Investing.com - Les options sur le brut ont conclu à leur plus haut niveau depuis septembre, encouragées par les signes pouvant dénoter un essor de l'économie américaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 97.58 USD le baril à la clôture des transactions, grignotant 0.1%.
Ils auront toutefois engrangé 1.6% pour leur huitième avancée hebdomadaire d'affilée, constituant leur plus longue série positive depuis août 2004.
Ils avaient culminé mercredi à 98.24 USD, leur niveau le plus élevé depuis le 17 septembre.
Leur poussée est survenue bien que le bureau des statistiques de l'emploi ait annoncé que l'économie des Etats-Unis avait créé 157 000 postes au cours du dernier mois de l'année, soit un peu moins que les 160 000 envisagés, et que le taux de chômage national avait augmenté sans prévenir, frémissant de 7.8 vers 7.9% sur la même période.
Les nombres des embauchés hors agriculture de novembre et décembre ont en effet été revus tous deux en nette hausse, à respectivement 247 et 196 000.
Celui-ci est surveillé de près par les spécialistes car il permet d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Leur avancée s'est poursuivie après qu'il ait été souligné que l'activité des industries des Etats-Unis avait atteint son meilleur niveau en neuf mois en janvier, alors que le moral de leurs consommateurs constituait lui aussi une bonne surprise.
L'institut de gestion des approvisionnements a quand à lui fait savoir que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du pays était remonté depuis 50.2 vers 53.1 pour le mois passé, dépassant largement les 50.6 espérés.
Le baromètre définitif de l'humeur des consommateurs établi conjointement par Thomson Reuters et l'université du Michigan est aussi remonté de 71.3 vers 73.8 dans le même temps, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer au-dessus des 71.5.
Le département d'état au commerce avait fait savoir deux jours auparavant que l'économie nationale avait subi une contraction de 0.1% au quatrième trimestre, alors qu'une expansion de 1.1% était envisagée, entraînant une forte déception après les 3.1% d'avancée enregistrés lors du troisième.
La banque centrale américaine avait quand à elle rappelé mercredi qu'elle continuerait à procéder 85 milliards d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs "si les perspectives du marché de l'emploi ne montraient pas d'améliorations substantielles".
Elle a aussi assuré que ses taux d'intérêt demeureraient proches de zéro tant que le chômage ne passerait pas sous les 6.5%.
Les cours ont également bénéficié du soutien d'études confirmant l'hypothèse d'un tournant décisif passé dans sa crise de la dette souveraine de la zone euro.
L'indice des directeurs des achats des usines de la zone euro ainsi frémi de 47.5 vers 47.9 pour janvier, subissant sa plus faible rétraction des 11 mois écoulés.
Son équivalent pour la Chine définitivement établi par HSBC est remonté depuis 51.9 jusqu'à 52.3 dans le même temps.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les prises de cap de la Banque Centrale Européenne, de la Banque d'Angleterre et de la Réserve Bancaire d'Australie seront les points d'orgue de la semaine prochaine, de même que les informations concernant l'activité des secteurs tertiaires des Etats-Unis et du Royaume-Uni.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars se sont pour leur part élevées de 0.85% vendredi pour grimper à 116.52 USD du baril, leur plus haut niveau depuis le 14 septembre.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec 2.6% d'amélioration, pour s'établir à 18.94 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus important en un mois.
Celui-ci est en effet devenu le plus important depuis le 3 janvier en raison du retour du spectre de l'engorgement des réserves de Cushing, en Oklahoma, centre traditionnel des échanges NYMEX.
Les opérateurs de l'oléoduc Seaway, désormais employé à résorber le trop-plein s'accumulant dans la région du Midwest des Etats-Unis vers les terminaux du Golfe du Mexique après une inversion de flux le mois dernier, ont en effet déploré de voir son flux risquer d'être liité jusqu'au quatrième trimestre de l'année en cours.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 97.58 USD le baril à la clôture des transactions, grignotant 0.1%.
Ils auront toutefois engrangé 1.6% pour leur huitième avancée hebdomadaire d'affilée, constituant leur plus longue série positive depuis août 2004.
Ils avaient culminé mercredi à 98.24 USD, leur niveau le plus élevé depuis le 17 septembre.
Leur poussée est survenue bien que le bureau des statistiques de l'emploi ait annoncé que l'économie des Etats-Unis avait créé 157 000 postes au cours du dernier mois de l'année, soit un peu moins que les 160 000 envisagés, et que le taux de chômage national avait augmenté sans prévenir, frémissant de 7.8 vers 7.9% sur la même période.
Les nombres des embauchés hors agriculture de novembre et décembre ont en effet été revus tous deux en nette hausse, à respectivement 247 et 196 000.
Celui-ci est surveillé de près par les spécialistes car il permet d'évaluer l'appétit du premier consommateur mondial.
Leur avancée s'est poursuivie après qu'il ait été souligné que l'activité des industries des Etats-Unis avait atteint son meilleur niveau en neuf mois en janvier, alors que le moral de leurs consommateurs constituait lui aussi une bonne surprise.
L'institut de gestion des approvisionnements a quand à lui fait savoir que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du pays était remonté depuis 50.2 vers 53.1 pour le mois passé, dépassant largement les 50.6 espérés.
Le baromètre définitif de l'humeur des consommateurs établi conjointement par Thomson Reuters et l'université du Michigan est aussi remonté de 71.3 vers 73.8 dans le même temps, alors que les experts ne pensaient pourtant pas le voir passer au-dessus des 71.5.
Le département d'état au commerce avait fait savoir deux jours auparavant que l'économie nationale avait subi une contraction de 0.1% au quatrième trimestre, alors qu'une expansion de 1.1% était envisagée, entraînant une forte déception après les 3.1% d'avancée enregistrés lors du troisième.
La banque centrale américaine avait quand à elle rappelé mercredi qu'elle continuerait à procéder 85 milliards d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs "si les perspectives du marché de l'emploi ne montraient pas d'améliorations substantielles".
Elle a aussi assuré que ses taux d'intérêt demeureraient proches de zéro tant que le chômage ne passerait pas sous les 6.5%.
Les cours ont également bénéficié du soutien d'études confirmant l'hypothèse d'un tournant décisif passé dans sa crise de la dette souveraine de la zone euro.
L'indice des directeurs des achats des usines de la zone euro ainsi frémi de 47.5 vers 47.9 pour janvier, subissant sa plus faible rétraction des 11 mois écoulés.
Son équivalent pour la Chine définitivement établi par HSBC est remonté depuis 51.9 jusqu'à 52.3 dans le même temps.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les prises de cap de la Banque Centrale Européenne, de la Banque d'Angleterre et de la Réserve Bancaire d'Australie seront les points d'orgue de la semaine prochaine, de même que les informations concernant l'activité des secteurs tertiaires des Etats-Unis et du Royaume-Uni.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars se sont pour leur part élevées de 0.85% vendredi pour grimper à 116.52 USD du baril, leur plus haut niveau depuis le 14 septembre.
Leurs cours, établis à Londres, ont ainsi terminé la semaine avec 2.6% d'amélioration, pour s'établir à 18.94 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus important en un mois.
Celui-ci est en effet devenu le plus important depuis le 3 janvier en raison du retour du spectre de l'engorgement des réserves de Cushing, en Oklahoma, centre traditionnel des échanges NYMEX.
Les opérateurs de l'oléoduc Seaway, désormais employé à résorber le trop-plein s'accumulant dans la région du Midwest des Etats-Unis vers les terminaux du Golfe du Mexique après une inversion de flux le mois dernier, ont en effet déploré de voir son flux risquer d'être liité jusqu'au quatrième trimestre de l'année en cours.