Investing.com - Le dollar U.S. a retrouvé la forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, l'ombre persistante du flou dans les orientations futures de son émettrice demeurant omniprésente.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,27% pour tomber à 1,3026.
La monnaie unique s'est retrouvée fragilisée après que Vito Gaspar, ministre des finances du Portugal, ait démissionné dans la soirée, des informations ayant récemment fait état d'une aggravation du déficit budgétaire au premier trimestre.
Des représentants des autorités européennes ont quand à eux fait savoir en cours de matinée que la Grèce disposait de trois jours pour trouver un accord avec la troïka de ses bailleurs de fonds afin de se voir octroyer la prochaine tranche d'aides lors de la prochaine réunion des ministres des finances de l'Eurogroupe de lundi.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,11% pour se hisser à 99,76, établissant un pic de quatre semaines.
Les yeux se tournaient désormais vers les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Le billet vert a également gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,10% pour chuter à 1,5200, bien qu'il ait été souligné que le bâtiment britannique avait connu le mois passé son expansion la plus rapide depuis mai 2012.
Le baromètre des directeurs des achats du domaine de la construction du Royaume-Uni établi par groupe de recherches économiques Markit est ainsi remonté depuis 50,8 vers 51,0 après ajustement saisonnier pour juin, constituant cependant une légère déception au regard des 51,1 espérés.
Ces informations renforçaient cependant les perspectives de croissance au second trimestre, réduisant iansi les chances de nouveaux accommodements de la part de la Banque d'Angleterre dans le sillage de sa réunion de jeudi.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,24% pour culminer à 0,9474.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs largement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,45% pour se retrouver à 0,9193, le NZD/USD se laissant arracher 0,36% pour toucher le fond à 0,7791 et l'USD/CAD prenant 0,10% pour monter à 1,0506.
La Réserve Bancaire d'Australie avait sans surprise maintenu à l'aube son taux d'intérêt directeur à 2,75%, son plus bas niveau historique, n'excluant cependant pas des rabaissements supplémentaires, pour lesquels elle estimait avoir les coudées franches.
Elle a ajouté toujours estimer que la devise qu'elle émet était surévaluée, et qu'un rabaissement serait bénéfique à l'économie nationale.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,23% pour se situer à 83,38.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des commandes passées auprès de leurs usines.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,27% pour tomber à 1,3026.
La monnaie unique s'est retrouvée fragilisée après que Vito Gaspar, ministre des finances du Portugal, ait démissionné dans la soirée, des informations ayant récemment fait état d'une aggravation du déficit budgétaire au premier trimestre.
Des représentants des autorités européennes ont quand à eux fait savoir en cours de matinée que la Grèce disposait de trois jours pour trouver un accord avec la troïka de ses bailleurs de fonds afin de se voir octroyer la prochaine tranche d'aides lors de la prochaine réunion des ministres des finances de l'Eurogroupe de lundi.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,11% pour se hisser à 99,76, établissant un pic de quatre semaines.
Les yeux se tournaient désormais vers les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, en quête d'indices sur le moment où la Réserve Fédérale entamera la réduction de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Le billet vert a également gagné quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,10% pour chuter à 1,5200, bien qu'il ait été souligné que le bâtiment britannique avait connu le mois passé son expansion la plus rapide depuis mai 2012.
Le baromètre des directeurs des achats du domaine de la construction du Royaume-Uni établi par groupe de recherches économiques Markit est ainsi remonté depuis 50,8 vers 51,0 après ajustement saisonnier pour juin, constituant cependant une légère déception au regard des 51,1 espérés.
Ces informations renforçaient cependant les perspectives de croissance au second trimestre, réduisant iansi les chances de nouveaux accommodements de la part de la Banque d'Angleterre dans le sillage de sa réunion de jeudi.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,24% pour culminer à 0,9474.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs largement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,45% pour se retrouver à 0,9193, le NZD/USD se laissant arracher 0,36% pour toucher le fond à 0,7791 et l'USD/CAD prenant 0,10% pour monter à 1,0506.
La Réserve Bancaire d'Australie avait sans surprise maintenu à l'aube son taux d'intérêt directeur à 2,75%, son plus bas niveau historique, n'excluant cependant pas des rabaissements supplémentaires, pour lesquels elle estimait avoir les coudées franches.
Elle a ajouté toujours estimer que la devise qu'elle émet était surévaluée, et qu'un rabaissement serait bénéfique à l'économie nationale.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,23% pour se situer à 83,38.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des commandes passées auprès de leurs usines.