Investing.com - L'euro n'a pas flanché face au dollar U.S. ce mercredi matin, l'ambiance dépendant toujours des incertitudes sur le moment où l'émettrice de son adversaire entamera une diminution de l'ampleur de ses coups de pouce.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3427 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3414, trébuchant de 0,02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3322, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1,3451, son plafond de six mois établi le même jour.
La billet vert était sur la sellette sur fond d'attente d'une réduction de la voilure des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale.
Les observateurs guettaient aussi pour demain la publication du compte-rendu de sa plus récente réunion, en quête d'indices sur le moment où elle pourrait franchir le pas.
Son président Ben Bernanke a déclaré qu'une telle hypothèse dependrait des performances de l'économie.
La monnaie unique gardait des partisans, après qu'il ait été montré que la croissance du bloc l'ayant adoptée avait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
Elle a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP laissant échapper 0,03% pour reprendre pied à 0,8561, et a pris l'avantage sur le yen, l'EUR/JPY grimpant de 0,31% pour culminer à 130,87.
Les acteurs de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements neufs.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3427 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3414, trébuchant de 0,02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3322, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1,3451, son plafond de six mois établi le même jour.
La billet vert était sur la sellette sur fond d'attente d'une réduction de la voilure des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale.
Les observateurs guettaient aussi pour demain la publication du compte-rendu de sa plus récente réunion, en quête d'indices sur le moment où elle pourrait franchir le pas.
Son président Ben Bernanke a déclaré qu'une telle hypothèse dependrait des performances de l'économie.
La monnaie unique gardait des partisans, après qu'il ait été montré que la croissance du bloc l'ayant adoptée avait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
Elle a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP laissant échapper 0,03% pour reprendre pied à 0,8561, et a pris l'avantage sur le yen, l'EUR/JPY grimpant de 0,31% pour culminer à 130,87.
Les acteurs de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements neufs.