Investing.com - Les options sur le brut se sont élevées vendredi vers un sommet hebdomadaire, après que les performances chinoises aient apaisé l'angoisse d'un coup de frein de la seconde économie planétaire.
Les produits énergétiques ont également bénéficié d'un net affaissement du dollar U.S. et du renfocement des sanctions touchant l'Iran.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 87.05 USD le baril à la clôture des échanges de la semaine, ayant auparavant culminé à 87.58 USD, leur cours le plus élevé depuis le 5 juillet.
Ils ont ainsi réalisé un bond hedomadaire de 3.3%.
La dernière séance les a en effet vus bondir après qu'il ait été montré que le produit intérieur brut de la Chine avait comme prévu augmenté de 7.6% au second trimestre, contre 8.1% au cours du précédent.
Bien que la performane n'ait pas été aussi mauvaise que certains le craignaient, la progression de l'économie nationale a tout de même été la plus faible depuis le premier trimestre 2009, ce qui laissait à penser que les dirigeants nationaux donneraient bientôt un coup de fouet.
Il était d'autre part à noter que la production industrielle avait gagné 9.5% en juin, se situant à peine sous les 9.8% espérés, tandis que les investissements durables dans le pays dépassaient de peu les 20% espérés avec 20.4%.
La consommation du pays n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation des besoins mondiaux.
Les prix également profité de la faiblesse du billet vert, celui-ci retombant d'un pic de deux ans face à l'euro.
Ce dernier avait dérapé dans son ornière la plus profonde des deux années passées en début de journée après que l'agence Moody's ait dégradé sa notation de l'Italie dans la soirée de jeudi, invoquant les doutes concernant la capacité du gouvernement à mettre en place des réformes indispensables.
Mais une mise aux enchères réussie de dettes nationales triennales a contribué à mettre du baume sur les craintes touchant la rtoisème économie du bloc euro.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a quand à lui glissé de 0.4% de son côté pour se situer à 83.43.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La nouvelle selon laquelle l'administration Obama avait encore renforcé les mesures de rétorsion touchant l'Iran ont encore conforté cette tendance.
Les autorités américaines ont en effet fait savoir qu'elles s'attaqueraient à un certain nombre de banques et de compagnies de transport dont elles estiment qu'elle pourraient servir à contourner l'embargo touchant les exportations de pétrole provenant de la nation perse.
Celui de l'Union Européenne a quand à lui pris effet le premier juillet.
Aux Etats-Unis, il avait été signalé en fin de semaine que la confiance des consommateurs avait baissé sans crier gare en juillet vers son plus bas niveau des sept mois écoulés.
L'université du Michigan avait ainsi vu son baromètre du moral des ménages plonger depuis 73.2 vers 72, alors que les experts espéraient le voir s'élever à 73.4.
Il était d'autre part à noter que l'inflation des côuts de production avait grignoté 0.1% pour la même période, au lieu de diminuer de 0.5% comme prédit, laissant ainsi davantage de marge à la Réserve Fédérale pour encourager l'économie.
L'or noir s'était retrouvé sur la sellette en début de semaine, la compte-rendu du dernier conseil directeur de la banque centrale américaine ayant douché les espoirs de nouveaux assouplissements qui iraient dans ce sens.
Il y était en révélé que peu de ses membres estimaient davantage d'acquisitions d'actifs nécessaires dans ce but.
Plusieurs autres estimaient pour leur part que des apports de capitaux supplémentaires pourraient être justifiés en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou de chute "durable" de l'inflation au-dessous de la valeur visée.
Les Etats-Unis gardent leur première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont grimpé à 102.4 USD du baril dans le même temps, leur plus haut niveau depuis le 7 juin.
Leur progreession hebdomadaire a ainsi atteint les 4.45%, les situant à 15.35 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur cours, établi à Londres, se sont remplumés ces derniers temps, dans l'angoisse d'une diminution des flux norvégiens et de perturbations dans la Mer du Nord, sur fond d'aggravation des sanctions imposées par l'Occident envers les exportations iraniennes depuis le début du mois.
Tous les yeux seront tournés la semaine prochaine vers le témoignage de Ben Bernanke, président de la banque centrale des Etats-Unis, sur fond de rumeurs selon lesquelles cette dernière pourrait procéder à davantage d'injections de liquidités.
Il comparaîtra mardi devant le comité bancaire sénatorial, et mercredi devant le conseil parlementaire des services financiers.
Les produits énergétiques ont également bénéficié d'un net affaissement du dollar U.S. et du renfocement des sanctions touchant l'Iran.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 87.05 USD le baril à la clôture des échanges de la semaine, ayant auparavant culminé à 87.58 USD, leur cours le plus élevé depuis le 5 juillet.
Ils ont ainsi réalisé un bond hedomadaire de 3.3%.
La dernière séance les a en effet vus bondir après qu'il ait été montré que le produit intérieur brut de la Chine avait comme prévu augmenté de 7.6% au second trimestre, contre 8.1% au cours du précédent.
Bien que la performane n'ait pas été aussi mauvaise que certains le craignaient, la progression de l'économie nationale a tout de même été la plus faible depuis le premier trimestre 2009, ce qui laissait à penser que les dirigeants nationaux donneraient bientôt un coup de fouet.
Il était d'autre part à noter que la production industrielle avait gagné 9.5% en juin, se situant à peine sous les 9.8% espérés, tandis que les investissements durables dans le pays dépassaient de peu les 20% espérés avec 20.4%.
La consommation du pays n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation des besoins mondiaux.
Les prix également profité de la faiblesse du billet vert, celui-ci retombant d'un pic de deux ans face à l'euro.
Ce dernier avait dérapé dans son ornière la plus profonde des deux années passées en début de journée après que l'agence Moody's ait dégradé sa notation de l'Italie dans la soirée de jeudi, invoquant les doutes concernant la capacité du gouvernement à mettre en place des réformes indispensables.
Mais une mise aux enchères réussie de dettes nationales triennales a contribué à mettre du baume sur les craintes touchant la rtoisème économie du bloc euro.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a quand à lui glissé de 0.4% de son côté pour se situer à 83.43.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
La nouvelle selon laquelle l'administration Obama avait encore renforcé les mesures de rétorsion touchant l'Iran ont encore conforté cette tendance.
Les autorités américaines ont en effet fait savoir qu'elles s'attaqueraient à un certain nombre de banques et de compagnies de transport dont elles estiment qu'elle pourraient servir à contourner l'embargo touchant les exportations de pétrole provenant de la nation perse.
Celui de l'Union Européenne a quand à lui pris effet le premier juillet.
Aux Etats-Unis, il avait été signalé en fin de semaine que la confiance des consommateurs avait baissé sans crier gare en juillet vers son plus bas niveau des sept mois écoulés.
L'université du Michigan avait ainsi vu son baromètre du moral des ménages plonger depuis 73.2 vers 72, alors que les experts espéraient le voir s'élever à 73.4.
Il était d'autre part à noter que l'inflation des côuts de production avait grignoté 0.1% pour la même période, au lieu de diminuer de 0.5% comme prédit, laissant ainsi davantage de marge à la Réserve Fédérale pour encourager l'économie.
L'or noir s'était retrouvé sur la sellette en début de semaine, la compte-rendu du dernier conseil directeur de la banque centrale américaine ayant douché les espoirs de nouveaux assouplissements qui iraient dans ce sens.
Il y était en révélé que peu de ses membres estimaient davantage d'acquisitions d'actifs nécessaires dans ce but.
Plusieurs autres estimaient pour leur part que des apports de capitaux supplémentaires pourraient être justifiés en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou de chute "durable" de l'inflation au-dessous de la valeur visée.
Les Etats-Unis gardent leur première part dans demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont grimpé à 102.4 USD du baril dans le même temps, leur plus haut niveau depuis le 7 juin.
Leur progreession hebdomadaire a ainsi atteint les 4.45%, les situant à 15.35 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur cours, établi à Londres, se sont remplumés ces derniers temps, dans l'angoisse d'une diminution des flux norvégiens et de perturbations dans la Mer du Nord, sur fond d'aggravation des sanctions imposées par l'Occident envers les exportations iraniennes depuis le début du mois.
Tous les yeux seront tournés la semaine prochaine vers le témoignage de Ben Bernanke, président de la banque centrale des Etats-Unis, sur fond de rumeurs selon lesquelles cette dernière pourrait procéder à davantage d'injections de liquidités.
Il comparaîtra mardi devant le comité bancaire sénatorial, et mercredi devant le conseil parlementaire des services financiers.