Investing.com - Les options sur l'or avançaient à pas de loup ce mercredi matin, dans l'optique de la publication imminente du procès-verbal du dernier conseil d'orientation de la Réserve Fédérale.
Ce mouvement demeurait cependant entravé par l'attentisme découlant de perspectives techniques peu encourageantes.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 604.8 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0.1%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1 609 USD, leur meilleur cours journalier, et 1 603.9 USD, leur pire, après avoir plongé vendredi jusqu'à 1 598.25 USD, leur plus bas niveau en six mois.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 590.25 USD, leur plancher du 15 août, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 635.95 USD, leur plafond du 15 février.
Le compte-rendu détaillé de la plus récente prise de cap de la banque centrale des Etats-Unis reste au centre des débats, dans l'espoir d'y glaner cet après-midi des indices sur son attitude future.
Tout signe laissant entrevoir un changement de cap pourrait faire remonter l'étalon américain, et du même coup tirer vers le bas les matières premières libellées avec, l'or en tête.
Les chiffres immobiliers des Etats-Unis dont la publication aura lieu dans l'après-midi serviront aussi à jauger l'état santé de leur économie.
Des bonnes nouvelles sur ce front pourraient diminuer les chances que la planche à billets reprenne du service.
La circonspection ambiante se traduisait aussi par des investisseurs réticents à prendre des positions longues sur fond de signaux graphiques baissiers.
Les cours avaient plongé la semaine passée au-dessous de la barre psychologique cruciale des 1 600 USD pour la première fois depuis août, déclenchant des ventes automatiques au passage de points de pivot vitaux.
Du point de vue technique, la descente pourrait se poursuivre, certains analystes estimant un nouvel effondrement vers 1 550 USD possible.
La remontée des bourses des Etats-Unis au long de ces dernières semaines poussait également à bouder le métal précieux.
L'indice S&P 500 a ainsi clôturé hier à son plus haut niveau en plus de quatre ans, à moins de 5% de son record historique d'octobre 2007, tandis que l'indice Dow Jones caracolait à environ 3% du sien.
Le premier aura du coup engrangé environ 7% depuis le début de l'année, et le métal précieux fondu de 4%.
L'attrait de ce dernier en tant que valeur refuge s'est aussi évanoui ces derniers temps en raison de l'apaisement des angoisses au sujet des perspectives économiques planétaires.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 0.25% pour grimper à 29.49 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont frémi de 0.2% pour se hisser à 3.657 USD la livre dans le même temps.
Ce mouvement demeurait cependant entravé par l'attentisme découlant de perspectives techniques peu encourageantes.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 604.8 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0.1%.
Ils avaient précédement oscillé dans une fourchette étroite située entre 1 609 USD, leur meilleur cours journalier, et 1 603.9 USD, leur pire, après avoir plongé vendredi jusqu'à 1 598.25 USD, leur plus bas niveau en six mois.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 590.25 USD, leur plancher du 15 août, et rencontrer de la résistance à court terme à 1 635.95 USD, leur plafond du 15 février.
Le compte-rendu détaillé de la plus récente prise de cap de la banque centrale des Etats-Unis reste au centre des débats, dans l'espoir d'y glaner cet après-midi des indices sur son attitude future.
Tout signe laissant entrevoir un changement de cap pourrait faire remonter l'étalon américain, et du même coup tirer vers le bas les matières premières libellées avec, l'or en tête.
Les chiffres immobiliers des Etats-Unis dont la publication aura lieu dans l'après-midi serviront aussi à jauger l'état santé de leur économie.
Des bonnes nouvelles sur ce front pourraient diminuer les chances que la planche à billets reprenne du service.
La circonspection ambiante se traduisait aussi par des investisseurs réticents à prendre des positions longues sur fond de signaux graphiques baissiers.
Les cours avaient plongé la semaine passée au-dessous de la barre psychologique cruciale des 1 600 USD pour la première fois depuis août, déclenchant des ventes automatiques au passage de points de pivot vitaux.
Du point de vue technique, la descente pourrait se poursuivre, certains analystes estimant un nouvel effondrement vers 1 550 USD possible.
La remontée des bourses des Etats-Unis au long de ces dernières semaines poussait également à bouder le métal précieux.
L'indice S&P 500 a ainsi clôturé hier à son plus haut niveau en plus de quatre ans, à moins de 5% de son record historique d'octobre 2007, tandis que l'indice Dow Jones caracolait à environ 3% du sien.
Le premier aura du coup engrangé environ 7% depuis le début de l'année, et le métal précieux fondu de 4%.
L'attrait de ce dernier en tant que valeur refuge s'est aussi évanoui ces derniers temps en raison de l'apaisement des angoisses au sujet des perspectives économiques planétaires.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs rebondi de 0.25% pour grimper à 29.49 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont frémi de 0.2% pour se hisser à 3.657 USD la livre dans le même temps.