Futures Pros - Les options sur le pétrole brut étaient à la hausse ce jeudi, atteignant un nouveau pic journalier, leurs prix ayant été soutenus par l'affaiblissement du dollar, mais retant limités par la crainte d'une offre trop importante.
Sur le marché des matières premières de New York, les contrats pour du brut à échéance en décembre sont montés à 82.17 USD le baril en première partie de séance européenne, prenant 0.23%, alors qu'ils avaient précédemment culminé à 82.29 USD du baril.
Les cours ont été stimulés par la redescente des pics de la semaine du dollar U.S. contre la plupart de ses concurrents, les marchés ayant réévalué leurs attentes concernant les assouplissements monétaires de la Réserve Fédérale des Etats-Unis en attendant la réunion, début novembre, de son comité directeur.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a perdu 0.63% dans le même temps. Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à voir leurs prix augmenter quand ce dernier baisse, parce qu'il les rend moins coûteux aux détenteurs d'autres devises.
Un article de la banque internationale Commerzbank a de son côté annoncé que les cours du brut "resteront au-dessus des 80 USD le baril jusqu'à la réunion de la Fed, des résultats de laquelle dépendront leur évolution postérieure".
La hausse est toutefois restée limitée par crainte d'une offre pléthorique, l'agence d'information américaine sur l'énergie ayant annoncé mercredi dans une étude que les réserves de pétrole brut du pays avaient augmenté de 5 millions de barils au cours de la semaine achevée le 22 octobre. Les Etats-Unis restent le plus gros consommateur de pétrole du monde.
Les options pour du gaz naturel à livrer en décembre ont par contre perdu 0.48% pour se retrouver à 3.765 USD par million d'unités thermiques britanniques en début de séance.
Sur le marché des matières premières de New York, les contrats pour du brut à échéance en décembre sont montés à 82.17 USD le baril en première partie de séance européenne, prenant 0.23%, alors qu'ils avaient précédemment culminé à 82.29 USD du baril.
Les cours ont été stimulés par la redescente des pics de la semaine du dollar U.S. contre la plupart de ses concurrents, les marchés ayant réévalué leurs attentes concernant les assouplissements monétaires de la Réserve Fédérale des Etats-Unis en attendant la réunion, début novembre, de son comité directeur.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a perdu 0.63% dans le même temps. Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à voir leurs prix augmenter quand ce dernier baisse, parce qu'il les rend moins coûteux aux détenteurs d'autres devises.
Un article de la banque internationale Commerzbank a de son côté annoncé que les cours du brut "resteront au-dessus des 80 USD le baril jusqu'à la réunion de la Fed, des résultats de laquelle dépendront leur évolution postérieure".
La hausse est toutefois restée limitée par crainte d'une offre pléthorique, l'agence d'information américaine sur l'énergie ayant annoncé mercredi dans une étude que les réserves de pétrole brut du pays avaient augmenté de 5 millions de barils au cours de la semaine achevée le 22 octobre. Les Etats-Unis restent le plus gros consommateur de pétrole du monde.
Les options pour du gaz naturel à livrer en décembre ont par contre perdu 0.48% pour se retrouver à 3.765 USD par million d'unités thermiques britanniques en début de séance.