Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce jeudi, le moral étant retombé après que le compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve Fédérale ait étouffé l'espoir de nouveaux assouplissements dans un futur proche.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.25%, le CAC 40 français de 0.06%, et le DAX 30 allemand de 0.21%.
Il a en effet été signalé dans le procès-verbal de son conseil d'orientation de juin qu'une poursuite de la perte de vitesse économique rendrait ses membres davantage enclins à prendre des mesures destinées à donner un coup de fouet à la croissance.
Bien que certains d'entre eux aient déjà estimé qu'il était nécessaire de procéder à des assouplissements afin de remplir les objectifs de plein emploi et de stabilité des prix, d'autres estimaient que ceux-ci n'étaient justifiés qu'en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou si l'inflation devait chuter "durablement" au-dessous de la valeur visée.
Le goût pour le risque se traouvait quand à lui étouffé, après que Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, ait annoncé hier 65 milliards d'euros de coupes budgétaires, dans l'espoir de remplir les objectifs de réduction des déficits approuvés par ses partenaires régionaux.
Les analystes ont toutefois averti que celles-ci avaient de grandes chances de plonger l'économie du pays dans une récession encore plus profonde.
L'éditeur de logiciels Temenos se trouvait parmi les lanternes rouges, s'effondrant de 19.76% après avoir revu à la baisse ses prévisions de recettes pour 2012, tandiss que Guy Dubois, son directeur général, devait laisser sa place pour raisons personnelles à David Arnott, actuellement directeur financier.
Les télécommunications n'étaient guère mieux loties, Telecom Italia s'écroulant de 5.33%, suivi par Telefonica et France Télécom avec respectivement 2.13 et 1.06%.
Tout n'était cependant pas désespéré, les supermarchés Carrefour, basés en France, rebondissant de 4.39% après avoir déclaré en début de matinée que leurs revenus du second trimestre n'avaient diminué que de 0.3% pour se situer à 21.7 milliards d'euros, limitant nettement les dégâts par rapport aux prévisions.
La finance était par contre mitigée, les français BNP Paribas et Société Générale avançant de 0.7 et 0.06%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank reculaient de 0.53 et 0.48%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a laissé échapper 0.35%, tiré vers le bas par des miniers en difficulté.
Rio Tinto a ainsi dérapé de 2.28%, et BHP Billiton de 1.63%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys leur emboîtant le pas avec 1.5 et 0.28%.
Le secteur énergétique a aggravé la tendance, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American fondant de 1.95% et BP de 0.09%.
La City n'y a pas dérogé, HSBC Holdings fléchissant de 1.38%, et la Royal Bank of Scotland de 0.22%, Lloyds Banking et Barclays sauvant les meubles, ne cédant que 0.18 et 0.07%.
L'Aegis Group s'est par contre envolé de 45.46% après que la compagnie publicitaire Dentsu Inc. ait accepté de racheter la firme britannique pour une somme évaluée à 3.16 milliards de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.33%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.24%.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait quand à lui révéler dans l'après-midi le nombre des nouveaux inscrits au chômage et l'évolution des prix à l'importation.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.25%, le CAC 40 français de 0.06%, et le DAX 30 allemand de 0.21%.
Il a en effet été signalé dans le procès-verbal de son conseil d'orientation de juin qu'une poursuite de la perte de vitesse économique rendrait ses membres davantage enclins à prendre des mesures destinées à donner un coup de fouet à la croissance.
Bien que certains d'entre eux aient déjà estimé qu'il était nécessaire de procéder à des assouplissements afin de remplir les objectifs de plein emploi et de stabilité des prix, d'autres estimaient que ceux-ci n'étaient justifiés qu'en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou si l'inflation devait chuter "durablement" au-dessous de la valeur visée.
Le goût pour le risque se traouvait quand à lui étouffé, après que Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, ait annoncé hier 65 milliards d'euros de coupes budgétaires, dans l'espoir de remplir les objectifs de réduction des déficits approuvés par ses partenaires régionaux.
Les analystes ont toutefois averti que celles-ci avaient de grandes chances de plonger l'économie du pays dans une récession encore plus profonde.
L'éditeur de logiciels Temenos se trouvait parmi les lanternes rouges, s'effondrant de 19.76% après avoir revu à la baisse ses prévisions de recettes pour 2012, tandiss que Guy Dubois, son directeur général, devait laisser sa place pour raisons personnelles à David Arnott, actuellement directeur financier.
Les télécommunications n'étaient guère mieux loties, Telecom Italia s'écroulant de 5.33%, suivi par Telefonica et France Télécom avec respectivement 2.13 et 1.06%.
Tout n'était cependant pas désespéré, les supermarchés Carrefour, basés en France, rebondissant de 4.39% après avoir déclaré en début de matinée que leurs revenus du second trimestre n'avaient diminué que de 0.3% pour se situer à 21.7 milliards d'euros, limitant nettement les dégâts par rapport aux prévisions.
La finance était par contre mitigée, les français BNP Paribas et Société Générale avançant de 0.7 et 0.06%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank reculaient de 0.53 et 0.48%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a laissé échapper 0.35%, tiré vers le bas par des miniers en difficulté.
Rio Tinto a ainsi dérapé de 2.28%, et BHP Billiton de 1.63%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys leur emboîtant le pas avec 1.5 et 0.28%.
Le secteur énergétique a aggravé la tendance, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American fondant de 1.95% et BP de 0.09%.
La City n'y a pas dérogé, HSBC Holdings fléchissant de 1.38%, et la Royal Bank of Scotland de 0.22%, Lloyds Banking et Barclays sauvant les meubles, ne cédant que 0.18 et 0.07%.
L'Aegis Group s'est par contre envolé de 45.46% après que la compagnie publicitaire Dentsu Inc. ait accepté de racheter la firme britannique pour une somme évaluée à 3.16 milliards de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.33%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.32% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.24%.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait quand à lui révéler dans l'après-midi le nombre des nouveaux inscrits au chômage et l'évolution des prix à l'importation.