Investing.com - Les options sur l'or étaient à la ont vu leurs pertes d'hier s'aggraver jusqu'à une ornière de cinq semaines ce mardi matin, les observateurs n'étant guère enclins à se positionner sur un marché aux perspectives ternes.
La nouvelle selon laquelle la Corée du Nord aurait semblé procéder à un essai nucléaire à l'aube n'a par contre guère eu d'écho.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 642.75 USD de l'once en fin de séance asiatique, chutant de 0.4%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 641.95 USD, leur pire cours depuis le 4 janvier, avec un trou d'air de 0.45%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 626.05 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 670.25 USD, leur plafond de lundi.
Cette débandade a eu lieu en raison de la poursuite des ventes techniques consécutive au passage hier sous un seuil de soutien crucial.
Les opérateurs ont en effet préféré déboucler plutôt que de continuer à résister au-dessosu de la moyenne fluctuante à 200 jours, déclenchant des ventes automatiques sur fond de signaux graphiques baissiers.
Les yeux se tournent à présent vers le sommet à Moscou cette semaine des ministres des finances du groupe des 20 pays les plus développés, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à apporter de la compétitivité.
Le discours du président Barack Obama aux états de l'union d'aujourd'hui fera lui aussi l'objet de toutes les attentions, et son attente incitait à la prudence.
La zone euro restait elle aussi sous surveillance, sur fond d'incertitudes causées non seulement par les prochaines élections italiennes, mais aussi par les tensions politiques en Espagne, où le gouvernement se trouve entaché par un scandale tournant autour d'affaire de corruption.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a pour sa part engrangé 0.2% de son côté pour se situer à 80.55, son meilleur niveau depuis le 10 janvier.
La force de la monnaie des Etats-Unis nuit généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, diminuant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs fondu de 0.65% pour reprendre pied à 30.71 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.25% pour se retrouver à 3.713 USD la livre dans le même temps.
La nouvelle selon laquelle la Corée du Nord aurait semblé procéder à un essai nucléaire à l'aube n'a par contre guère eu d'écho.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 642.75 USD de l'once en fin de séance asiatique, chutant de 0.4%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 641.95 USD, leur pire cours depuis le 4 janvier, avec un trou d'air de 0.45%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 626.05 USD, leur plancher déjà évoqué, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 670.25 USD, leur plafond de lundi.
Cette débandade a eu lieu en raison de la poursuite des ventes techniques consécutive au passage hier sous un seuil de soutien crucial.
Les opérateurs ont en effet préféré déboucler plutôt que de continuer à résister au-dessosu de la moyenne fluctuante à 200 jours, déclenchant des ventes automatiques sur fond de signaux graphiques baissiers.
Les yeux se tournent à présent vers le sommet à Moscou cette semaine des ministres des finances du groupe des 20 pays les plus développés, qui devrait s'articuler autour de discussions concernant les dévaluations monétaires visant à apporter de la compétitivité.
Le discours du président Barack Obama aux états de l'union d'aujourd'hui fera lui aussi l'objet de toutes les attentions, et son attente incitait à la prudence.
La zone euro restait elle aussi sous surveillance, sur fond d'incertitudes causées non seulement par les prochaines élections italiennes, mais aussi par les tensions politiques en Espagne, où le gouvernement se trouve entaché par un scandale tournant autour d'affaire de corruption.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a pour sa part engrangé 0.2% de son côté pour se situer à 80.55, son meilleur niveau depuis le 10 janvier.
La force de la monnaie des Etats-Unis nuit généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, diminuant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs fondu de 0.65% pour reprendre pied à 30.71 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.25% pour se retrouver à 3.713 USD la livre dans le même temps.