Investing.com - Les options sur le brut étaient en forme ce jeudi matin, profitant toujours de l'inventaire effectué hier, tandis que la banque centrale des Etats-Unis optait pour le statu quo.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 107,85 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,54%.
La session précédente les avait vus conclure à 108,07 USD, avec une poussée de 2,51%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 105,35 USD, leur plancher du 16 septembre, et rencontrer de la résistance à 109,16 USD, leur plafond du 12.
La banque centrale des Etats-Unis s'est en effet retenue hier de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels, rappelant déterminer son cap en fonction "des besoins de l'économie", même si elle doit pour cela aller à l'encontre des rumeurs.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a déclaré à l'issue des deux jours de réunion qu'il souhaitait "attendre encore pour tâcher d'obtenir des preuves tangibles" que l'économie se consolide sur le long terme.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Les cours ont aussi été tirés vers le haut par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis, soulignant hier que leurs réserves avaient écoulé 4,4 millions de barils au cours de la semaine achevée le 13 septembre, les amenant du coup à leur plus bas niveau depuis mars 2012, au lieu des 1,2 millions attendus après les 200.000 enregistrés lors de la précédente.
Ils avaient replongé en début de semaine alors qu'une solution diplomatique au problème épineux de l'arsenal chimique de la Syrie semblait se dessiner en fin de semaine entre les Etats-Unis et la Russie, les premiers brandissant toujours la menace d'une intervention, qui semble cependant désormais bien moins probable.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont gagné 0,38% pour grimper à 111,02 USD du baril dans le même temps, soit 3,17 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 107,85 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0,54%.
La session précédente les avait vus conclure à 108,07 USD, avec une poussée de 2,51%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 105,35 USD, leur plancher du 16 septembre, et rencontrer de la résistance à 109,16 USD, leur plafond du 12.
La banque centrale des Etats-Unis s'est en effet retenue hier de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels, rappelant déterminer son cap en fonction "des besoins de l'économie", même si elle doit pour cela aller à l'encontre des rumeurs.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a déclaré à l'issue des deux jours de réunion qu'il souhaitait "attendre encore pour tâcher d'obtenir des preuves tangibles" que l'économie se consolide sur le long terme.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Les cours ont aussi été tirés vers le haut par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis, soulignant hier que leurs réserves avaient écoulé 4,4 millions de barils au cours de la semaine achevée le 13 septembre, les amenant du coup à leur plus bas niveau depuis mars 2012, au lieu des 1,2 millions attendus après les 200.000 enregistrés lors de la précédente.
Ils avaient replongé en début de semaine alors qu'une solution diplomatique au problème épineux de l'arsenal chimique de la Syrie semblait se dessiner en fin de semaine entre les Etats-Unis et la Russie, les premiers brandissant toujours la menace d'une intervention, qui semble cependant désormais bien moins probable.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont gagné 0,38% pour grimper à 111,02 USD du baril dans le même temps, soit 3,17 USD de mieux que leurs homologues américaines.