Investing.com - Les options sur le brut étaient en berne ce mercredi, plongeant vers un creux des deux derniers jours suite à la publication de résultats manufacturiers plus faibles qu'espéré pour la zone euro, attisant les craintes concernant des perspectives mondiales déjà peu réjouissantes.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 96.91 USD le baril en première partie de séance européenne, dégringolant de 1.12%.
Ils avaient auparavant culminé à touché le fond à 96.41 USD, leur cours le plus bas des deux journées écoulées, avec 1.57% de fléchissement.
Leur situation a en effet empiré après que des résultats préliminaires aient montré ce matin que l'indice de l'activité manufacturière de la zone euro avait reculé en novembre vers 46.4, son pire niveau depuis juillet 2009.
Une autre étude abondait dans le même sens en signalant que celui de l'Allemagne avait chuté à 47.9, sa plus basse valeur en 28 mois, alimentant l'angoisse d'une retour en récession de la zone euro.
Les spécialistes du marché énergétique suivent ces résultats manufacturiers de près, s'en servant afin de juger de l'évolution future des besoins pétroliers.
Les cours s'étaient déjà retrouvés sous pression pendant la séance asiatique, l'indice préliminaire HSBC des directeurs des achats manufacturiers chinois ayant dans le même temps dénoté une contraction à 48, contre 51 en octobre.
Ce plancher jamais atteint depuis juillet 2009 laissait à craindre un "atterrissage en catastrophe" du second consommateur mondial.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a pour sa part revu hier à la baisse son estimation de croissance du produit intérieur brut nationale pour le troisième trimestre, passant de 2.5 à 2%, alimentant la peur d'une dilminution des besoins du pays.
La frilosité a empiré après que les médias belges aient rapporté que la Belgique et la France tenaient de nouvelles négociations concernant un plan de secours déjà en place pour la banque Dexia, en grande difficulté, laissant redouter que la France ne doive y tenir un rôle plus important.
La nouvelle a profité à l'étalon américain, ce qui tire généralement les matières premières libellées avec vers le bas, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeant 0.41% de son côté pour se situer à 78.73.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations gouvernementales hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Celles-ci pourraient montrer une diminution de 500 000 barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient augmenter de 1 million.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont perdu 0.69% pour grimper à 108.28 USD du baril dans le même temps, soit 11.37 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 96.91 USD le baril en première partie de séance européenne, dégringolant de 1.12%.
Ils avaient auparavant culminé à touché le fond à 96.41 USD, leur cours le plus bas des deux journées écoulées, avec 1.57% de fléchissement.
Leur situation a en effet empiré après que des résultats préliminaires aient montré ce matin que l'indice de l'activité manufacturière de la zone euro avait reculé en novembre vers 46.4, son pire niveau depuis juillet 2009.
Une autre étude abondait dans le même sens en signalant que celui de l'Allemagne avait chuté à 47.9, sa plus basse valeur en 28 mois, alimentant l'angoisse d'une retour en récession de la zone euro.
Les spécialistes du marché énergétique suivent ces résultats manufacturiers de près, s'en servant afin de juger de l'évolution future des besoins pétroliers.
Les cours s'étaient déjà retrouvés sous pression pendant la séance asiatique, l'indice préliminaire HSBC des directeurs des achats manufacturiers chinois ayant dans le même temps dénoté une contraction à 48, contre 51 en octobre.
Ce plancher jamais atteint depuis juillet 2009 laissait à craindre un "atterrissage en catastrophe" du second consommateur mondial.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a pour sa part revu hier à la baisse son estimation de croissance du produit intérieur brut nationale pour le troisième trimestre, passant de 2.5 à 2%, alimentant la peur d'une dilminution des besoins du pays.
La frilosité a empiré après que les médias belges aient rapporté que la Belgique et la France tenaient de nouvelles négociations concernant un plan de secours déjà en place pour la banque Dexia, en grande difficulté, laissant redouter que la France ne doive y tenir un rôle plus important.
La nouvelle a profité à l'étalon américain, ce qui tire généralement les matières premières libellées avec vers le bas, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeant 0.41% de son côté pour se situer à 78.73.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations gouvernementales hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Celles-ci pourraient montrer une diminution de 500 000 barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient augmenter de 1 million.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont perdu 0.69% pour grimper à 108.28 USD du baril dans le même temps, soit 11.37 USD de mieux que leurs homologues américaines.