Investing.com - Le dollar U.S. a laissé le yen prendre l'avantage ce mardi matin, ce dernier voyant son blason en tant que refuge redoré par l'effondrement des valeurs asiatiques dans l'angoisse d'un tarissement de la source chinoise.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 97,28 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 97,51, perdant 0,21%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 96,85, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 98,70, son plafond d'hier.
Les bourses de Tokyo et Shanghaï ont en effet conclu en en retrait, sur fond d'angoisse des observateurs au sujet de la stabilité financière de la Chine.
Le billet vert a aussi repris des couleurs après que des hauts responsables de son émettrice aient rappelé que la fin imminente de ses perfusions de capitaux n'était qu'une possibilité et non une certitude comme certains semblaient affirmer.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit érodé jusqu'à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Son homologue pour Dallas Richard Fisher a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Ces propos survenaient pourtant après que Ben Bernanke, président de la Fed, ait savamment attisé les rumeurs en affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La monnaie de l'archipel nippon a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/JPY trébuchant de 0,04% pour glisser à 128,15.
Les Etats-Unis comptent de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 97,28 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 97,51, perdant 0,21%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 96,85, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 98,70, son plafond d'hier.
Les bourses de Tokyo et Shanghaï ont en effet conclu en en retrait, sur fond d'angoisse des observateurs au sujet de la stabilité financière de la Chine.
Le billet vert a aussi repris des couleurs après que des hauts responsables de son émettrice aient rappelé que la fin imminente de ses perfusions de capitaux n'était qu'une possibilité et non une certitude comme certains semblaient affirmer.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a en effet confirmé que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit érodé jusqu'à un niveau bien plus bas que l'actuel.
Son homologue pour Dallas Richard Fisher a confirmé que l'agitation à ce sujet était infondée.
Ces propos survenaient pourtant après que Ben Bernanke, président de la Fed, ait savamment attisé les rumeurs en affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La monnaie de l'archipel nippon a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/JPY trébuchant de 0,04% pour glisser à 128,15.
Les Etats-Unis comptent de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.