Investing.com - Le dollar U.S. a gardé la forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, la combinaison des inquiétudes à propos de la crise de la dette souveraine de la zone euro avec le renouveau des craintes concernant les perspectives de croissance économique mondiales mettant à mal le goût pour le risque.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.74% pour tomber à 1.4403.
La popularité de la monnaie unique avait été écornée par l'opposition parlementaire rencontrée par Angela Merkel, la chancelière allemande, désirant étendre les pouvoirs du fonds de secours régional du Mécanisme Européen de Stabilisation Financière.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.67% pour chuter à 1.6296.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que les prêts nets aux particuliers de Grande-Bretagne avait moins augmenté en juillet que prévu, tandis que le nombre des accords de prêts hypothécaires s'élevait conformément aux attentes.
Le yen lui a toutefois imposé sa pression, mais le franc suisse se trouvait en difficulté, l'USD/JPY glissant de 0.06% pour descendre à 76.77 et l'USD/CHF s'élevant de 0.61% pour grimper à 0.8207.
Une étude avait montré ce matin que l'indice de consommation UBS de la Suisse avait baissé en juillet à son plus bas niveau depuis décembre 2009.
Au Japon, des chiffres officiels avaient montré dansla matinée que le chômage avait augmenté pour le second mois d'affilée, et une autre étude que les ventes au détail avaient moins progressé en juillet que prévu.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.18% pour monter à 0.9787, l'AUD/USD cédant 0.13% pour se retrouver à 1.0641 et le NZD/USD arrachant 0.27% pour culminer à 0.8482.
Des informations émanant des autorités néo-zélandaises signalaient en début de journée que le nombre des permis de construre qu'elles avaient accordés en juillet avait connu sa plus importante flambée depuis avril 2008, avec 0.13% d'amélioration.
Une rapport gouvernemental australien a quand à lui fait savoir que ce nombre avait connu sur la même période sa preière embellie en quatre mois, engrangeant 1%, mais restant cependant nettement inférieur aux 2.1% espérés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a encaissé 0.59% pour se hisser à 74.19.
Les Etats-Unis dévoileront dans l'après-midi des informations sur la confiance de leurs consommateurs, tandis que les spécialistes de l'immobilier annonceront l'inflation des prix des habitations, et que le comité fédéral des marchés ouverts publiera de son côté le compte-rendu détaillé de sa réunion d'orientation politique d'août.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.74% pour tomber à 1.4403.
La popularité de la monnaie unique avait été écornée par l'opposition parlementaire rencontrée par Angela Merkel, la chancelière allemande, désirant étendre les pouvoirs du fonds de secours régional du Mécanisme Européen de Stabilisation Financière.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.67% pour chuter à 1.6296.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que les prêts nets aux particuliers de Grande-Bretagne avait moins augmenté en juillet que prévu, tandis que le nombre des accords de prêts hypothécaires s'élevait conformément aux attentes.
Le yen lui a toutefois imposé sa pression, mais le franc suisse se trouvait en difficulté, l'USD/JPY glissant de 0.06% pour descendre à 76.77 et l'USD/CHF s'élevant de 0.61% pour grimper à 0.8207.
Une étude avait montré ce matin que l'indice de consommation UBS de la Suisse avait baissé en juillet à son plus bas niveau depuis décembre 2009.
Au Japon, des chiffres officiels avaient montré dansla matinée que le chômage avait augmenté pour le second mois d'affilée, et une autre étude que les ventes au détail avaient moins progressé en juillet que prévu.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.18% pour monter à 0.9787, l'AUD/USD cédant 0.13% pour se retrouver à 1.0641 et le NZD/USD arrachant 0.27% pour culminer à 0.8482.
Des informations émanant des autorités néo-zélandaises signalaient en début de journée que le nombre des permis de construre qu'elles avaient accordés en juillet avait connu sa plus importante flambée depuis avril 2008, avec 0.13% d'amélioration.
Une rapport gouvernemental australien a quand à lui fait savoir que ce nombre avait connu sur la même période sa preière embellie en quatre mois, engrangeant 1%, mais restant cependant nettement inférieur aux 2.1% espérés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a encaissé 0.59% pour se hisser à 74.19.
Les Etats-Unis dévoileront dans l'après-midi des informations sur la confiance de leurs consommateurs, tandis que les spécialistes de l'immobilier annonceront l'inflation des prix des habitations, et que le comité fédéral des marchés ouverts publiera de son côté le compte-rendu détaillé de sa réunion d'orientation politique d'août.