Investing.com - Le dollar U.S. s'est hissé vers un pic de six mois par rapport au yen ce lundi matin, alors que les rumeurs de diminution des aides de la banque centrale des Etats-Unis refaisaient une fois de plus surface.
La paire USD/JPY est montée depuis 101,25 jusqu'à 101,86 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 29 mai, réalisant une avancée de 0,59%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 100,94, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 102,50, son plafond psychologique suivant.
Le billet vert gardait des partisans après que les décideurs de la Réserve Fédérale aient une nouvelle fois rappelé mercredi dans le compte-rendu détaillé de leur plus récente prise de cap que celle-ci pourrait réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels "dans les prochains mois" au cas où l'économie progresserait comme escompté.
La devise nippone subissait pour sa part l'hypothèse de plus en plus palpable d'assouplissements monétaires supplémentaires de le part de son émettrice au cours de l'année prochaine.
Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, a déclaré à l'aube que celle-ci s'en tiendrait à ses plans d'apports masifs de capitaux, mais demeurait cependant prête à prendre toutes les mesures nécessaires pour atteindre les 2% d'inflation visés.
L'euro a par ailleurs gagné du terrain sur son homologue nippone, l'USD/JPY grimpant de 0,52% pour se hisser de 137,28 vers 137,97.
La monnaie unique avait retrouvé des couleurs après que Benoît Coeure, membre du conseil de direction de la Banque Centrale Européenne, ait affirmé que les augmentations des prix du bloc où elle a cours avaient des chances de se prolonger à court terme, mais qu'il y avait peu de chances qu'une déflation s'installe, en raison des progrès de l'économie.
L'étalon américain en a tout de même profité pour prendre la main, l'EUR/USD trébuchant de 0,11% pour glisser des 1,3557 de vendredi à 1,3539.
La paire USD/JPY est montée depuis 101,25 jusqu'à 101,86 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 29 mai, réalisant une avancée de 0,59%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 100,94, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 102,50, son plafond psychologique suivant.
Le billet vert gardait des partisans après que les décideurs de la Réserve Fédérale aient une nouvelle fois rappelé mercredi dans le compte-rendu détaillé de leur plus récente prise de cap que celle-ci pourrait réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels "dans les prochains mois" au cas où l'économie progresserait comme escompté.
La devise nippone subissait pour sa part l'hypothèse de plus en plus palpable d'assouplissements monétaires supplémentaires de le part de son émettrice au cours de l'année prochaine.
Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, a déclaré à l'aube que celle-ci s'en tiendrait à ses plans d'apports masifs de capitaux, mais demeurait cependant prête à prendre toutes les mesures nécessaires pour atteindre les 2% d'inflation visés.
L'euro a par ailleurs gagné du terrain sur son homologue nippone, l'USD/JPY grimpant de 0,52% pour se hisser de 137,28 vers 137,97.
La monnaie unique avait retrouvé des couleurs après que Benoît Coeure, membre du conseil de direction de la Banque Centrale Européenne, ait affirmé que les augmentations des prix du bloc où elle a cours avaient des chances de se prolonger à court terme, mais qu'il y avait peu de chances qu'une déflation s'installe, en raison des progrès de l'économie.
L'étalon américain en a tout de même profité pour prendre la main, l'EUR/USD trébuchant de 0,11% pour glisser des 1,3557 de vendredi à 1,3539.