Investing.com - Les options sur le brut étaient toujours sous pression vendredi, plongeant à leur niveau le plus faible depuis octobre, les perspectives de croissance ayannt été mises à mal par les chiffres décevants de l'emploi américain.
Les Brent sont pour leur part passées sous la barre pschologique des 100 USD à Londres, se retrouvant ainsi dansleur ornière la plus profonde des 17 mois écoulés.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 83.28 USD le baril à la clôture des échanges de la semaine, après avoir auparavant touché le fond à 82.31 USD, leur valeur la plusbasse depuis le 7 octobre 2011.
Une dégringolade de 8.8%, la plus importante depuis le 23 septembre, aura été constatée sur leur cinquième semaine de pertes d'affilée.
Les prix ont fondu de près de 21% au cours de la durée en question, constituant le recul le plus important sur une période semblable depuis celle achevée le 18 janvier 2009, dévalant près de 25% depuis leur sommet journalier du premier mars à 110.53 USD.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet révélé vendredi que seuls 69 000 postes avaient été créés en mai, leur performance la plus faible de l'année, nettement inférieure aux 150 000 espérés.
Le taux de chômage s'est quand à lui élevé sans crier gare depuis 8.1 vers 8.2%, augmentant pour la première fois en onze mois.
Le nombre des nouveaux emplois d'avril s'est ainsi situé à 77 000 contre 115 000 évalués au préalable, tandis que celui des salariés de mars passait d'une estimation préliminaire à 154 000 vers 143 000.
Les acteurs du marché pétrolier surveillent généralement ce rapport de très près, car il offre la prise la plus directe avec le marché du travail américain, et donc sur la santé du premier demandeur mondial.
Il avait d'autre part été montré que l'activité des usines nationales avait ralenti en mai, l'indice manufacturier de l'institut de gestion des approvisionnements glissant de 54.8 vers 53.5, alors qu'une diminution jusqu'à 53.9 était déjà redoutée.
Les résultats manufacturiers peu glorieux de la Chine et de l'Europe ont également jeté une ombre sur les perspectives des besoins mondiaux, contribuant à la tendance baissière.
L'indice HSBC dse directeurs des achats chinois ont glissé depuis 49.3 en avril vers 48.4, signe d'une baisse de la fièvre touchant la seconde économie du monde.
Une aggravation de la perte de vitesse qu'elle subit mettrait à mal une expansion économique mondiale déjà malmenée par les mesures de rigueur imposées à l'Europe.
L'activité du secteur secondaire de la zone euro a quand à elle subi sa pire régression en trois ans, passant d'après le même indice, calculé par le groupe de recherches économiques Markit de 45.9 à 45.1 dans le même temps.
Ces résultats préfigurent généralement les évolutions des besoins en carburant.
Les incertitudes persistantes causées par l'aggravation de la santé fiscalee de l'Espagne et la peur grandissante d'une sortie grecque hors de la zone euro n'étaient pas non plus à négliger.
Il est en effet redouté que la crise de la dette souveraine régionale ne déclenche un ralentissement économique général, qui pourrait entraîner un fléchissement de la gloutonnerie pour l'or noir, le bloc ayant adopté la monnaie unique étant responsable, d'après British Petroleum, de près de 12% de la consommation mondiale en 2010.
Les résultats des élections grecques du 6 mai ont entraîné une descente rapide, remettant en question non seulement le plan de sauvetage international du pays, mais aussi son appartenance au bloc euro.
Les pertes mensuelle totalisent près de 17%, et ont été les plus graves depuis décembre 2008.
L'augmentation supérieure aux attentes des réserves d'or noir américaines au cours de la semaine dernière a quand à elle forcé les acteurs du marché à reporter leur attention sur l'état de l'offre et de la demande.
Le département d'état à l'énergie américain a en effet déclaré dans son rapport hebdomadaire qu'elles avaient engrangé 2.2 millions de barils pour en totaliser 384.7 millions, atteignant ainsi leur volume le plus important depuis 1990, ramenant au premier plan l'idée d'une diminution de la voracité américaine.
Les Etats-Unis demeurent le premier consommateur au monde avec près des 22% des besoins planétaires.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juillet ont fléchi jusqu'à 98.75 USD du baril dans le même temps, après avoir touché le fond à 97.56 USD en début de journée, leur plus faible valeur depuis le 8 février 2011.
Elles ont laissé échapper 7.65% en cours de semaine, pour se retrouver à 15.47 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur cours ont dévalé de 17.5% en un mois, leur effondrement le plus rapide depuis mai 2008, avec près de 23% de moins depuis leur sommet à 128.38 établi le premier mars.
L'éventualité d'une absence des fournitures iraniennes avait contribué la tirer les prix vers le haut en fin d'année dernière et sur le premier trimestre 2012.
Mais le renouveau des négociations entre l'Occident et la nation perse concernant le programe atomique de cette dernière, l'augmentation des débits saoudien et libyen, ainsi que les signes de ralentissement de la croissance et des embauches des Etats-Unis ont contribué à les faire retomber de leurs sommets des trois premiers mois de l'année.
Les observateurs auront la semaine prochaine les yeux rivés la décision de mercredi portant sur les taux d'intérêt de la part de la Banque Centrale Européenne.
Il ne faudra pas non plus négliger le rapport sur les perspectives économiques rendu jeudi par Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, qui pourrait receler des indices sur la volonté de cette dernière de procéder à de nouveaux apports de liquidités.
Les Brent sont pour leur part passées sous la barre pschologique des 100 USD à Londres, se retrouvant ainsi dansleur ornière la plus profonde des 17 mois écoulés.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 83.28 USD le baril à la clôture des échanges de la semaine, après avoir auparavant touché le fond à 82.31 USD, leur valeur la plusbasse depuis le 7 octobre 2011.
Une dégringolade de 8.8%, la plus importante depuis le 23 septembre, aura été constatée sur leur cinquième semaine de pertes d'affilée.
Les prix ont fondu de près de 21% au cours de la durée en question, constituant le recul le plus important sur une période semblable depuis celle achevée le 18 janvier 2009, dévalant près de 25% depuis leur sommet journalier du premier mars à 110.53 USD.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet révélé vendredi que seuls 69 000 postes avaient été créés en mai, leur performance la plus faible de l'année, nettement inférieure aux 150 000 espérés.
Le taux de chômage s'est quand à lui élevé sans crier gare depuis 8.1 vers 8.2%, augmentant pour la première fois en onze mois.
Le nombre des nouveaux emplois d'avril s'est ainsi situé à 77 000 contre 115 000 évalués au préalable, tandis que celui des salariés de mars passait d'une estimation préliminaire à 154 000 vers 143 000.
Les acteurs du marché pétrolier surveillent généralement ce rapport de très près, car il offre la prise la plus directe avec le marché du travail américain, et donc sur la santé du premier demandeur mondial.
Il avait d'autre part été montré que l'activité des usines nationales avait ralenti en mai, l'indice manufacturier de l'institut de gestion des approvisionnements glissant de 54.8 vers 53.5, alors qu'une diminution jusqu'à 53.9 était déjà redoutée.
Les résultats manufacturiers peu glorieux de la Chine et de l'Europe ont également jeté une ombre sur les perspectives des besoins mondiaux, contribuant à la tendance baissière.
L'indice HSBC dse directeurs des achats chinois ont glissé depuis 49.3 en avril vers 48.4, signe d'une baisse de la fièvre touchant la seconde économie du monde.
Une aggravation de la perte de vitesse qu'elle subit mettrait à mal une expansion économique mondiale déjà malmenée par les mesures de rigueur imposées à l'Europe.
L'activité du secteur secondaire de la zone euro a quand à elle subi sa pire régression en trois ans, passant d'après le même indice, calculé par le groupe de recherches économiques Markit de 45.9 à 45.1 dans le même temps.
Ces résultats préfigurent généralement les évolutions des besoins en carburant.
Les incertitudes persistantes causées par l'aggravation de la santé fiscalee de l'Espagne et la peur grandissante d'une sortie grecque hors de la zone euro n'étaient pas non plus à négliger.
Il est en effet redouté que la crise de la dette souveraine régionale ne déclenche un ralentissement économique général, qui pourrait entraîner un fléchissement de la gloutonnerie pour l'or noir, le bloc ayant adopté la monnaie unique étant responsable, d'après British Petroleum, de près de 12% de la consommation mondiale en 2010.
Les résultats des élections grecques du 6 mai ont entraîné une descente rapide, remettant en question non seulement le plan de sauvetage international du pays, mais aussi son appartenance au bloc euro.
Les pertes mensuelle totalisent près de 17%, et ont été les plus graves depuis décembre 2008.
L'augmentation supérieure aux attentes des réserves d'or noir américaines au cours de la semaine dernière a quand à elle forcé les acteurs du marché à reporter leur attention sur l'état de l'offre et de la demande.
Le département d'état à l'énergie américain a en effet déclaré dans son rapport hebdomadaire qu'elles avaient engrangé 2.2 millions de barils pour en totaliser 384.7 millions, atteignant ainsi leur volume le plus important depuis 1990, ramenant au premier plan l'idée d'une diminution de la voracité américaine.
Les Etats-Unis demeurent le premier consommateur au monde avec près des 22% des besoins planétaires.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juillet ont fléchi jusqu'à 98.75 USD du baril dans le même temps, après avoir touché le fond à 97.56 USD en début de journée, leur plus faible valeur depuis le 8 février 2011.
Elles ont laissé échapper 7.65% en cours de semaine, pour se retrouver à 15.47 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur cours ont dévalé de 17.5% en un mois, leur effondrement le plus rapide depuis mai 2008, avec près de 23% de moins depuis leur sommet à 128.38 établi le premier mars.
L'éventualité d'une absence des fournitures iraniennes avait contribué la tirer les prix vers le haut en fin d'année dernière et sur le premier trimestre 2012.
Mais le renouveau des négociations entre l'Occident et la nation perse concernant le programe atomique de cette dernière, l'augmentation des débits saoudien et libyen, ainsi que les signes de ralentissement de la croissance et des embauches des Etats-Unis ont contribué à les faire retomber de leurs sommets des trois premiers mois de l'année.
Les observateurs auront la semaine prochaine les yeux rivés la décision de mercredi portant sur les taux d'intérêt de la part de la Banque Centrale Européenne.
Il ne faudra pas non plus négliger le rapport sur les perspectives économiques rendu jeudi par Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, qui pourrait receler des indices sur la volonté de cette dernière de procéder à de nouveaux apports de liquidités.