Investing.com - Le dollar U.S. était un peu moins en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, quittant son sommet journalier par rapport à son homologue nippon, mais profitant toujours du rappel la semaine passée par le chef de son émettrice qu'elle pourrait commencer à limiter ses rachats d'actifs dès cette année.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a moins fléchi devant lui s'extrayant d'une ornière de deux semaines, l'USD/JPY grimpant de 0,09% pour se hisser à 97,91, après avoir culminé à 97,70.
La valeur sûre de l'archipel a retrouvé du mordant après que le spectre d'une éventuelle instabilité financière chinoise ait assombri l'atmosphère, après que la Banque Populaire de Chine ait déclaré que les établissements devraient renforcer leurs quotas prudentiels.
Son adversaire avait auparavant repris des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et d'y mettre fin dès la mi-2014 au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD limitant les dégâts à 0,13% pour tomber à 1,30106, mais frôlant toujours un gouffre bihebdomadaire.
La monnaie unique demeurait fragilisée par la hausse des coûts des emprunts des pays où elle a cours, sur fond d'angoisse d'une fermeture des robinets américains.
Les taux de obligations décennales espagnoles ont ainsi atteint aujourd'hui 5% pour la première depuis avril, contre 4,88% vendredi, ceux de l'Italie passant de 4,58 à 4,71% dans le même temps.
Elle n'a cependant guère fait cas du frémissement sans surprise du baromètre de la confiance dans les affaires germaniques élaboré par l'institut Ifo pour la recherche économique de 105,7 vers 105,9 pour juin.
Le billet vert gagnait également un terrain moins substantiel sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,35% pour chuter à 1,5379.
Le franc suisse a aussi mieux résisté à sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,01% pour hoqueter à 0,9344.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,28% pour se retrouver à 0,9189, le NZD/USD se laissant arracher 0,28% pour toucher le fond à 0,7718 et l'USD/CAD prenant 0,45% pour monter à 1,0507.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,18% pour se situer à 82,76.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a moins fléchi devant lui s'extrayant d'une ornière de deux semaines, l'USD/JPY grimpant de 0,09% pour se hisser à 97,91, après avoir culminé à 97,70.
La valeur sûre de l'archipel a retrouvé du mordant après que le spectre d'une éventuelle instabilité financière chinoise ait assombri l'atmosphère, après que la Banque Populaire de Chine ait déclaré que les établissements devraient renforcer leurs quotas prudentiels.
Son adversaire avait auparavant repris des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et d'y mettre fin dès la mi-2014 au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD limitant les dégâts à 0,13% pour tomber à 1,30106, mais frôlant toujours un gouffre bihebdomadaire.
La monnaie unique demeurait fragilisée par la hausse des coûts des emprunts des pays où elle a cours, sur fond d'angoisse d'une fermeture des robinets américains.
Les taux de obligations décennales espagnoles ont ainsi atteint aujourd'hui 5% pour la première depuis avril, contre 4,88% vendredi, ceux de l'Italie passant de 4,58 à 4,71% dans le même temps.
Elle n'a cependant guère fait cas du frémissement sans surprise du baromètre de la confiance dans les affaires germaniques élaboré par l'institut Ifo pour la recherche économique de 105,7 vers 105,9 pour juin.
Le billet vert gagnait également un terrain moins substantiel sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,35% pour chuter à 1,5379.
Le franc suisse a aussi mieux résisté à sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,01% pour hoqueter à 0,9344.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,28% pour se retrouver à 0,9189, le NZD/USD se laissant arracher 0,28% pour toucher le fond à 0,7718 et l'USD/CAD prenant 0,45% pour monter à 1,0507.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,18% pour se situer à 82,76.