Investing.com - Les options sur l'or étaient en recul lors des transactions rendues rares par les congés de fin d'année ce mardi, tombant sous la barre des 1 600 USD de l'once, la plupart des acteurs des marchés ayant fait leurs comptes pour l'année et fermé boutique en attendant un nouveau départ pour janvier.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 597.75 USD de l'once en ouverture de séance européenne, cédant 0.68%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 592.95 USD, leur pire cours depuis le 19 décembre, avec un repli de 0.96%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 585.65 USD, leur plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1 615.55, leur plafond du 23 décembre.
Le volumes des échanges est demeuré faible, les marchés financiers d'Australie, de Hong Kong et de Nouvelle-Zélande demeurant clos pour cause de vacances, tandis que les acteurs des marchés demeuraient peu enclins à établir de nouvelles positions à l'approchee de la nouvelle année, sur fond de persistance des craintes liées à la crise de la dette de la zone euro.
L'agence Standard & Poor's n'a toujours pas annoncé l'éventuel rabaissement de sa notation des 15 pays qu'elle a placés sous une perspective négative, deux sources gouvernementales indépeendantes ayant déclaré vendredi que celui-ci ne serait pas révélé avant janvier.
Les investisseurs guettaient également les ventes aux enchères d'obligations à trois et dix ans italiennes prévues pour cette semaine, les taux des secondes ayant à nouveau dépassé vendredi les 7% critiques, aggravant les inquiétudes liées à la gestion du problème du surendettement du pays.
Les acteurs des marchés achetaient généralement de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance du vieux continent au cours de la majeure partie de l'année 2011, mais cette relation s'est révélée moins certaine ces derniers temps.
Le métal précieux s'est récemment retrouvé sur la sellette, son attrait en tant que valeur refuge s'étant trouvé terni au profit du dollar U.S. tandis que s'aggravait la crise de la dette européenne.
Les ventes de fin d'année des fonds d'iinvestissement et la rareté des capitaux sur les marchés interbancaires de l'Europe ont égaement contribué à le tirer vers le bas.
Les courss en effet plongé de près de 15% après avoir culminé à 1 920 USD, leur record historique établi début septembre, mais demeurent toutefois en progression de 13% sur l'année, et en route pour réaliser leur onzième année positive d'affilée.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs fléchi de 0.55% pour chuter à 28.92 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 1.25% pour se retrouver à 3.424 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 597.75 USD de l'once en ouverture de séance européenne, cédant 0.68%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 592.95 USD, leur pire cours depuis le 19 décembre, avec un repli de 0.96%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 585.65 USD, leur plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1 615.55, leur plafond du 23 décembre.
Le volumes des échanges est demeuré faible, les marchés financiers d'Australie, de Hong Kong et de Nouvelle-Zélande demeurant clos pour cause de vacances, tandis que les acteurs des marchés demeuraient peu enclins à établir de nouvelles positions à l'approchee de la nouvelle année, sur fond de persistance des craintes liées à la crise de la dette de la zone euro.
L'agence Standard & Poor's n'a toujours pas annoncé l'éventuel rabaissement de sa notation des 15 pays qu'elle a placés sous une perspective négative, deux sources gouvernementales indépeendantes ayant déclaré vendredi que celui-ci ne serait pas révélé avant janvier.
Les investisseurs guettaient également les ventes aux enchères d'obligations à trois et dix ans italiennes prévues pour cette semaine, les taux des secondes ayant à nouveau dépassé vendredi les 7% critiques, aggravant les inquiétudes liées à la gestion du problème du surendettement du pays.
Les acteurs des marchés achetaient généralement de l'or lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance du vieux continent au cours de la majeure partie de l'année 2011, mais cette relation s'est révélée moins certaine ces derniers temps.
Le métal précieux s'est récemment retrouvé sur la sellette, son attrait en tant que valeur refuge s'étant trouvé terni au profit du dollar U.S. tandis que s'aggravait la crise de la dette européenne.
Les ventes de fin d'année des fonds d'iinvestissement et la rareté des capitaux sur les marchés interbancaires de l'Europe ont égaement contribué à le tirer vers le bas.
Les courss en effet plongé de près de 15% après avoir culminé à 1 920 USD, leur record historique établi début septembre, mais demeurent toutefois en progression de 13% sur l'année, et en route pour réaliser leur onzième année positive d'affilée.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs fléchi de 0.55% pour chuter à 28.92 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 1.25% pour se retrouver à 3.424 USD la livre dans le même temps.