Investing.com - L'euro est retombé de son pic mensuel face à la livre sterling ce mardi, sur fond d'angoisse espagnoles grandissantes, après que les résultat économiques médiocres de la zone euro aient ravivé les craintes liées à la crise de la dette souveraine de la région.
La paire EUR/GBP est redescendue depuis 0.8141, son cours le plus élevé depuis le 3 mai, jusqu'à 0.8102 en première partie de séance européenne, perdant 0.26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8066, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 0.814, son plafond du jour.
La monnaie unique a vu fondre son avance après que Cristobal Montoro, ministre du trésor espagnol, ait avoué que les marchés financiers étaient actuellement inaccessibles au pays, en raison du haut niveau des taux lui étant imposés.
Ces propos ont ravivé l'angoisse que Madrid se retrouve à devoir recourir à une bouée de sauvetage internationale afin de renflouer une système bancaire friable.
Des informations révisées montraient pour leur part que le domaine des services du bloc euro avait subi un mai une contraction légèrement inférieure aux prédictions, tout en demeurant la plus rapide depuis juin 2009.
L'indice de l'activité du secteur tertiaire de la région s'est ainsi situé à 46.7 pour mai, dépassant les 46.5 estimés au préalable, tout en restant inférieur au seuil crucial des 50 déparant régression et croissance.
Il était par ailleurs signalé que les ventes au détail de la zone euro avaient subi une plongée de 1% en avril, alors qu'il était espéré qu'elle se limite à 0.1%.
La devise européenne avait pourtant entamé la journée sur une bonne note, avec l'espoir d'une avancée dans la gestion de la crise de la dette de la zone euro dans l'optique de la téléconférence des ministres des finances du groupe des 7 pays les plus développés prévue aujourd'hui.
Elle a également cédé du terrain au dollar U.S. et au yen, l'EUR/USD cédant 0.52% pour chuter à 1.2432, et l'EUR/JPY laissant échapper 0.64% pour glisser à 97.28.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait rendre de son côté un rapport sur l'activité non manufacturière, tandis que les places boursières londoniennes demeureront quand à elles closes en l'honneur du jubilé de la reine.
La paire EUR/GBP est redescendue depuis 0.8141, son cours le plus élevé depuis le 3 mai, jusqu'à 0.8102 en première partie de séance européenne, perdant 0.26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8066, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 0.814, son plafond du jour.
La monnaie unique a vu fondre son avance après que Cristobal Montoro, ministre du trésor espagnol, ait avoué que les marchés financiers étaient actuellement inaccessibles au pays, en raison du haut niveau des taux lui étant imposés.
Ces propos ont ravivé l'angoisse que Madrid se retrouve à devoir recourir à une bouée de sauvetage internationale afin de renflouer une système bancaire friable.
Des informations révisées montraient pour leur part que le domaine des services du bloc euro avait subi un mai une contraction légèrement inférieure aux prédictions, tout en demeurant la plus rapide depuis juin 2009.
L'indice de l'activité du secteur tertiaire de la région s'est ainsi situé à 46.7 pour mai, dépassant les 46.5 estimés au préalable, tout en restant inférieur au seuil crucial des 50 déparant régression et croissance.
Il était par ailleurs signalé que les ventes au détail de la zone euro avaient subi une plongée de 1% en avril, alors qu'il était espéré qu'elle se limite à 0.1%.
La devise européenne avait pourtant entamé la journée sur une bonne note, avec l'espoir d'une avancée dans la gestion de la crise de la dette de la zone euro dans l'optique de la téléconférence des ministres des finances du groupe des 7 pays les plus développés prévue aujourd'hui.
Elle a également cédé du terrain au dollar U.S. et au yen, l'EUR/USD cédant 0.52% pour chuter à 1.2432, et l'EUR/JPY laissant échapper 0.64% pour glisser à 97.28.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait rendre de son côté un rapport sur l'activité non manufacturière, tandis que les places boursières londoniennes demeureront quand à elles closes en l'honneur du jubilé de la reine.