Investing.com - Les options sur l'or étaient en berne ce jeudi, après que la banque centrale des Etats-Unis ait fait savoir que la situation économique du pays n'était pas encore assez grave pour lui faire envisager de nouveaux accomodements.
Cette pression c'est accentuée, les investisseurs leur préférant la sécurité relative du dollar U.S. face aux inquiétudes grandissantes découlant des perspectives économiques mondiales.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 566.95 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.55%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 564.35 USD, leur pire cours depuis le 29 juin, avec une glissade de 0.65%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 551.35 USD, leur plancher du 29 juin, et rencontrer rapidement de la résistance à 1 601.25 USD, leur plafond de mardi.
Il a en effet été signalé dans le procès-verbal de son conseil d'orientation de juin que seuls quelques-uns des membres du conseil directeur estimaient davantage d'achats d'actifs nécessaires, semant la consternation parmi les acteurs du marché aurifère.
Plusieurs autres estimaient pour leur part que des apports de capitaux supplémentaires pourraient être justifiés en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou de chute "durable" de l'inflation au-dessous de la valeur visée.
Ils n'ont été que quatre à mentionner davantage d'assouplissements quantitatifs dans leurs prévisions personnelles, dont deux clairement en leur faveur, et deux déclarant les envisager.
Les évolutions de l'or constatées cette année ont largement suivi les attentes d'utilisation ou non de la planche à billets par la banque centrale américaine pour remplumer le système financier.
L'envolée des cours du métal précieux a atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD aprrès que la banque centrale des Etats-Unis ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait renouveler ses acquisitions d'actifs.
Ils sont toutefois retombés de près de 13% depuis la fin février, sur fond de manque d'initiatives de sa part, et d'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour leur contrepartie qu'est l'étalon américain.
Ce dernier s'est trouvé revigoré, l'euro plongeant dans une ornière de deux ans face à lui, tandis que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, s'envolait vers son plus haut niveau depuis août 2010.
Le métal précieux a ainsi perdu une part de son attrait en tant que valeur refuge par rapport à la monnaie et aux bons du trésor des Etats-Unis, le renforcement de la première le rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les opérateurs surveilleront la croissance chinoise pour le second trimestre, devant être révélée demain, afin de savoir si celle-ci va descendre ou s'écraser.
Une perte de vitesse aggravée de sa part pourrait mettre à mal une expansion économique générale déjà mise à mal par le problème du surendettement européen.
Les craintes concernant les perspectives de croissance mondiales avaient déjà redoublé après qu'il ait été montré que les importations et les exportations chinoises de juin avaient ralenti par rapport au mois précédent, en raison d'une diminution de la demande mondiale.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs dégringolé de 0.85% pour glisser à 26.79 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont chuté de 1% pour se retrouver à 3.412 USD la livre dans le même temps.
Cette pression c'est accentuée, les investisseurs leur préférant la sécurité relative du dollar U.S. face aux inquiétudes grandissantes découlant des perspectives économiques mondiales.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 566.95 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.55%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 564.35 USD, leur pire cours depuis le 29 juin, avec une glissade de 0.65%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1 551.35 USD, leur plancher du 29 juin, et rencontrer rapidement de la résistance à 1 601.25 USD, leur plafond de mardi.
Il a en effet été signalé dans le procès-verbal de son conseil d'orientation de juin que seuls quelques-uns des membres du conseil directeur estimaient davantage d'achats d'actifs nécessaires, semant la consternation parmi les acteurs du marché aurifère.
Plusieurs autres estimaient pour leur part que des apports de capitaux supplémentaires pourraient être justifiés en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou de chute "durable" de l'inflation au-dessous de la valeur visée.
Ils n'ont été que quatre à mentionner davantage d'assouplissements quantitatifs dans leurs prévisions personnelles, dont deux clairement en leur faveur, et deux déclarant les envisager.
Les évolutions de l'or constatées cette année ont largement suivi les attentes d'utilisation ou non de la planche à billets par la banque centrale américaine pour remplumer le système financier.
L'envolée des cours du métal précieux a atteint les 15% en début d'année, pour culminer à 1 790 USD aprrès que la banque centrale des Etats-Unis ait déclaré en janvier qu'elle maintiendrait au moins jusqu'en fin 2014 son taux directeur aux abords de zéro, tout en laissant entendre qu'elle pourrait renouveler ses acquisitions d'actifs.
Ils sont toutefois retombés de près de 13% depuis la fin février, sur fond de manque d'initiatives de sa part, et d'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro, alimentant la demande pour leur contrepartie qu'est l'étalon américain.
Ce dernier s'est trouvé revigoré, l'euro plongeant dans une ornière de deux ans face à lui, tandis que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, s'envolait vers son plus haut niveau depuis août 2010.
Le métal précieux a ainsi perdu une part de son attrait en tant que valeur refuge par rapport à la monnaie et aux bons du trésor des Etats-Unis, le renforcement de la première le rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les opérateurs surveilleront la croissance chinoise pour le second trimestre, devant être révélée demain, afin de savoir si celle-ci va descendre ou s'écraser.
Une perte de vitesse aggravée de sa part pourrait mettre à mal une expansion économique générale déjà mise à mal par le problème du surendettement européen.
Les craintes concernant les perspectives de croissance mondiales avaient déjà redoublé après qu'il ait été montré que les importations et les exportations chinoises de juin avaient ralenti par rapport au mois précédent, en raison d'une diminution de la demande mondiale.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs dégringolé de 0.85% pour glisser à 26.79 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont chuté de 1% pour se retrouver à 3.412 USD la livre dans le même temps.