A l'image du DAX de Francfort qui s'adjuge 0,6%, les indices actions européens affichent en majorité de nouveaux gains cet après-midi, sur fond de vigueur des cours du pétrole et de données américaines de bonne facture.
'Le cours du Brent a dépassé les 50 dollars le baril', souligne Wells Fargo Advisors qui pointe aussi un recul des inscriptions aux allocations chômage aux Etats-Unis, de 10.000 pour s'établir à 268.000 la semaine dernière.
Surtout, les commandes de biens durables ont grimpé de 3,4% le mois dernier, là où le consensus n'anticipait qu'une progression de 0,3%, sous l'effet notamment de la vigueur des commandes d'équipements de transport.
Par ailleurs, les promesses de ventes de logements ont augmenté de 5,1% aux Etats-Unis en avril, alors que les économistes n'attendaient en moyenne qu'une hausse de moins de 1%.
'Les plus de 14 millions d'emplois créés depuis 2010 et la perspective de loyers et de taux hypothécaires plus élevés semblent amener davantage d'acquéreurs potentiels sur le marché', explique Lawrence Yun, économiste au NAR (National Association of Realtors).
Le FTSE de Londres cède 0,1% avec notamment un retrait de 2,1% de Marks & Spencer, plombé par une dégradation de recommandation chez Jefferies de 'conserver' à 'sous-performance' sur le groupe de distribution.
Le CAC40 prend 0,7% à Paris, avec le soutien notamment de valeurs bancaires comme Crédit Agricole (PA:CAGR) (+1,3%) et automobiles comme Renault (PA:RENA) et Groupe PSA (PA:PEUP) (+1,8% chacun).
A Amsterdam où l'AEX avance de 0,2%, NN Group plonge de 7,5% dans le sillage de son bénéfice net trimestriel, alors que le sidérurgiste ArcelorMittal (AS:ISPA) signe un gain symétrique.
Le Bel20 de Bruxelles gagne quant à lui 0,5%, entrainé par le métallurgiste Bekaert (+2,6%), le chimiste Umicore (+1,9%) et l'opérateur télécoms Proximus (+1,8%).
Enfin, l'indice PSI de Lisbonne progresse de 0,2% malgré les poids des banques BCP (-3,3%) et BPI (-0,5%), ainsi que de la compagnie pétro-gazière Galp Energia (LS:GALP) (-0,6%).
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'Le cours du Brent a dépassé les 50 dollars le baril', souligne Wells Fargo Advisors qui pointe aussi un recul des inscriptions aux allocations chômage aux Etats-Unis, de 10.000 pour s'établir à 268.000 la semaine dernière.
Surtout, les commandes de biens durables ont grimpé de 3,4% le mois dernier, là où le consensus n'anticipait qu'une progression de 0,3%, sous l'effet notamment de la vigueur des commandes d'équipements de transport.
Par ailleurs, les promesses de ventes de logements ont augmenté de 5,1% aux Etats-Unis en avril, alors que les économistes n'attendaient en moyenne qu'une hausse de moins de 1%.
'Les plus de 14 millions d'emplois créés depuis 2010 et la perspective de loyers et de taux hypothécaires plus élevés semblent amener davantage d'acquéreurs potentiels sur le marché', explique Lawrence Yun, économiste au NAR (National Association of Realtors).
Le FTSE de Londres cède 0,1% avec notamment un retrait de 2,1% de Marks & Spencer, plombé par une dégradation de recommandation chez Jefferies de 'conserver' à 'sous-performance' sur le groupe de distribution.
Le CAC40 prend 0,7% à Paris, avec le soutien notamment de valeurs bancaires comme Crédit Agricole (PA:CAGR) (+1,3%) et automobiles comme Renault (PA:RENA) et Groupe PSA (PA:PEUP) (+1,8% chacun).
A Amsterdam où l'AEX avance de 0,2%, NN Group plonge de 7,5% dans le sillage de son bénéfice net trimestriel, alors que le sidérurgiste ArcelorMittal (AS:ISPA) signe un gain symétrique.
Le Bel20 de Bruxelles gagne quant à lui 0,5%, entrainé par le métallurgiste Bekaert (+2,6%), le chimiste Umicore (+1,9%) et l'opérateur télécoms Proximus (+1,8%).
Enfin, l'indice PSI de Lisbonne progresse de 0,2% malgré les poids des banques BCP (-3,3%) et BPI (-0,5%), ainsi que de la compagnie pétro-gazière Galp Energia (LS:GALP) (-0,6%).
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