Investing.com - Les options sur l'or subissaient ce mercredi une forte pression baissière, creusant sa pire ornière de l'année 2012, les investisseurs se jetant sur le billet vert sur fond d'inquiétudes découlant de l'agitation politique grecque.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 530.85 USD de l'once en début de séance européenne, plongeant de 1.7%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 526.95 USD, leur cours le plus faible depuis le 29 décembre 2011, avec une dégringolade de 1.95%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 510.45 USD, leur plancher du 6 juillet 2011, et de rencontrer de la résistance à 1 585.65 USD, leur plafond du 14 mai.
Les élections du 6 mai les avaient vus entamer une descente rapide, les résultats grecs remettant en question le déroulement du plan de sauvetage international, et alimentant l'angoisse d'une sortie de la zone euro.
Celle-ci s'est intensifiée hier, après l'échec des négociations visant à former un gouvernement de coalition.
Des autorités intérimaires devraient être désignées aujourd'hui, dans l'attente d'un nouvel appel aux urnes, prévu pour juin, mais le spectre d'un éventuel défaut de paiement et d'un départ du bloc euro qui pourrait en résulter demeurait présent.
L'atmosphère s'est également retrouvée assombrie par la nouvelle selon laquelle un maximum de 700 millions d'euros aurait été retiré des banques grecques depuis la proclamation des résultats du scrutin.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur refuge, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'influence positive sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de la monnaie des Etats-Unis lui ont plutôt nui, l'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeant 0.37% de son côté pour se situer à 81.74, sa valeur la plus haute depuis le 16 janvier.
Certains estiment toutefois que les prix pourraient continuer à subir un mouvement baissier à court terme, en raison des incertitudes techniques, évaluant le prochain seuil de soutien pour le métal précieux à 1 523, puis 1 510 USD, ayant plongé la semaine passée sous des limites psychologiques cruciales.
Il était aussi avancé que les fortes pertes enregistrées par les actions et les matières premières avaient probablement encouragé les liquidations aurifères, les investisseurs se trouvant forcés de le vendre afin de compenser leurs pertes subies ailleurs.
Les gestionnaires présents sur le marché ont réduit le volume de leurs positions nettes de 20%, celes-ci se situant à leur plus bas niveau depuis décembre 2008, nombre d'entre eux les ayant fortement abandonnées suite au net recul de leur valeur.
Les cours s'étaient effondrés de 18% en octobre 2008, le chaos sur les marchés financiers planétaires ayant entraîné l'écroulement des marchés boursiers et des matières premières dans le monde entier, entraînant un rebond de 23% au cours des deux mois suivants.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs dégringolé de 3% pour sombrer à 27.23 USD de l'once, leur niveau le plus bas depuis le 29 décembre dernier, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 1.65% pour se retrouver à 3.459 USD la livre dans le même temps, leur valeur la plus faible depuis le 10 janvier.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 530.85 USD de l'once en début de séance européenne, plongeant de 1.7%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 526.95 USD, leur cours le plus faible depuis le 29 décembre 2011, avec une dégringolade de 1.95%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 510.45 USD, leur plancher du 6 juillet 2011, et de rencontrer de la résistance à 1 585.65 USD, leur plafond du 14 mai.
Les élections du 6 mai les avaient vus entamer une descente rapide, les résultats grecs remettant en question le déroulement du plan de sauvetage international, et alimentant l'angoisse d'une sortie de la zone euro.
Celle-ci s'est intensifiée hier, après l'échec des négociations visant à former un gouvernement de coalition.
Des autorités intérimaires devraient être désignées aujourd'hui, dans l'attente d'un nouvel appel aux urnes, prévu pour juin, mais le spectre d'un éventuel défaut de paiement et d'un départ du bloc euro qui pourrait en résulter demeurait présent.
L'atmosphère s'est également retrouvée assombrie par la nouvelle selon laquelle un maximum de 700 millions d'euros aurait été retiré des banques grecques depuis la proclamation des résultats du scrutin.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur refuge, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'influence positive sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de la monnaie des Etats-Unis lui ont plutôt nui, l'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeant 0.37% de son côté pour se situer à 81.74, sa valeur la plus haute depuis le 16 janvier.
Certains estiment toutefois que les prix pourraient continuer à subir un mouvement baissier à court terme, en raison des incertitudes techniques, évaluant le prochain seuil de soutien pour le métal précieux à 1 523, puis 1 510 USD, ayant plongé la semaine passée sous des limites psychologiques cruciales.
Il était aussi avancé que les fortes pertes enregistrées par les actions et les matières premières avaient probablement encouragé les liquidations aurifères, les investisseurs se trouvant forcés de le vendre afin de compenser leurs pertes subies ailleurs.
Les gestionnaires présents sur le marché ont réduit le volume de leurs positions nettes de 20%, celes-ci se situant à leur plus bas niveau depuis décembre 2008, nombre d'entre eux les ayant fortement abandonnées suite au net recul de leur valeur.
Les cours s'étaient effondrés de 18% en octobre 2008, le chaos sur les marchés financiers planétaires ayant entraîné l'écroulement des marchés boursiers et des matières premières dans le monde entier, entraînant un rebond de 23% au cours des deux mois suivants.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs dégringolé de 3% pour sombrer à 27.23 USD de l'once, leur niveau le plus bas depuis le 29 décembre dernier, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 1.65% pour se retrouver à 3.459 USD la livre dans le même temps, leur valeur la plus faible depuis le 10 janvier.