Investing.com - Les options sur l'or étaient en légère progression ce jeudi, les fortes pertes des deux journées écoulées créant des opportunités d'achat de la part d'investisseurs peu enclins à parier sur une poursuite de la descente.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 664.65 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.25%.
Ils avaient précédement culminé à 1 666.85 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.35% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 627.75 USD, leur plancher du 22 mars, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 699.55, leur plafond du 27.
Les deux dernières séances les avaient vus plonger de près de 2.5%, leur incapacité à dépasser la barre de résistance cruciale des 1 700 USD en début de semaine a poussé à des ventes techniques sur fond de signes peu favorables à une hausse.
Mais cette dégringolade en a poussé d'autres à en faire l'acquisition, estimant que l'attente d'une troisième série d'assouplissements monétaires de la part de la Réserve Fédérale les empêcherait de poursuivre leur chute.
Les prix étaient remontés lundi à la suite de ses propos affirmant que "la poursuite de politiques souples" serait nécessaire afin d'apporter des évolutions profondes au marché de l'emploi américain, qu'il a estimé être encore "loin de son niveau normal" malgré de récentes améliorations.
Les observateurs ont estimé qu'il laissait entendre par là que la Fed garderait son cap actuel, et conforté l'hypothèse selon laquelle de nouveaux assouplissements de sa part étaient possibles.
Ils attendent désormais le rapport hebdomadaire des autorités des Etats-Unis sur les nouvelles inscriptions au chômage ainsi que les chiffrse révisés du produit intérieur brut devant être rvélés dans l'après-midi afin d'évaluer la force de l'économie américaine et de son besoin de voir sa croissance stimulée par des injections de capitaux supplémentaires.
Ils surveillaient également les ministres des finances de la zone euro, qui doivent en effet tenir des pourparlers à Copenhague ce vendredi afin d'évoquer la fusion du Mécanisme de Stabilisation Européen, fort de ses 500 milliiards d'euros mobilisés de manière permanente, avec le fond temporaire, représentant un volume de 200 milliards.
Les problèmes de dette de l'Espagne étaient également présents dans tous les esprits alors qu'une grève générale y avait lieu, en protestation contre les mesures de rigueur prises par le gouvernement.
Les experts du métal jaune continuaient à surveiller les conséquences de la grève nationale des joaillers et vendeurs d'or indiens, ayant entraîné un étouffement de la demande sur le marché physique de New Delhi au cours des deux semaines écoulées.
Le ministre des finances de l'Inde avait exclu mardi toute annulation du doublement les taxes à l'importation sur l'or, mais avoué envisager de prendre en compte les demandes des grévistes concernant la taxe sur l'or non poinçonné.
HSBC Holdings a déclaré dans un article publié ce matin: "Le retrait de la taxe d'accise pourrait être un pas en avant dans la satisfaction des demandes émises par les spécialistes à la suite du dévoilement du budget national."
La banque d'affaires à ajouté: "Tant que l'activité n'aura pas repris, les besoins nationaux demeureront faibles, mais le passage à vide actuel pourrait être compensé par une amélioration sur le front chinois, les cours à Shanghaï demeurant élevés."
Les boutiques des bijoutiers sont restées closes depuis le 18 mars, pour protester contre la hausse à 4% des droits de douane sur les importations et la mise en place d'une taxe de 0.3% sur la plupart des bijoux.
Les vendeurs locaux estiment que l'import pourrait subir une plongée atteignant 35% en 2012, alors qu'un record à 969 tonnes avait été établi l'année dernière, le secteur risquant de connaître des temps difficiles à l'approche de la saison des mariages.
Le pays demeure le premier consommateur mondial.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0.1% pour grimper à 32.63 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont perdu 0.75% pour se retrouver à 3.851 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 664.65 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.25%.
Ils avaient précédement culminé à 1 666.85 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.35% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 627.75 USD, leur plancher du 22 mars, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 699.55, leur plafond du 27.
Les deux dernières séances les avaient vus plonger de près de 2.5%, leur incapacité à dépasser la barre de résistance cruciale des 1 700 USD en début de semaine a poussé à des ventes techniques sur fond de signes peu favorables à une hausse.
Mais cette dégringolade en a poussé d'autres à en faire l'acquisition, estimant que l'attente d'une troisième série d'assouplissements monétaires de la part de la Réserve Fédérale les empêcherait de poursuivre leur chute.
Les prix étaient remontés lundi à la suite de ses propos affirmant que "la poursuite de politiques souples" serait nécessaire afin d'apporter des évolutions profondes au marché de l'emploi américain, qu'il a estimé être encore "loin de son niveau normal" malgré de récentes améliorations.
Les observateurs ont estimé qu'il laissait entendre par là que la Fed garderait son cap actuel, et conforté l'hypothèse selon laquelle de nouveaux assouplissements de sa part étaient possibles.
Ils attendent désormais le rapport hebdomadaire des autorités des Etats-Unis sur les nouvelles inscriptions au chômage ainsi que les chiffrse révisés du produit intérieur brut devant être rvélés dans l'après-midi afin d'évaluer la force de l'économie américaine et de son besoin de voir sa croissance stimulée par des injections de capitaux supplémentaires.
Ils surveillaient également les ministres des finances de la zone euro, qui doivent en effet tenir des pourparlers à Copenhague ce vendredi afin d'évoquer la fusion du Mécanisme de Stabilisation Européen, fort de ses 500 milliiards d'euros mobilisés de manière permanente, avec le fond temporaire, représentant un volume de 200 milliards.
Les problèmes de dette de l'Espagne étaient également présents dans tous les esprits alors qu'une grève générale y avait lieu, en protestation contre les mesures de rigueur prises par le gouvernement.
Les experts du métal jaune continuaient à surveiller les conséquences de la grève nationale des joaillers et vendeurs d'or indiens, ayant entraîné un étouffement de la demande sur le marché physique de New Delhi au cours des deux semaines écoulées.
Le ministre des finances de l'Inde avait exclu mardi toute annulation du doublement les taxes à l'importation sur l'or, mais avoué envisager de prendre en compte les demandes des grévistes concernant la taxe sur l'or non poinçonné.
HSBC Holdings a déclaré dans un article publié ce matin: "Le retrait de la taxe d'accise pourrait être un pas en avant dans la satisfaction des demandes émises par les spécialistes à la suite du dévoilement du budget national."
La banque d'affaires à ajouté: "Tant que l'activité n'aura pas repris, les besoins nationaux demeureront faibles, mais le passage à vide actuel pourrait être compensé par une amélioration sur le front chinois, les cours à Shanghaï demeurant élevés."
Les boutiques des bijoutiers sont restées closes depuis le 18 mars, pour protester contre la hausse à 4% des droits de douane sur les importations et la mise en place d'une taxe de 0.3% sur la plupart des bijoux.
Les vendeurs locaux estiment que l'import pourrait subir une plongée atteignant 35% en 2012, alors qu'un record à 969 tonnes avait été établi l'année dernière, le secteur risquant de connaître des temps difficiles à l'approche de la saison des mariages.
Le pays demeure le premier consommateur mondial.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0.1% pour grimper à 32.63 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont perdu 0.75% pour se retrouver à 3.851 USD la livre dans le même temps.