Investing.com - Les options sur le brut étaient en léger recul ce vendredi, le large renforcement du dollar U.S. et la crainte d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro les aient mises sur la sellette éclipsant la bonne surprise de l'emploi des américain et les tensions entre l'Iran et l'Occident.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 101.9 USD le baril à la clôture des échanges de fin de semaine, engrangent tout de même 2.95% au cours de celle-ci.
Ce fléchissement est survenu alors que le billet vert se trouvait ragaillardi par le département d'état américain au travail, révélant en effet que 200 000 emplois hors agriculture avaient été créés en décembre, contre 100 000 révisés à la baisse le mois précédent, dépassant largement les 150 000 attendus, le taux de chômage descendant à 8.5%, son niveau le plus bas depuis février 2009.
Un tel résultat aurait normalement dû tirer les prix vers le haut, mais il a cette fois-ci augmenté la popularité de l'étalon américain, qui évolue en raison inverse de l'or noir.
L'euro a plongé dans une ornière des 16 derniers contre le billet vers, l'indice dollar se trouvant ppropulsé à 81.61 en fin de semaine, son niveau le plus élevé depuis septembre 2010.
La peur d'une fragilisation de la finance de la européenne se précisait après qu'il ait été montré jeudi que les dépôts au jour le jour auprès de la Banque Centrale Européenne avaient établi un nouveau record à 455 milliards d'euros, laissant à penser que les établissements financiers régionaux étaient peu enclins à établir des prêts mutuels.
La France avait écoulé jeudi pour 4.02 milliards d'euros d'obligations lors d'enchères ayant rencontré une demande ferme, mais à des taux en hausse, au lendemain d'une autre vente ayant vu l'Allemagne rassembler peu d'enhtousiasme en émettant des bons du trésor à dix ans.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
La zone euro était, d'après les informations de British Petroleum, responsable de près de 16% de la consommation d'or noir mondiale en 2010.
Les cours ont bondi jusqu'à 103.73 USD du baril ce jour-là, leur plus haut niveau depuis le 11 mai, les tensions entre l'Iran et les Etats-Unis donnant des signes d'aggravement après que le chef des forces armées iraniennes ait prévenu les autorités américaines de ne pas envoyer à nouveau des navires de guerre dans le Golfe Persique.
Celles-ci ont fait peu de cas de cet avertissement, affirmant que les mouvements navals de routine se dérouleraient comme prévu.
Le brut a flambé lors des dernières sessions en raison de l'angoisse que la république ne mette à exécution sa promesse de couper l'accès stratégique au Détroit d'Ormuz, un goulet d'étranglement reliant les pays pétrolifères du golfe au reste du monde, en cas de sanctions.
La zone euro a, d'après une source diplomatique, pour sa part accepté le principe d'un embargo sur le pétrole iranien, mais les détails de son application demeurent flous.
L'Iran demeure le quatrième extracteur d'or noir du monde, avec près de 5% du pétrole mondial en 2010.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont gagné 5.5% pour grimper à 113.48 USD du baril dans le même temps, soit 11.58 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les investisseurs guetteront pour la semaine à venir la rencontre lundi entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, à la recherche de tout signe indiquant une évolution dans la résolution du problème du surendettement qui affecte la région depuis deux ans.
Ils surveilleront aussi les tensions entre l'Iran et les Etats-Unis, après que l'agence de presse d'état iranienne Fars air fait savoir ce dimanche que le corps des gardes révolutionnaires du pays procèderait le mois prochain à des manoeuvres dans le Golfe Persique et le Détroit d'Ormuz.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 101.9 USD le baril à la clôture des échanges de fin de semaine, engrangent tout de même 2.95% au cours de celle-ci.
Ce fléchissement est survenu alors que le billet vert se trouvait ragaillardi par le département d'état américain au travail, révélant en effet que 200 000 emplois hors agriculture avaient été créés en décembre, contre 100 000 révisés à la baisse le mois précédent, dépassant largement les 150 000 attendus, le taux de chômage descendant à 8.5%, son niveau le plus bas depuis février 2009.
Un tel résultat aurait normalement dû tirer les prix vers le haut, mais il a cette fois-ci augmenté la popularité de l'étalon américain, qui évolue en raison inverse de l'or noir.
L'euro a plongé dans une ornière des 16 derniers contre le billet vers, l'indice dollar se trouvant ppropulsé à 81.61 en fin de semaine, son niveau le plus élevé depuis septembre 2010.
La peur d'une fragilisation de la finance de la européenne se précisait après qu'il ait été montré jeudi que les dépôts au jour le jour auprès de la Banque Centrale Européenne avaient établi un nouveau record à 455 milliards d'euros, laissant à penser que les établissements financiers régionaux étaient peu enclins à établir des prêts mutuels.
La France avait écoulé jeudi pour 4.02 milliards d'euros d'obligations lors d'enchères ayant rencontré une demande ferme, mais à des taux en hausse, au lendemain d'une autre vente ayant vu l'Allemagne rassembler peu d'enhtousiasme en émettant des bons du trésor à dix ans.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
La zone euro était, d'après les informations de British Petroleum, responsable de près de 16% de la consommation d'or noir mondiale en 2010.
Les cours ont bondi jusqu'à 103.73 USD du baril ce jour-là, leur plus haut niveau depuis le 11 mai, les tensions entre l'Iran et les Etats-Unis donnant des signes d'aggravement après que le chef des forces armées iraniennes ait prévenu les autorités américaines de ne pas envoyer à nouveau des navires de guerre dans le Golfe Persique.
Celles-ci ont fait peu de cas de cet avertissement, affirmant que les mouvements navals de routine se dérouleraient comme prévu.
Le brut a flambé lors des dernières sessions en raison de l'angoisse que la république ne mette à exécution sa promesse de couper l'accès stratégique au Détroit d'Ormuz, un goulet d'étranglement reliant les pays pétrolifères du golfe au reste du monde, en cas de sanctions.
La zone euro a, d'après une source diplomatique, pour sa part accepté le principe d'un embargo sur le pétrole iranien, mais les détails de son application demeurent flous.
L'Iran demeure le quatrième extracteur d'or noir du monde, avec près de 5% du pétrole mondial en 2010.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont gagné 5.5% pour grimper à 113.48 USD du baril dans le même temps, soit 11.58 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Les investisseurs guetteront pour la semaine à venir la rencontre lundi entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, à la recherche de tout signe indiquant une évolution dans la résolution du problème du surendettement qui affecte la région depuis deux ans.
Ils surveilleront aussi les tensions entre l'Iran et les Etats-Unis, après que l'agence de presse d'état iranienne Fars air fait savoir ce dimanche que le corps des gardes révolutionnaires du pays procèderait le mois prochain à des manoeuvres dans le Golfe Persique et le Détroit d'Ormuz.