A mi-séance jeudi midi en Europe, le contrat sur le baril de Brent de mer du Nord livrable en avril prenait 0,8% à 69,5 dollars, le WTI américain d'échéance mars prenant 0,7% à 65,2 dollars.
Certes, certaines des statistiques pétrolières américaines de la veille étaient baissières : ainsi, les stocks de marché de pétrole brut, que le consensus pensait voir stagner, se sont finalement accrues de près de sept millions de barils en huit jours pour remonter à 418,3 millions de barils. Il s'agit de la première hausse constatée ces dix dernières semaines.
Soit, mais ces réserves de brut frôlaient les 500 millions d'unités un an plus tôt et elles restent en deçà du record récent proche de 534 millions de barils atteint fin mars 2017.
En outre, les stocks de produits raffinés, soit l'essence autant que les produits distillés (ce qui comprend le fuel domestique), se sont tous deux contractés plus que prévu, de l'ordre de deux millions de barils chacun. Un bon point quant à l'état de la demande finale.
Cela étant, on notera que la production pétrolière américaine a continué d'augmenter : + 41.000 barils/jour la semaine passée pour atteindre 9,919 millions de barils/jour, son nouveau plus haut niveau des 30 dernières années environ.
EG
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Certes, certaines des statistiques pétrolières américaines de la veille étaient baissières : ainsi, les stocks de marché de pétrole brut, que le consensus pensait voir stagner, se sont finalement accrues de près de sept millions de barils en huit jours pour remonter à 418,3 millions de barils. Il s'agit de la première hausse constatée ces dix dernières semaines.
Soit, mais ces réserves de brut frôlaient les 500 millions d'unités un an plus tôt et elles restent en deçà du record récent proche de 534 millions de barils atteint fin mars 2017.
En outre, les stocks de produits raffinés, soit l'essence autant que les produits distillés (ce qui comprend le fuel domestique), se sont tous deux contractés plus que prévu, de l'ordre de deux millions de barils chacun. Un bon point quant à l'état de la demande finale.
Cela étant, on notera que la production pétrolière américaine a continué d'augmenter : + 41.000 barils/jour la semaine passée pour atteindre 9,919 millions de barils/jour, son nouveau plus haut niveau des 30 dernières années environ.
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