats-Unis lui ont plutôt nui, évoluant dans les pas des actifs risqués depuis son pic historique à 1 920 USD de septembre dernier.
Il a ainsi perdu son attrait en tant que refuge par rapport au dollar U.S. mais aussi aux bons du trésor américains et allemands, le renforcement du billet vert ayant tendance à le rendre moins avantageux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs rebondi de 0.7% pour grimper à 28.57 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 1.25% pour s'envoler à 3.491 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 579.85 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0.55%.
Ils avaient précédement culminé à 1 580.85 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.65% d'augmentation, ayant établi hier un sommet à 1 585.65 USD, leur sommet le plus élevé depuis le 22 mai.
Leurs chances étaient grandes de trouver du soutien à 1 533.25 USD, leur plancher du 23 mai, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 594.35, leur plafond déjà évoqué.
Le coût des obligations décennales espagnoles s'est en effet hissé lundi à 6.47%, son niveau le plus élevé de cette année, après que Madrid ait annoncé son intention de renflouer Bankia, un des plus gros établissements financiers du pays.
Cette nouvelle a ravivé la crainte que la hausse du coût des sauvetages bancaires ne pousse le pays à recourir à un plan de secours international.
Mariano Rajoy, son premier ministre, a alors avoué lors d'un discours que "le financement posait de grandes difficultés" tout en excluant la possibilité d'un recours à une bouée de sauvetage.
La Grèce demeurait sur toutes les lèvres, bien que des sondages de fin de semaine indiquant que le parti de la Nouvelle Démocratie, favorable au programe d'aide internationale, pourrait être en mesure de former un nouveau gouvernement après le scrutin du 17 juin.
Les probabilités d'un départ de la Grèce hors de la zone euro ont augmenté depuis le début du mois, lorsque les formations opposées aux politiques d'austérité découlant du programme de sauvetage ont privé les autres de la majorité absolue lors du scrutin.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.2% de son côté pour se situer à 82.18, après avoir atteint vendredi sa valeur la plus élevée depuis septembre 2010.
Les opérateurs techniques estimaient que les prix demeuraient susceptibles de retomber dans un futur proche si ils devaient échouer à franchir le seuil de résistance crucial situé à 1 585 USD.
Les analystes de la banque française Société Générale ont pour leur part déclaré ce matin dans un rapport que le métal jaune demeurait dans l'immédiat sensible au moral macroéconomique, signalant toutefois que son statut de valeur refuge pourrait renaître de ses cendres en cas d'évènements entraînant une frilosité majeure.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur refuge, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'influence positive sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de la monnaie des Etats-Unis lui ont plutôt nui, évoluant dans les pas des actifs risqués depuis son pic historique à 1 920 USD de septembre dernier.
Il a ainsi perdu son attrait en tant que refuge par rapport au dollar U.S. mais aussi aux bons du trésor américains et allemands, le renforcement du billet vert ayant tendance à le rendre moins avantageux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs rebondi de 0.7% pour grimper à 28.57 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 1.25% pour s'envoler à 3.491 USD la livre dans le même temps.