Investing.com - Les bourses européennes ont retrouvé des couleurs ce mardi matin, suite à la diffusion de bons résultats de la part du domaine des services espagnol, malgré les incertitudes politiques handicapant la région.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.37%, le CAC 40 français de 0.43%, et le DAX 30 allemand de 0.16%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet déclaré que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire de l'Espagne était remonté depuis 44.3 vers 47 pour janvier, alors qu'une régression à 44.1 était redoutée.
L'ambiance subissait toutefois toujours l'angoisse d'un retour du spectre de la crise de la dette en raison d'incertitudes politiques faisant remonter les coûts des emprunts émis par Madrid et Rome en nuisant à la confiance des investisseurs.
Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, croulait ainsi sous les appels à la démission suite aux affirmations selon lesquelles lui et les hauts responsables de son Parti Populaire auraient bénéficié de pots-de-vin, tandis que le doute se profilait concernant le résultat des prochaines élections italiennes, le sulfureux ancien président du conseil Silvio Berlusconi semblant prendre de l'ampleur dans les sondages.
La finance était en grande forme, les français BNP Paribas et Société Générale gagnant respectivement 0.16 et 0.84%, suivis de la Deutsche Bank allemande avec 0.35%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit bondissant de 2.12 et 2.72%, les espagnols Banco Santander et BBVA se contentant de 1.22 et 0.86%.
Munich Re, premier réassureur mondial, s'élevait quand à lui de 2.72% après avoir fait connaître son projet d'augmenter ses dividendes pour 2012.
Mais tout n'était pas rose, Royal KPN NV s'effondrant de 21.46% suite à l'annonce de la mise en vente de 4 milliards d'euros en actions.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.54%, les yeux braqués sur les résultats des prestataires de services britanniques devant être publiés aujourd'hui.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, avançait de 0.74%, et son rival BP de 1.64%.
D'autres entreprises spécialisées dans les matières premières ont toutefois souffert, le mastodonte minier BHP Billiton fondant de 0.12%, Eurasian Natural Resources de 0.76% et le cuivrier Xstrata de 0.47%.
La City était plus mitigée, Lloyds Banking s'éevant de 0.2%, et la Royal Bank of Scotland de 0.81%, tandis que HSBC Holdings et Barclays dévissaient de 0.07 et 0.44%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Le centre d'études Markit a par ailleurs signalé que son baromètre de l'activité tertiaire avait dérapé de 45.6 vers 43.9 pour le premier mois de l'année, alors qu'un frémissement à 45.8 était espéré.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté faire connaître dans l'après-midi son indice de l'état des entreprises fournissant des services aux Etats-Unis.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.37%, le CAC 40 français de 0.43%, et le DAX 30 allemand de 0.16%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet déclaré que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire de l'Espagne était remonté depuis 44.3 vers 47 pour janvier, alors qu'une régression à 44.1 était redoutée.
L'ambiance subissait toutefois toujours l'angoisse d'un retour du spectre de la crise de la dette en raison d'incertitudes politiques faisant remonter les coûts des emprunts émis par Madrid et Rome en nuisant à la confiance des investisseurs.
Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, croulait ainsi sous les appels à la démission suite aux affirmations selon lesquelles lui et les hauts responsables de son Parti Populaire auraient bénéficié de pots-de-vin, tandis que le doute se profilait concernant le résultat des prochaines élections italiennes, le sulfureux ancien président du conseil Silvio Berlusconi semblant prendre de l'ampleur dans les sondages.
La finance était en grande forme, les français BNP Paribas et Société Générale gagnant respectivement 0.16 et 0.84%, suivis de la Deutsche Bank allemande avec 0.35%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit bondissant de 2.12 et 2.72%, les espagnols Banco Santander et BBVA se contentant de 1.22 et 0.86%.
Munich Re, premier réassureur mondial, s'élevait quand à lui de 2.72% après avoir fait connaître son projet d'augmenter ses dividendes pour 2012.
Mais tout n'était pas rose, Royal KPN NV s'effondrant de 21.46% suite à l'annonce de la mise en vente de 4 milliards d'euros en actions.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.54%, les yeux braqués sur les résultats des prestataires de services britanniques devant être publiés aujourd'hui.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, avançait de 0.74%, et son rival BP de 1.64%.
D'autres entreprises spécialisées dans les matières premières ont toutefois souffert, le mastodonte minier BHP Billiton fondant de 0.12%, Eurasian Natural Resources de 0.76% et le cuivrier Xstrata de 0.47%.
La City était plus mitigée, Lloyds Banking s'éevant de 0.2%, et la Royal Bank of Scotland de 0.81%, tandis que HSBC Holdings et Barclays dévissaient de 0.07 et 0.44%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Le centre d'études Markit a par ailleurs signalé que son baromètre de l'activité tertiaire avait dérapé de 45.6 vers 43.9 pour le premier mois de l'année, alors qu'un frémissement à 45.8 était espéré.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté faire connaître dans l'après-midi son indice de l'état des entreprises fournissant des services aux Etats-Unis.