Investing.com - Les options sur le brut étaient ont conclu sans grandes évolutions, les investisseurs étaient peu enclins à prolonger une ascension les ayant auparavant propulsées au plus haut des quatre mois écoulés, sur fond d'optimisme concernant la santé de l'économie mondiale.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 96.03 USD le baril à la clôture des transactions, grignotant 0.1%.
Ils auront toutefois laissé échapper 0.8% pour leur premier recul hebdomadaire en sept semaines.
Ils avaient culminé mercredi à 96.9 USD, leur niveau le plus élevé depuis le 18 septembre.
Le soutien de bonnes performances économiques mondiales leur permettait toutefois de sauver les meubles, après qu'il ait notamment été annoncé que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers établi par HSBC pour la Chine, était remonté depuis une valeur finale de 51.5 jusqu'à 51.9 pour ce mois-ci, son meilleur niveau en vingt-quatre mois.
Cette bonne nouvelle est venue confirmer les signes relance du pays, sa voracité pétrolière n'étant seconde que derrière celle des Etats-Unis, et restant la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Ces derniers ont quand à eux fait savoir le même jour n'avoir dénombré que 330 000 nouveaux inscrits au chômage la semaine précédente, leur nombre le plus bas en cinq ans.
Celui-ci est surveillé de près par les spécialistes car il permet d'évaluer la vigueur du premier consommateur mondial.
Du côté de la zone euro, la Banque Centrale Européenne a annoncé lors de la dernière journée de cotation que 278 banques opérant sous sa tutelle comptaient lui rembourser 137.2 milliards d'euros d'emprunts dès la semaine prochaine, laissant espérer un retour des flux de liquidités.
Elle les leur avait accordés afin de les aider à surmonter des problèmes de capitalisation découlant liés à la problématique de la dette régionale.
Cette tendance s'est accentuée après que l'institut Ifo pour la recherche économique ait fait savoir que son baromètre de la confiance dans les affaires allemandes était remonté depuis 102.4 vers 104.2 pour janvier, dépassant ainsi les 103 espérés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a alors glissé de 0.3% pour se situer à 79.81, sa valeur la plus faible depuis le 18 janvier.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Le conseil de direction de la Réserve Fédérale de mercredi sera au centre des débats de la semaine, dans l'espoir d'y déceler des augures de l'avenir de sa politique monétaire extrêmement souple.
Il en sera de même avec l'évaluation préliminaire du produit intérieur brut des Etats-Unis devant être révélée le même jour, de même qu'avec le rapport sur l'emploi national hors agriculture qui sera publié vendredi, dans l'espoir d'évaluer la vigueur de leur relance.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars se sont pour leur part élevées de 0.15% vendredi pour grimper à 113.46 USD du baril, leur plus haut niveau depuis le 17 octobre.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec 1.45% d'amélioration, pour s'établir à 17.43 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Le regain des tensions géopolitiques entre la Libye et l'Algérie les avait encouragés, en raison de la crainte d'une attaque terroriste venue de la seconde sur les installations pétrolières de la première, qui y a du coup renforcé les mesures de sécurité aux alentours de ses frontière avec elle, mais aussi avec la Tunisie et le Niger.
Elle abrite en effet les plus importantes réserves d'Afrique, tandis que l'Algérie et le Niger sont des pourvoyeurs importants de brut de haute qualité.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 96.03 USD le baril à la clôture des transactions, grignotant 0.1%.
Ils auront toutefois laissé échapper 0.8% pour leur premier recul hebdomadaire en sept semaines.
Ils avaient culminé mercredi à 96.9 USD, leur niveau le plus élevé depuis le 18 septembre.
Le soutien de bonnes performances économiques mondiales leur permettait toutefois de sauver les meubles, après qu'il ait notamment été annoncé que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers établi par HSBC pour la Chine, était remonté depuis une valeur finale de 51.5 jusqu'à 51.9 pour ce mois-ci, son meilleur niveau en vingt-quatre mois.
Cette bonne nouvelle est venue confirmer les signes relance du pays, sa voracité pétrolière n'étant seconde que derrière celle des Etats-Unis, et restant la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Ces derniers ont quand à eux fait savoir le même jour n'avoir dénombré que 330 000 nouveaux inscrits au chômage la semaine précédente, leur nombre le plus bas en cinq ans.
Celui-ci est surveillé de près par les spécialistes car il permet d'évaluer la vigueur du premier consommateur mondial.
Du côté de la zone euro, la Banque Centrale Européenne a annoncé lors de la dernière journée de cotation que 278 banques opérant sous sa tutelle comptaient lui rembourser 137.2 milliards d'euros d'emprunts dès la semaine prochaine, laissant espérer un retour des flux de liquidités.
Elle les leur avait accordés afin de les aider à surmonter des problèmes de capitalisation découlant liés à la problématique de la dette régionale.
Cette tendance s'est accentuée après que l'institut Ifo pour la recherche économique ait fait savoir que son baromètre de la confiance dans les affaires allemandes était remonté depuis 102.4 vers 104.2 pour janvier, dépassant ainsi les 103 espérés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a alors glissé de 0.3% pour se situer à 79.81, sa valeur la plus faible depuis le 18 janvier.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Le conseil de direction de la Réserve Fédérale de mercredi sera au centre des débats de la semaine, dans l'espoir d'y déceler des augures de l'avenir de sa politique monétaire extrêmement souple.
Il en sera de même avec l'évaluation préliminaire du produit intérieur brut des Etats-Unis devant être révélée le même jour, de même qu'avec le rapport sur l'emploi national hors agriculture qui sera publié vendredi, dans l'espoir d'évaluer la vigueur de leur relance.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars se sont pour leur part élevées de 0.15% vendredi pour grimper à 113.46 USD du baril, leur plus haut niveau depuis le 17 octobre.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec 1.45% d'amélioration, pour s'établir à 17.43 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Le regain des tensions géopolitiques entre la Libye et l'Algérie les avait encouragés, en raison de la crainte d'une attaque terroriste venue de la seconde sur les installations pétrolières de la première, qui y a du coup renforcé les mesures de sécurité aux alentours de ses frontière avec elle, mais aussi avec la Tunisie et le Niger.
Elle abrite en effet les plus importantes réserves d'Afrique, tandis que l'Algérie et le Niger sont des pourvoyeurs importants de brut de haute qualité.