Investing.com - Le dollar U.S. a campé sur ses positions face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, alors que l'atmosphère se trouvait alourdie par les craintes au sujet de la croissance planétaire et des incertitudes entourant un éventuel plan de secours pour l'Espagne.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.19% pour tomber à 1.286.
La monnaie unique demeurait encore sur la sellette en raison du flou de la position espagnole concernant une possible demande d'aide, et la forme que prendrait une opération de secours.
Le Fonds Monétaire International avait rappelé en début de matinée que la crise de la dette de la région était encore la plus grande menace pesant sur l'économie mondiale et exhorté ses dirigeants à renforcer les liens fiscaux et financiers en son sein.
L'Italie a quand à elle vu les coûts de ses emprunts augmenter lors d'une émission de bons du trésor à court terme, ceux à 12 mois passant ainsi de 1.69 à 1.94%, leur plus taux le plus élevé depuis la mi-août.
Le billet vert a repris gagné du terrain sur la livre sterling, poussant de nouveau celle-ci vers un creux mensuel, le GBP/USD glissant de 0.03% pour chuter à 1.5997.
La devise de la Grande-Bretagne restait sur la sellette après une série de contre-performances économiques, semant le doute quand aux possibilités de rebond national durable, et ranimant du même coup la rumeur d'accomodements supplémentaires imminents de la part de la Banque d'Angleterre.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.06% pour se hisser à 78.3 et l'USD/CHF grignotant 0.09% pour culminer à 0.941.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas l'australienne, l'USD/CAD prenant 0.04% pour monter à 0.9786, l'AUD/USD arrachant 0.16% pour se retrouver à 1.0221 et le NZD/USD faiblissant de 0.09% pour toucher le fond à 0.8172.
Une étude conjointe de Westpac et du Melbourne Institute avait auparavant souligné que le moral des consommateurs australiens ne s'était que légèrement amélioré pour octobre, et ce malgré les trois rabaissements des taux d'intérêt effectués en six mois par la banque centrale du pays.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.11% pour se situer à 80.19.
Le premier ministre espagnol Mariano Rajoy comptait de son côté discuter aujourd'hui à Paris avec le président français François Hollande.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.19% pour tomber à 1.286.
La monnaie unique demeurait encore sur la sellette en raison du flou de la position espagnole concernant une possible demande d'aide, et la forme que prendrait une opération de secours.
Le Fonds Monétaire International avait rappelé en début de matinée que la crise de la dette de la région était encore la plus grande menace pesant sur l'économie mondiale et exhorté ses dirigeants à renforcer les liens fiscaux et financiers en son sein.
L'Italie a quand à elle vu les coûts de ses emprunts augmenter lors d'une émission de bons du trésor à court terme, ceux à 12 mois passant ainsi de 1.69 à 1.94%, leur plus taux le plus élevé depuis la mi-août.
Le billet vert a repris gagné du terrain sur la livre sterling, poussant de nouveau celle-ci vers un creux mensuel, le GBP/USD glissant de 0.03% pour chuter à 1.5997.
La devise de la Grande-Bretagne restait sur la sellette après une série de contre-performances économiques, semant le doute quand aux possibilités de rebond national durable, et ranimant du même coup la rumeur d'accomodements supplémentaires imminents de la part de la Banque d'Angleterre.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.06% pour se hisser à 78.3 et l'USD/CHF grignotant 0.09% pour culminer à 0.941.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas l'australienne, l'USD/CAD prenant 0.04% pour monter à 0.9786, l'AUD/USD arrachant 0.16% pour se retrouver à 1.0221 et le NZD/USD faiblissant de 0.09% pour toucher le fond à 0.8172.
Une étude conjointe de Westpac et du Melbourne Institute avait auparavant souligné que le moral des consommateurs australiens ne s'était que légèrement amélioré pour octobre, et ce malgré les trois rabaissements des taux d'intérêt effectués en six mois par la banque centrale du pays.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.11% pour se situer à 80.19.
Le premier ministre espagnol Mariano Rajoy comptait de son côté discuter aujourd'hui à Paris avec le président français François Hollande.