Investing.com - Les options sur l'or étaient en léger recul ce lundi, tirées vers le bas par le renforcement du dollar U.S. mais retrouvant gardant tout de même le sourire grâce aux achats en quête de sécurité découlant des élections de fin de semaine en Grèce et en France.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 638.55 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.4%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 634.85 USD, leur pire cours du jour, avec 0.55% de régression.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 625.55 USD, leur plancher du 25 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 672.15, son plafond du premier mai.
L'inquiétude était grande après que le candidat socialiste François Hollande ait détrôné le président sortant Nicolas Sarkozy, et que les partis politiques grecs favorables au plan de secours aient subi une correction, d'après les sondages de sortie des urnes pour les élections parlementaires d'hier.
Ces scrutins ont ravivé les craintes concernant la capacité de l'Europe à lutter contre la crise découlant de son surendettement.
M. Hollande a en effet appelé à renégocier le pacte fiscal européen et ses règles fiscales draconiennes, tandis qu'aucune formation n'avait rassemblé assez de votes pour dégager une majorité au parlement à Athènes, alimentant les rumeurs de refus d'honorer les engagements récemment signés destinés à lui assurer l'attribution d'aides internationales.
L'atmosphère n'a guère été éclaircie par les résultats décevants de l'emploi des Etats-Unis révélés vendredi, mettant en relief les incertitudes concernant la vigueur de la relance économique du pays.
Le département d'état au travail a en effet avoué que l'économie du pays n'avait effectué que 115 000 embauches le mois dernier, la moins bonne performance des six mois écoulés, soit nettement moins que les 170 000 espérés, contre 154 000 après révision à la hausse pour mars.
Le taux de chômage a par contre trébuché à 8.1%, sa valeur la plus faible depuis janvier 2009, mais il semblerait que ce résultat provienne de personnes sortant de la population active.
Ces résultats décevants ont poussé les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées, comme les actions et les matières premières, se raccrochant à la sécurité relative de l'étalon américain.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a progressé de 0.43% de son côté pour se situer à 79.94 dans le même temps, son plus haut niveau depuis le 16 avril.
Les cours de l'or ont tendance à descendre quand ce dernier monte, le rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs subi une glissade de 0.9% pour plonger à 30.15 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont connu un revers de 0.9% aussi pour se retrouver à 3.688 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 638.55 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.4%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 634.85 USD, leur pire cours du jour, avec 0.55% de régression.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 625.55 USD, leur plancher du 25 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 672.15, son plafond du premier mai.
L'inquiétude était grande après que le candidat socialiste François Hollande ait détrôné le président sortant Nicolas Sarkozy, et que les partis politiques grecs favorables au plan de secours aient subi une correction, d'après les sondages de sortie des urnes pour les élections parlementaires d'hier.
Ces scrutins ont ravivé les craintes concernant la capacité de l'Europe à lutter contre la crise découlant de son surendettement.
M. Hollande a en effet appelé à renégocier le pacte fiscal européen et ses règles fiscales draconiennes, tandis qu'aucune formation n'avait rassemblé assez de votes pour dégager une majorité au parlement à Athènes, alimentant les rumeurs de refus d'honorer les engagements récemment signés destinés à lui assurer l'attribution d'aides internationales.
L'atmosphère n'a guère été éclaircie par les résultats décevants de l'emploi des Etats-Unis révélés vendredi, mettant en relief les incertitudes concernant la vigueur de la relance économique du pays.
Le département d'état au travail a en effet avoué que l'économie du pays n'avait effectué que 115 000 embauches le mois dernier, la moins bonne performance des six mois écoulés, soit nettement moins que les 170 000 espérés, contre 154 000 après révision à la hausse pour mars.
Le taux de chômage a par contre trébuché à 8.1%, sa valeur la plus faible depuis janvier 2009, mais il semblerait que ce résultat provienne de personnes sortant de la population active.
Ces résultats décevants ont poussé les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées, comme les actions et les matières premières, se raccrochant à la sécurité relative de l'étalon américain.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a progressé de 0.43% de son côté pour se situer à 79.94 dans le même temps, son plus haut niveau depuis le 16 avril.
Les cours de l'or ont tendance à descendre quand ce dernier monte, le rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs subi une glissade de 0.9% pour plonger à 30.15 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont connu un revers de 0.9% aussi pour se retrouver à 3.688 USD la livre dans le même temps.