Investing.com - Les options sur l'or ont tenu bon ce lundi, se maintenant aux abords de leur plus forte valeur depuis fin février, tirées vers le haut par l'idée d'une nouvelle série d'accomodements de la part de la Réserve Fédérale.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 735.65 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.15%.
Ils avaient précédement oscillé entre 1 733.35 USD, leur pire cours du jour, et 1 740.75, leur meilleur, après avoir culminé vendredi à 1 741.95 USD, leur plus haut sommet depuis le 29 février.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 685.35 USD, leur plancher du 3 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1 761.85 USD, leur plafond du 20 février.
Ils ont en effet bondi vendredi vers un pic de six mois et demi, suite à la révélation par le département d'état au travail des Etats-Unis selon laquelle l'économie nationale avait créé 96 000 emplois en août, soit nettement moins que les 125 000 espérés après les 141 000 après révision à la baisse de juillet.
Le taux de chômage est quand à lui tombé de 8.3 à 8.1%, un recul attribué à des départs de chômeurs hors de la population active.
Les résultats de la rencontre des décideurs de la banque centrale américaine, prévue les 12 et 13 septembre, attireront tous les regards, dans l'espoir d'y voir plus clair au sujet de sa politique monétaire.
Lors du symposium annuel de Jackson Hole, dans le Wyoming, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait déclaré au cours de la semaine écoulée que la persistance d'un fort taux de chômage était source de "graves inquiétudes" et que l'institution procèderait à autant d'accomodements que nécessaire pour renflouer la relance.
Les évolutions du métal précieux constatées cette année ont largement suivi les espérances variables d'utilisation éventuelle de la planche à billets par celle-ci pour remplumer leur système financier.
Il ne fallait pas non plus négliger la décision de la cour constitutionnelle de l'Allemagne de mercredi au sujet de Mécanisme Européen de Stabilité, son feu vert étant indispensable pour mettre en place le nouveau plan d'achats d'obligations présenté en fin de semaine passée par la Banque Centrale Européenne.
Celle-ci acquerrait au sein de son cadre des quantités illimitées de bons du trésor pouvant courir jusqu'à trois ans, du moment que le pays émetteur se soumette à des réformes économiques en échange de son aide.
Les signes avant-coureurs d'apports de capitaux ont généralement été bénéfiques pour le métal jaune, dans la crainte qu'un excès de liquidités n'écorne la valeur du papier monnaie, et ne déclenche une explosion des prix.
Il est ainsi considéré comme un accumulateur de valeur sûr, et un rempart contre l'inflation.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs avancé de 0.15% pour grimper à 33.74 USD de l'once, leur plus forte valeur depuis le 12 mars, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.65% pour se retrouver à 3.676 USD la livre dans le même temps, leur valeur la plus élevée en quatre mois.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour octobre se sont échangés à 1 735.65 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.15%.
Ils avaient précédement oscillé entre 1 733.35 USD, leur pire cours du jour, et 1 740.75, leur meilleur, après avoir culminé vendredi à 1 741.95 USD, leur plus haut sommet depuis le 29 février.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 685.35 USD, leur plancher du 3 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1 761.85 USD, leur plafond du 20 février.
Ils ont en effet bondi vendredi vers un pic de six mois et demi, suite à la révélation par le département d'état au travail des Etats-Unis selon laquelle l'économie nationale avait créé 96 000 emplois en août, soit nettement moins que les 125 000 espérés après les 141 000 après révision à la baisse de juillet.
Le taux de chômage est quand à lui tombé de 8.3 à 8.1%, un recul attribué à des départs de chômeurs hors de la population active.
Les résultats de la rencontre des décideurs de la banque centrale américaine, prévue les 12 et 13 septembre, attireront tous les regards, dans l'espoir d'y voir plus clair au sujet de sa politique monétaire.
Lors du symposium annuel de Jackson Hole, dans le Wyoming, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, avait déclaré au cours de la semaine écoulée que la persistance d'un fort taux de chômage était source de "graves inquiétudes" et que l'institution procèderait à autant d'accomodements que nécessaire pour renflouer la relance.
Les évolutions du métal précieux constatées cette année ont largement suivi les espérances variables d'utilisation éventuelle de la planche à billets par celle-ci pour remplumer leur système financier.
Il ne fallait pas non plus négliger la décision de la cour constitutionnelle de l'Allemagne de mercredi au sujet de Mécanisme Européen de Stabilité, son feu vert étant indispensable pour mettre en place le nouveau plan d'achats d'obligations présenté en fin de semaine passée par la Banque Centrale Européenne.
Celle-ci acquerrait au sein de son cadre des quantités illimitées de bons du trésor pouvant courir jusqu'à trois ans, du moment que le pays émetteur se soumette à des réformes économiques en échange de son aide.
Les signes avant-coureurs d'apports de capitaux ont généralement été bénéfiques pour le métal jaune, dans la crainte qu'un excès de liquidités n'écorne la valeur du papier monnaie, et ne déclenche une explosion des prix.
Il est ainsi considéré comme un accumulateur de valeur sûr, et un rempart contre l'inflation.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs avancé de 0.15% pour grimper à 33.74 USD de l'once, leur plus forte valeur depuis le 12 mars, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.65% pour se retrouver à 3.676 USD la livre dans le même temps, leur valeur la plus élevée en quatre mois.