Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, alors que le compte-rendu de la dernière réunino de la Réserve Fédérale avait déçu l'attente de nouveaux assouplissements de sa part.
Cette tendance c'est accentuée, les investisseurs préférant sa sécurité relative face à la crainte de résultats qui devraient mettre en évidence un ralentissement aggrravé de l'activité économique chinoise.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.17% pour tomber à 1.2221.
La popularité de la monnaie unique restait fragilisée après que le bulletin mensuel de la Banque Centrale Européenne ait confirmé que les risques baissiers s'étaient traduits dans les faits, et que la croissance régionale demeurerait faible.
La nervosité était toujours de mise, après que Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, ait annoncé hier 65 milliards d'euros de coupes budgétaires, dans l'espoir de remplir les objectifs de réduction des déficits approuvés par ses partenaires régionaux.
Les analystes ont toutefois averti que celles-ci avaient de grandes chances de plonger l'économie du pays dans une récession encore plus profonde.
Le procès-verbal du conseil d'orientation de juin de la banque centrale américaine avait quand à lui fait savoir que seuls quelques-uns des membres du conseil directeur estimaient davantage d'achats d'actifs nécessaires.
Plusieurs autres estimaient pour leur part que des apports de capitaux supplémentaires pourraient être justifiés en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou de chute "durable" de l'inflation au-dessous de la valeur visée.
Ils n'ont été que quatre à mentionner davantage d'assouplissements quantitatifs dans leurs prévisions personnelles, dont deux clairement en leur faveur, et deux déclarant les envisager.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.25% pour chuter à 1.5464.
Il a par contre subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY cédant 0.53% pour se retrouver à 79.33 et l'USD/CHF grignotant 0.15% pour culminer à 0.9824.
La Banque du Japon n'a pas non plus procédé à de nouveaux accomodements, ayant toutefois légèrement modifié ses programmes d'achats d'actifs et de prêts après deux jours de réflexion.
Elle a cependant augmenté de 5 billions de JPY son programme d'achats d'actifs, pour le porter à 45 billions, réduisant du même montant son fonds destiné aux prêts, totalisant ainsi 25 billions.
Son taux d'intérêt directeur s'est trouvé maintenu sans surprise entre 0 et 0.1% et ses acquisitions d'obligations totalisaient encore 1.8 billinos de JPY.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.11% pour monter à 1.0216, l'AUD/USD cédant 0.93% pour se retrouver à 1.0156 et le NZD/USD se laissant arracher 0.84% pour toucher le fond à 0.7897.
La devise de l'Australie s'est retrouvée sur la sellette après que des chiffres officiels aient montré que le pays avait connu 27 000 destructions d'emplois le mois dernier, alors que 200 créations étaient espérées, après les 27 800 ayant eu lieu en mai.
Le taux de chômage national est quand à lui passé comme redouté de 5.1 vers 5.2% dans le même temps.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.1% pour se situer à 83.71.
La zone euro devait dévoiler dans l'après-midi les performances de sa production industrielle, et le gouvernement des Etats-Unis aire de même avec le nombre des nouveaux inscrits au chômage et l'évolution des prix à l'importation.
Les opérateurs surveilleront le produit intérieur brut chinois pour le second trimestre, devant être révélé demain, afin de savoir si la poussée expansionniste du pays va atterrir en douceur ou en catastrophe.
Une perte de vitesse aggravée de sa part pourrait mettre à mal une expansion économique générale déjà mise à mal par le problème du surendettement européen.
Cette tendance c'est accentuée, les investisseurs préférant sa sécurité relative face à la crainte de résultats qui devraient mettre en évidence un ralentissement aggrravé de l'activité économique chinoise.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.17% pour tomber à 1.2221.
La popularité de la monnaie unique restait fragilisée après que le bulletin mensuel de la Banque Centrale Européenne ait confirmé que les risques baissiers s'étaient traduits dans les faits, et que la croissance régionale demeurerait faible.
La nervosité était toujours de mise, après que Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, ait annoncé hier 65 milliards d'euros de coupes budgétaires, dans l'espoir de remplir les objectifs de réduction des déficits approuvés par ses partenaires régionaux.
Les analystes ont toutefois averti que celles-ci avaient de grandes chances de plonger l'économie du pays dans une récession encore plus profonde.
Le procès-verbal du conseil d'orientation de juin de la banque centrale américaine avait quand à lui fait savoir que seuls quelques-uns des membres du conseil directeur estimaient davantage d'achats d'actifs nécessaires.
Plusieurs autres estimaient pour leur part que des apports de capitaux supplémentaires pourraient être justifiés en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou de chute "durable" de l'inflation au-dessous de la valeur visée.
Ils n'ont été que quatre à mentionner davantage d'assouplissements quantitatifs dans leurs prévisions personnelles, dont deux clairement en leur faveur, et deux déclarant les envisager.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.25% pour chuter à 1.5464.
Il a par contre subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY cédant 0.53% pour se retrouver à 79.33 et l'USD/CHF grignotant 0.15% pour culminer à 0.9824.
La Banque du Japon n'a pas non plus procédé à de nouveaux accomodements, ayant toutefois légèrement modifié ses programmes d'achats d'actifs et de prêts après deux jours de réflexion.
Elle a cependant augmenté de 5 billions de JPY son programme d'achats d'actifs, pour le porter à 45 billions, réduisant du même montant son fonds destiné aux prêts, totalisant ainsi 25 billions.
Son taux d'intérêt directeur s'est trouvé maintenu sans surprise entre 0 et 0.1% et ses acquisitions d'obligations totalisaient encore 1.8 billinos de JPY.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.11% pour monter à 1.0216, l'AUD/USD cédant 0.93% pour se retrouver à 1.0156 et le NZD/USD se laissant arracher 0.84% pour toucher le fond à 0.7897.
La devise de l'Australie s'est retrouvée sur la sellette après que des chiffres officiels aient montré que le pays avait connu 27 000 destructions d'emplois le mois dernier, alors que 200 créations étaient espérées, après les 27 800 ayant eu lieu en mai.
Le taux de chômage national est quand à lui passé comme redouté de 5.1 vers 5.2% dans le même temps.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.1% pour se situer à 83.71.
La zone euro devait dévoiler dans l'après-midi les performances de sa production industrielle, et le gouvernement des Etats-Unis aire de même avec le nombre des nouveaux inscrits au chômage et l'évolution des prix à l'importation.
Les opérateurs surveilleront le produit intérieur brut chinois pour le second trimestre, devant être révélé demain, afin de savoir si la poussée expansionniste du pays va atterrir en douceur ou en catastrophe.
Une perte de vitesse aggravée de sa part pourrait mettre à mal une expansion économique générale déjà mise à mal par le problème du surendettement européen.