Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce jeudi, l'espoir d'avancées visant à éviter une catastrophe fiscale américaine renforçant le moral bien que les interrogations au sujet de la Grèce persistent.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 1.11%, le CAC 40 français de 1.03%, et le DAX 30 allemand de 0.82%.
L'atmosphère s'est en effet éclaircie après que John Boehner, à la tête de la chambre des députés américaine, a rappelé dans la soirée de mercredi garder l'espoir que les républicains pourraient trouver un terrain d'entente avec la Maison Blanche afin d'éviter une crise, tandis que le président Barack Obama estimait qu'un compromis pourraient être établi avant les fêtes.
Certains craignent ainsi que la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD ne replonge la première économie mondiale dans la récession, menaçant du coup celle de la planète.
La prudence demeurait toutefois de mise en raison des angoisses concernant les dernières aides à la Grèce, accordées en début de semaine par les représentants du bloc euro et le Fonds Monétaire International.
La finance était dans le peloton de tête, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 1.21 et 1.4%, imités par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 1.53 et 0.96%.
La périphérie les surpassait, les espagnols BVA et Banco Santander engrangeant 2.19 et 2.14%, suivis des italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit avec 1.84 et 1.8%.
Le Zurich Insurance Group amassait pour sa part 1.57% après que son directeur général Martin Senn ait affirmé s'attendre à une "rentabilité additionnelle significative" pour 2012, grâce notamment aux 200 millions d'USD de réduction des coûts de fonctionnement effectuées depuis le début de l'année.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.83%, tiré vers le haut par les carburants et les extracteurs, après qu'une stagnation des prix des logements britanniques ait été mise en évidence pour le mois écoulé.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton empochaient 3.27 et 1.84%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys leur emboîtant le pas avecc 1.52 et 3.1%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 1.9%, et son rival BP non plus avec 0.33%.
La City était aussi de la fête, HSBC Holdings grimpant de 0.95%, Barclays de 1.49%, la Royal Bank of Scotland de 1.65% et Lloyds Banking de 1.65%.
Tout n'était cependant pas rose, Kingfisher, première chaîne de magasins de bricolage d'Europe, dérapant de 1.46% suite à l'aveu d'un revers de 3.8% de ses ventes comparables dans le Royaume-Uni et en Irlande, soit davantage que redouté par les experts.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi enthousiastes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.59%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.65% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.8%.
Le bureau des statistiques fédérales d'Allemagne a quand à lui déploré ce matin 5 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en novembre, soit nettement moins que les 15 000 envisagés.
Le taux de chômage national s'est par contre maintenu sans surprise à 6.9% dans le même temps.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer dans l'après-midi leur évaluation préliminaire de la croisssance au troisième trimestre, ainsi que leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 1.11%, le CAC 40 français de 1.03%, et le DAX 30 allemand de 0.82%.
L'atmosphère s'est en effet éclaircie après que John Boehner, à la tête de la chambre des députés américaine, a rappelé dans la soirée de mercredi garder l'espoir que les républicains pourraient trouver un terrain d'entente avec la Maison Blanche afin d'éviter une crise, tandis que le président Barack Obama estimait qu'un compromis pourraient être établi avant les fêtes.
Certains craignent ainsi que la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD ne replonge la première économie mondiale dans la récession, menaçant du coup celle de la planète.
La prudence demeurait toutefois de mise en raison des angoisses concernant les dernières aides à la Grèce, accordées en début de semaine par les représentants du bloc euro et le Fonds Monétaire International.
La finance était dans le peloton de tête, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 1.21 et 1.4%, imités par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 1.53 et 0.96%.
La périphérie les surpassait, les espagnols BVA et Banco Santander engrangeant 2.19 et 2.14%, suivis des italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit avec 1.84 et 1.8%.
Le Zurich Insurance Group amassait pour sa part 1.57% après que son directeur général Martin Senn ait affirmé s'attendre à une "rentabilité additionnelle significative" pour 2012, grâce notamment aux 200 millions d'USD de réduction des coûts de fonctionnement effectuées depuis le début de l'année.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.83%, tiré vers le haut par les carburants et les extracteurs, après qu'une stagnation des prix des logements britanniques ait été mise en évidence pour le mois écoulé.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton empochaient 3.27 et 1.84%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys leur emboîtant le pas avecc 1.52 et 3.1%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 1.9%, et son rival BP non plus avec 0.33%.
La City était aussi de la fête, HSBC Holdings grimpant de 0.95%, Barclays de 1.49%, la Royal Bank of Scotland de 1.65% et Lloyds Banking de 1.65%.
Tout n'était cependant pas rose, Kingfisher, première chaîne de magasins de bricolage d'Europe, dérapant de 1.46% suite à l'aveu d'un revers de 3.8% de ses ventes comparables dans le Royaume-Uni et en Irlande, soit davantage que redouté par les experts.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi enthousiastes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.59%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.65% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.8%.
Le bureau des statistiques fédérales d'Allemagne a quand à lui déploré ce matin 5 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en novembre, soit nettement moins que les 15 000 envisagés.
Le taux de chômage national s'est par contre maintenu sans surprise à 6.9% dans le même temps.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer dans l'après-midi leur évaluation préliminaire de la croisssance au troisième trimestre, ainsi que leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.