Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture mitigée ce mardi après-midi, l'enthousiasme se trouvant bridé par les incertitudes concernant l'hypothèse d'un resserrage des boulons de la part de la banque centrale des Etats-Unis avant la fin de l'année.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,05%, celles sur le S&P 500 tablant sur un faux pas 0,02% et celles sur le Nasdaq 100 laissant espérer une avancée de 0,18%.
Les valeurs américaines demeuraient en effet à l'offensive après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, ait estimé hier que le rythme de la relance des Etats-Unis demeurait trop lent pour que leur banque centrale envisage un tour de vis.
Il a ajouté que tout ajustement du volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs "devait trouver sa source dans des statistiques portant sur l'état réel de l'économie".
Elle avait ainsi déclaré qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de changer de cap, surprenant ainsi les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle fermerait légèrement les vannes.
Les débats budgétaires fédéraux demeuraient au premier plan pour cette semaine, avec l'espoir d'un accord permettant à l'administration de trouver des fonds au-delà du premier octobre.
Apple était sur le devant de la scène pour la seconde fois d'affilée, après avoir revendiqué hier la vente de 9 millions de ses nouveaux iPhones, constituant du coup un record à quelque jours de leur lancement.
La firme à la pomme a aussi annoncé 200 millions de téléchargements de son nouveau système d'exploitation iOS 7, gagnant 0,37% en pré-ouverture.
Toujours sur le front technologique, BlackBerry grimpait de 0,91% dans le même temps après avoir annoncé son achat par l'assureur canadien Fairfax Financial pour 3,7 milliards d'USD.
Microsoft était aussi sur la brèche, après avoir procédé hier à New York la présentation de la nouvelle génération de ses tablettes électroniques Surface.
La finance était également en ébullitionn, après que le quotidien Financial Times ait rapporté qu'un important passage à vide dans les recettes des opérations de Citigroup au troisième trimestre pourrait nuire à ses bénéfices.
Elle a tout de même grignoté 0,02% après la fin des hostilités, tandis que Goldman Sachs et JP Morgan glissaient de 0,10% chacun.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter CarMax, Lennar et KBHome, dont les résultats du trimestre seront proclamés incessamment.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,33%, le CAC 40 français de 0,51%, le DAX 30 allemand de 0,16% et le FTSE 100 britannique de 0,09%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0,82%, et le Nikkei 225 japonais limitait les dégâts à 0,07%.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part voir sous peu leurs spécialistes de l'immobilier fournir leur mesure de l'évolution des prix des logements, qui précèdera un rapport sur l'humeur des ménages.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,05%, celles sur le S&P 500 tablant sur un faux pas 0,02% et celles sur le Nasdaq 100 laissant espérer une avancée de 0,18%.
Les valeurs américaines demeuraient en effet à l'offensive après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, ait estimé hier que le rythme de la relance des Etats-Unis demeurait trop lent pour que leur banque centrale envisage un tour de vis.
Il a ajouté que tout ajustement du volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs "devait trouver sa source dans des statistiques portant sur l'état réel de l'économie".
Elle avait ainsi déclaré qu'elle souhaitait attendre des preuves tangibles d'une consolidation économique durable avant de changer de cap, surprenant ainsi les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle fermerait légèrement les vannes.
Les débats budgétaires fédéraux demeuraient au premier plan pour cette semaine, avec l'espoir d'un accord permettant à l'administration de trouver des fonds au-delà du premier octobre.
Apple était sur le devant de la scène pour la seconde fois d'affilée, après avoir revendiqué hier la vente de 9 millions de ses nouveaux iPhones, constituant du coup un record à quelque jours de leur lancement.
La firme à la pomme a aussi annoncé 200 millions de téléchargements de son nouveau système d'exploitation iOS 7, gagnant 0,37% en pré-ouverture.
Toujours sur le front technologique, BlackBerry grimpait de 0,91% dans le même temps après avoir annoncé son achat par l'assureur canadien Fairfax Financial pour 3,7 milliards d'USD.
Microsoft était aussi sur la brèche, après avoir procédé hier à New York la présentation de la nouvelle génération de ses tablettes électroniques Surface.
La finance était également en ébullitionn, après que le quotidien Financial Times ait rapporté qu'un important passage à vide dans les recettes des opérations de Citigroup au troisième trimestre pourrait nuire à ses bénéfices.
Elle a tout de même grignoté 0,02% après la fin des hostilités, tandis que Goldman Sachs et JP Morgan glissaient de 0,10% chacun.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter CarMax, Lennar et KBHome, dont les résultats du trimestre seront proclamés incessamment.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,33%, le CAC 40 français de 0,51%, le DAX 30 allemand de 0,16% et le FTSE 100 britannique de 0,09%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0,82%, et le Nikkei 225 japonais limitait les dégâts à 0,07%.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part voir sous peu leurs spécialistes de l'immobilier fournir leur mesure de l'évolution des prix des logements, qui précèdera un rapport sur l'humeur des ménages.