Investing.com - Les options sur l'or étaient en forme pour la troisième fois consécutive ce lundi, poursuivant sur la lancée de la fin de semaine écoulée pour toucher une pic des sept derniers jours, bien que l'engagement à encourager le maintien dans la Grèce dans la zone euro pris suite à la réunion du G8 à la fin de la semaine n'ait pas réussi à apaiser les craintes des investisseurs.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 597.35 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.35%.
Ils avaient précédement culminé à 1 598.95 USD, leur meilleur cours depuis le 10 mai, avec 0.5% d'augmentation, après avoir touché le fond le 16 à 1 526.95 USD, leur plus bas niveau depuis le 29 décembre 2011.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 526.95, leur plancher en question, et de rencontrer de la résistance à 1 639.05, leur plafond du 8 mai.
La rencontre de fin de semaine à Washington D.C. du groupe des 8 pays les plus développés du monde a en effet vu ces derniers exprimer leur désir de voir la nation hellène demeurer membre du bloc euro, mais les opérateurs demeuraient nerveux car aucune solution claire à la crise de la dette de la zone euro n'y a été dévoilée.
Le moral restait friable alors que le pays, perclus de dettes, doit organiser de nouvelles élections pour le 17 juin, celles-ci ayant toutes les chances de se révéler déterminantes pour son futur au sein de la région.
La première rencontre entre Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, et son nouvel homologue français Pierre Moscovici, devant se dérouler en cours de journée à Berlin, était elle aussi très attendue, les chefs de l'Union Européenne se préparant pour leur sommet du 23 à Bruxelles.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur refuge, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'influence positive sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de la monnaie des Etats-Unis lui ont plutôt nui, évoluant ces derniers mois dans les pas des actifs risqués.
Les cours avaient été mis à mal en début de semaine dernière, plongeant mercredi jusqu'à leur plus bas nivveau depuis le début de l'année, les rumeurs portant sur une possible sortie grecque hors du bloc euro ayant enflé suite à l'échec des négociations visant à former un gouvernement de coalition à Athènes.
Mais les deux dernières sessions les ont vus reprendre de la vigueur, rebondissant de près de 3.2% pour enregistrer leur plus forte ascension en deux jours depuis octobre, la faiblesse des prix attirant de nouveau les acheteurs en quête de bonnes affaires.
Les analystes estiment qu'ils ont toutefois des chances de rencontrer de la résistance si ils tentent de passer la barre des 1 630 USD au cours des prochaines sessions, les craintes découlant des problèmes de dette européens ayant toutes les chances de pousser les investisseurs à se réfugier au sein du giron relativement sûr du billet vert, au détriment du métal jaune.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs glissé de 0.4% pour chuter à 28.6 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 1% pour se retrouver à 3.503 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 597.35 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.35%.
Ils avaient précédement culminé à 1 598.95 USD, leur meilleur cours depuis le 10 mai, avec 0.5% d'augmentation, après avoir touché le fond le 16 à 1 526.95 USD, leur plus bas niveau depuis le 29 décembre 2011.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 526.95, leur plancher en question, et de rencontrer de la résistance à 1 639.05, leur plafond du 8 mai.
La rencontre de fin de semaine à Washington D.C. du groupe des 8 pays les plus développés du monde a en effet vu ces derniers exprimer leur désir de voir la nation hellène demeurer membre du bloc euro, mais les opérateurs demeuraient nerveux car aucune solution claire à la crise de la dette de la zone euro n'y a été dévoilée.
Le moral restait friable alors que le pays, perclus de dettes, doit organiser de nouvelles élections pour le 17 juin, celles-ci ayant toutes les chances de se révéler déterminantes pour son futur au sein de la région.
La première rencontre entre Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, et son nouvel homologue français Pierre Moscovici, devant se dérouler en cours de journée à Berlin, était elle aussi très attendue, les chefs de l'Union Européenne se préparant pour leur sommet du 23 à Bruxelles.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur refuge, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'influence positive sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de la monnaie des Etats-Unis lui ont plutôt nui, évoluant ces derniers mois dans les pas des actifs risqués.
Les cours avaient été mis à mal en début de semaine dernière, plongeant mercredi jusqu'à leur plus bas nivveau depuis le début de l'année, les rumeurs portant sur une possible sortie grecque hors du bloc euro ayant enflé suite à l'échec des négociations visant à former un gouvernement de coalition à Athènes.
Mais les deux dernières sessions les ont vus reprendre de la vigueur, rebondissant de près de 3.2% pour enregistrer leur plus forte ascension en deux jours depuis octobre, la faiblesse des prix attirant de nouveau les acheteurs en quête de bonnes affaires.
Les analystes estiment qu'ils ont toutefois des chances de rencontrer de la résistance si ils tentent de passer la barre des 1 630 USD au cours des prochaines sessions, les craintes découlant des problèmes de dette européens ayant toutes les chances de pousser les investisseurs à se réfugier au sein du giron relativement sûr du billet vert, au détriment du métal jaune.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs glissé de 0.4% pour chuter à 28.6 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 1% pour se retrouver à 3.503 USD la livre dans le même temps.