Investing.com - L'inflation des prix à la consommation en Grande-Bretagne a progressé en décembre de manière inattendue, bondissant d'après les chiffres officiels dévoilés ce mardi à son plus haut niveau depuis avril 2010.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a en effet indiqué que le taux d'inflation des prix à la consommation était monté à 3.7% ajustés saisonnièrement pour le mois, contre seulement 3.3% lors du précédent.
Les experts s'étaient attendus à le voir rester stable à 3.3% pour la période considérée.
Il s'est donc révélé nettement plus élevé que les 2% visés par la Banque d'Angleterre, forçant ainsi le gouverneur de cette dernière à écrire au chancelier de l'échiquier, chargé des finances du royaume, comme toujours lorsque l'inflation trimestrielle est différente de plus d'un point de l'objectif de la banque centrale.
Le document précisait également que l'inflation avait été principalement affectée par la hausse des prix de la nourriture et des boissons sans alcool, qui ont raflé 1.6%, ainsi que des carburants et lubrifiants, qui se sont envolés de 2.6%.
L'indice des prix à la consommation de base, excluant ceux de la nourriture, de l'énergie, de l'alcool et du tabac, a également connu dans le même temps une augmentation surprenante, se trouvant catapultés de 2.9% au lieu des 2.6% prédits pour décembre.
Suite à la diffusion de la nouvelle, la livre sterling a gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple GBP/USD engrangeant 1.01% pour culminer à 1.6049, son sommet des 8 dernières semaines.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 prenant 1.02%, le CAC 40 français 0.97%, le DAX allemand 0.82% et le FTSE 100 britannique 0.67%.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a en effet indiqué que le taux d'inflation des prix à la consommation était monté à 3.7% ajustés saisonnièrement pour le mois, contre seulement 3.3% lors du précédent.
Les experts s'étaient attendus à le voir rester stable à 3.3% pour la période considérée.
Il s'est donc révélé nettement plus élevé que les 2% visés par la Banque d'Angleterre, forçant ainsi le gouverneur de cette dernière à écrire au chancelier de l'échiquier, chargé des finances du royaume, comme toujours lorsque l'inflation trimestrielle est différente de plus d'un point de l'objectif de la banque centrale.
Le document précisait également que l'inflation avait été principalement affectée par la hausse des prix de la nourriture et des boissons sans alcool, qui ont raflé 1.6%, ainsi que des carburants et lubrifiants, qui se sont envolés de 2.6%.
L'indice des prix à la consommation de base, excluant ceux de la nourriture, de l'énergie, de l'alcool et du tabac, a également connu dans le même temps une augmentation surprenante, se trouvant catapultés de 2.9% au lieu des 2.6% prédits pour décembre.
Suite à la diffusion de la nouvelle, la livre sterling a gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple GBP/USD engrangeant 1.01% pour culminer à 1.6049, son sommet des 8 dernières semaines.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 prenant 1.02%, le CAC 40 français 0.97%, le DAX allemand 0.82% et le FTSE 100 britannique 0.67%.