Investing.com - Les options sur l'or étaient en forme ce lundi, s'élevant vers un pic des quatre derniers journées de cotation, les observateurs tirant des leçons du marché des changes sur fond de craintes concernant les problèmes de dette de la zone euro.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 583.15 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0.76%.
Ils avaient précédement culminé à 1 585.65 USD, leur meilleur cours depuis le 22 mai, avec 0.95% d'augmentation.
Leurs chances étaient fortes de trouver du soutien à 1 533.25 USD, leur plancher du 23 mai, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 594.35, leur plafond déjà évoqué.
Ils continuaient à refléter les mouvements du marché des changes, suivant la monnaie unique à la trace, restant davantage sensibles à l'évolution de la parité euro/dollar qu'à l'augmentation de la frilosité, qui est habituellement le moteur de leur ascension.
La devise européenne a en effet retrouvé des couleurs après que les sondages politiques grecs aient placé le parti de la Nouvelle Démocratie, favorable au plan de secours, en tête pour les élections législatives du mois prochain.
Les probabilités d'un départ de la Grèce hors de la zone euro ont augmenté depuis le début du mois, quand les formations opposées aux politiques d'austérité découlant du programme de sauvetage ont privé les autres de la majorité absolue lors du scrutin.
L'euro s'est extirpé de son plancher des 22 derniers mois contre l'étalon américain établi la semaine passée, tandis que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 0.65% de son côté pour se situer à 81.99 alors qu'il avait atteint vendredi son plus hhaut niveau depuis septembre 2010.
Mais sa friabilité demeurait grande malgré cette bouffée d'oxygène, en raison des nuages s'amoncelant au-dessus de la santé fiscale espagnole.
L'agence Standard & Poor's a revu vendredi à la baisse ses notations de cinq banques du pays, et affirmé penser que le pays entrait dans une récession à double tranchant.
Le président de la Catalogne, la province autonome la plus riche du pays, n'a pas non plus contribué à enjouer l'atmosphère en avouant que les options concernant le refinancement des 13 milliards d'euros dûs cette année étaient peu nombreuses.
Une source gouvernementale a par ailleurs ajouté dimanche que Madrid comptait renflouer Bankia, un des plus gros établissements bancaires nationaux, ayant demandé 19 milliards d'euros de capitaux la semaine dernière.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur refuge, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'influence positive sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de la monnaie des Etats-Unis lui ont plutôt nui, évoluant dans les pas des actifs risqués depuis son pic historique à 1 920 USD de septembre dernier.
Il a ainsi perdu son attrait en tant que refuge par rapport au dollar U.S. mais aussi aux bons du trésor américains et allemands, le renforcement du billet vert ayant tendance à le rendre moins avantageux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs rebondi de 0.9% pour grimper à 28.63 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 1.2% pour se retrouver à 3.49 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 583.15 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0.76%.
Ils avaient précédement culminé à 1 585.65 USD, leur meilleur cours depuis le 22 mai, avec 0.95% d'augmentation.
Leurs chances étaient fortes de trouver du soutien à 1 533.25 USD, leur plancher du 23 mai, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 594.35, leur plafond déjà évoqué.
Ils continuaient à refléter les mouvements du marché des changes, suivant la monnaie unique à la trace, restant davantage sensibles à l'évolution de la parité euro/dollar qu'à l'augmentation de la frilosité, qui est habituellement le moteur de leur ascension.
La devise européenne a en effet retrouvé des couleurs après que les sondages politiques grecs aient placé le parti de la Nouvelle Démocratie, favorable au plan de secours, en tête pour les élections législatives du mois prochain.
Les probabilités d'un départ de la Grèce hors de la zone euro ont augmenté depuis le début du mois, quand les formations opposées aux politiques d'austérité découlant du programme de sauvetage ont privé les autres de la majorité absolue lors du scrutin.
L'euro s'est extirpé de son plancher des 22 derniers mois contre l'étalon américain établi la semaine passée, tandis que l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait de 0.65% de son côté pour se situer à 81.99 alors qu'il avait atteint vendredi son plus hhaut niveau depuis septembre 2010.
Mais sa friabilité demeurait grande malgré cette bouffée d'oxygène, en raison des nuages s'amoncelant au-dessus de la santé fiscale espagnole.
L'agence Standard & Poor's a revu vendredi à la baisse ses notations de cinq banques du pays, et affirmé penser que le pays entrait dans une récession à double tranchant.
Le président de la Catalogne, la province autonome la plus riche du pays, n'a pas non plus contribué à enjouer l'atmosphère en avouant que les options concernant le refinancement des 13 milliards d'euros dûs cette année étaient peu nombreuses.
Une source gouvernementale a par ailleurs ajouté dimanche que Madrid comptait renflouer Bankia, un des plus gros établissements bancaires nationaux, ayant demandé 19 milliards d'euros de capitaux la semaine dernière.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur refuge, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'influence positive sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de la monnaie des Etats-Unis lui ont plutôt nui, évoluant dans les pas des actifs risqués depuis son pic historique à 1 920 USD de septembre dernier.
Il a ainsi perdu son attrait en tant que refuge par rapport au dollar U.S. mais aussi aux bons du trésor américains et allemands, le renforcement du billet vert ayant tendance à le rendre moins avantageux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs rebondi de 0.9% pour grimper à 28.63 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 1.2% pour se retrouver à 3.49 USD la livre dans le même temps.