Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse la semaine dernière, s'approchant jeudi d'un creux des trois mois écoulés sur fond de crainte pour la consommation mondiale, avant de rebondir par peur d'une flambée dûe aux perturbations subies par l'approvisionnement des Etats-Unis.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 99.43 USD le baril à la clôture des marchés de fin de semaine, gagnant 1.1% hebdomadaires.
Ils avaient pourtant plongé mercredi de près de 4%, la déception des chiffres de la production chinoise ayant alimenté l'angoisse d'un ralentissement possible de la croissance chinoise, et donc d'une diminution des besoins en matières premières.
Des chiffres officiels ont par ailleurs montré ce jour-là que la semaine dernière avait été le théâtre de la plus forte hausse des réserves de pétrole depuis Mai 2009, mettant en évidence un affaiblissement de la demande de la part du premier consommateur mondial.
La consommation nationale totale de carburant a en effet diminué de 0.9%, pour tomber à 18.2 millions de barils quotidiens, plongeant d'après l'étude à son niveau le plus bas depuis juin 2009.
Les cours ont vu leurs pertes aggravées jeudi sur fond d'échanges volatils, chutant jusqu'à 95.24 USD le baril après que l'Agence Internationale de l'Energie ait réduit son estimation de la demande mondiale pour 2011 de 190 000 barils par jour, pour l'établir à 89.2 millions de barils quotidiens, invoquant la persistance des prix élevés et la révision à la baisse des projections de croissance des économies des pays développés.
Ils ont toutefois rebondi de leur plancher du jour après que le dollar U.S. ait cédé du terrain à ses principaux concurrents, augmentant l'attrait des investissements dans les matières premières.
L'inquiétude causée par l'impact possible des inondations du fleuve Mississippi sur les fournitures d'or noir des Etats-Unis a aussi conduit a établir des positions de couverture à court terme en vue de la fin de semaine, certains oléoducs et terminaux ayant déjà été désactivés, d'après l'association des pétroliers et gaziers de Louisiane.
JP Morgan-Chase a déclaré dans un article dévoilé vendredi que treize des raffineries de la région du Golfe du Mexique pouvaient être touchées, ainsi que de nombreux complexes pétrochimiques et terminaux de production.
Plus de 2.6 millions de barils quotidiens pourraient ainsi être affectés, représentant plus de 15% de la capacité opérationnelle du pays.
Les prix avaient bondi lundi de 4.5% sur fond d'achats à bas prix, après que Goldman Sachs ait recommandé de profiter des 13.5% de dégringolade de la semaine précédente.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juillet ont engrangé 3% pour grimper à 113.33 USD du baril dans le même temps, soit 11.87 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 99.43 USD le baril à la clôture des marchés de fin de semaine, gagnant 1.1% hebdomadaires.
Ils avaient pourtant plongé mercredi de près de 4%, la déception des chiffres de la production chinoise ayant alimenté l'angoisse d'un ralentissement possible de la croissance chinoise, et donc d'une diminution des besoins en matières premières.
Des chiffres officiels ont par ailleurs montré ce jour-là que la semaine dernière avait été le théâtre de la plus forte hausse des réserves de pétrole depuis Mai 2009, mettant en évidence un affaiblissement de la demande de la part du premier consommateur mondial.
La consommation nationale totale de carburant a en effet diminué de 0.9%, pour tomber à 18.2 millions de barils quotidiens, plongeant d'après l'étude à son niveau le plus bas depuis juin 2009.
Les cours ont vu leurs pertes aggravées jeudi sur fond d'échanges volatils, chutant jusqu'à 95.24 USD le baril après que l'Agence Internationale de l'Energie ait réduit son estimation de la demande mondiale pour 2011 de 190 000 barils par jour, pour l'établir à 89.2 millions de barils quotidiens, invoquant la persistance des prix élevés et la révision à la baisse des projections de croissance des économies des pays développés.
Ils ont toutefois rebondi de leur plancher du jour après que le dollar U.S. ait cédé du terrain à ses principaux concurrents, augmentant l'attrait des investissements dans les matières premières.
L'inquiétude causée par l'impact possible des inondations du fleuve Mississippi sur les fournitures d'or noir des Etats-Unis a aussi conduit a établir des positions de couverture à court terme en vue de la fin de semaine, certains oléoducs et terminaux ayant déjà été désactivés, d'après l'association des pétroliers et gaziers de Louisiane.
JP Morgan-Chase a déclaré dans un article dévoilé vendredi que treize des raffineries de la région du Golfe du Mexique pouvaient être touchées, ainsi que de nombreux complexes pétrochimiques et terminaux de production.
Plus de 2.6 millions de barils quotidiens pourraient ainsi être affectés, représentant plus de 15% de la capacité opérationnelle du pays.
Les prix avaient bondi lundi de 4.5% sur fond d'achats à bas prix, après que Goldman Sachs ait recommandé de profiter des 13.5% de dégringolade de la semaine précédente.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juillet ont engrangé 3% pour grimper à 113.33 USD du baril dans le même temps, soit 11.87 USD de mieux que leurs homologues américaines.