Investing.com - Les options sur l'or étaient plutôt en forme ce jeudi matin, le dollar U.S. se retrouvant sur la sellette après qu'il ait été signalé que l'activité des usines chinoises avait augmenté le mois dernier pour la première fois en plus d'un an.
Le moral se trouvait aussi renforcé par l'espoir d'un accord au sujet de la Grèce.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 729.65 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0.35%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette située entre 1 728.25 USD, leur pire cours journalier, et 1 732.45 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 704.55 USD, leur plancher du 15 novembre, et rencontrer de la résistance à 1 737.95 USD, leur plafond du 12.
L'ambiance s'est en effet ragaillardie après qu'il ait été révélé à l'aube que l'indice manufacturier des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC s'était hissé de 49.5 définitifs vers 50.4 pour novembre.
Ce retour dans une zone positive après le passage à vide entamé depuis septembre 2011 a ainsi rassuré ceux qui craignaient une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
La chancelière allemande Angela Merkel a pour sa part déclaré qu'un accord de déblocage de la tranche d'aides que la Grèce attend depuis un certain temps pourrait toujours être trouvé une fois que les membres de l'Eurogroupe reprendraient les négociations lundi.
Leurs pourparlers d'hier avec le Fonds Monétaire International se sont en effet heurtées à une impasse, privant ainsi Athènes de sa bouée de sauvetage, en raison des désaccords concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de sa dette à un niveau gérable.
Le fléchissement de l'étalon américain a également contribué à la tendance, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.1% de son côté pour se situer à 80.89, sa valeur la plus faible depuis le 9 novembre.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
L'attention continuait d'être attirée par la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des six semaines précédant la date fatidique.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs rebondi de 1.2% pour grimper à 33.32 USD de l'once, leur plus haut niveau des cinq semaines écoulées, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.3% pour se retrouver à 3.506 USD la livre dans le même temps.
Le volume des transactions devrait toutefois être limité, les places américaines demeurant closes en raison de la fête de Thanksgiving.
Le moral se trouvait aussi renforcé par l'espoir d'un accord au sujet de la Grèce.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 729.65 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0.35%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette située entre 1 728.25 USD, leur pire cours journalier, et 1 732.45 USD, leur meilleur.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 704.55 USD, leur plancher du 15 novembre, et rencontrer de la résistance à 1 737.95 USD, leur plafond du 12.
L'ambiance s'est en effet ragaillardie après qu'il ait été révélé à l'aube que l'indice manufacturier des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC s'était hissé de 49.5 définitifs vers 50.4 pour novembre.
Ce retour dans une zone positive après le passage à vide entamé depuis septembre 2011 a ainsi rassuré ceux qui craignaient une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
La chancelière allemande Angela Merkel a pour sa part déclaré qu'un accord de déblocage de la tranche d'aides que la Grèce attend depuis un certain temps pourrait toujours être trouvé une fois que les membres de l'Eurogroupe reprendraient les négociations lundi.
Leurs pourparlers d'hier avec le Fonds Monétaire International se sont en effet heurtées à une impasse, privant ainsi Athènes de sa bouée de sauvetage, en raison des désaccords concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de sa dette à un niveau gérable.
Le fléchissement de l'étalon américain a également contribué à la tendance, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissant de 0.1% de son côté pour se situer à 80.89, sa valeur la plus faible depuis le 9 novembre.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
L'attention continuait d'être attirée par la menace du mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires, devant prendre effet pour un total d'environ 600 milliards d'USD d'ici le premier janvier.
Certains craignent ainsi que cet obstacle supplémentaire ne replonge l'économie nationale dans la récession, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des six semaines précédant la date fatidique.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs rebondi de 1.2% pour grimper à 33.32 USD de l'once, leur plus haut niveau des cinq semaines écoulées, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.3% pour se retrouver à 3.506 USD la livre dans le même temps.
Le volume des transactions devrait toutefois être limité, les places américaines demeurant closes en raison de la fête de Thanksgiving.